L’achat d’une nouvelle voiture représente un investissement financier important. Le prix moyen d’un modèle citadin tourne autour de 10 000 euros. C’est un luxe que de nombreux ménages ne peuvent plus se permettre. La recherche de solutions de financement est ainsi devenue cruciale. Le crédit auto semble être l’une d’entre elles. Crédit auto : la solution pour les budgets limités Dans une mauvaise conjoncture économique où chaque euro compte, les voitures low-cost ont la cote. De nombreuses marques ont en fait leur fer de lance. Avec 10 000 euros en poche, il est désormais possible de faire l’acquisition d’un modèle d’entrée de gamme. Ceci étant, de nombreux ménages n’ont pas une telle somme à leur disposition. La souscription à un crédit auto semble ainsi une aubaine pour les budgets restreints. Sans compter que les établissements de prêt proposent des offres modulables, adaptées à chaque profil. Ainsi, les souscripteurs ont la possibilité de souscrire un crédit auto à 160 euros par mois étalés sur 6 ans. Pour une échéance plus courte, les mensualités seront plus coûteuses : 200 euros sur 4 ans et demi et 350 euros sur 2 ans et demi pour les ménages qui disposent de plus hauts revenus. De même, le taux d’intérêt varie en fonction du délai de remboursement consenti à l’emprunteur. Un crédit auto présente toutefois de nombreux avantages. Le souscripteur n’est pas obligé de prendre une assurance emprunteur, mais nous ne saurions que le recommander. Il peut également opter pour un « pack auto ». Cette offre tout-en-un comprend généralement un crédit auto, une assurance dommage du véhicule, avec une prise en charge de l’assistance, de l’entretien du véhicule ainsi que de l’extension de la garantie constructeur. État des lieux du marché automobile pour le mois de juillet 2014 Le marché automobile français a continué d’évoluer en dents de scie depuis le début de l’année. Après un léger bond de 0,2 % en juin, pour s’établir à 151 674 unités, le nombre des voitures neuves immatriculées au cours du mois de juillet a chuté de 4,3 % à 143 777 unités. Le marché des VUL, un indicateur phare, enregistre également un repli (-0.8 %). De même, les constructeurs hexagonaux ont constaté une baisse de leurs ventes. Les immatriculations des groupes Renault et PSA ont reculé de 4,2 % pour atteindre un niveau de 78 319 unités, soit 3500 unités de moins par rapport à la même période en 2013. Côté Renault et Dacia, la chute est vertigineuse, tandis que Peugeot perd peu de terrain avec un léger repli de -1,8 %.