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Pour financer leurs études supérieures, les jeunes sont nombreux à travailler en parallèle afin de compléter une bourse ou une aide des parents. Mais lorsque ces sources ne suffisent pas, un prêt étudiant sollicité auprès d’une banque est souvent incontournable, à des taux préférentiels. Voici l’essentiel à savoir pour financer ses études à des conditions alléchantes tout en évitant les éventuels pièges.
Les banques sont nombreuses à proposer des prêts étudiants, à des conditions plus attractives que celles d’un crédit à la consommation classique, les jeunes offrant un fort potentiel. En effet, ils sont susceptibles de domicilier leurs revenus au sein de la banque, de prendre un produit d’épargne, de souscrire un emprunt immobilier, une assurance, etc. Leurs prêteurs sont ainsi enclins à accorder un taux d’intérêt intéressant à ces futurs bons clients.
Le montant accordé par une banque varie en fonction de plusieurs critères.
1Le type d’établissement
L’établissement dans lequel est inscrit l’étudiant est le premier critère. Les étudiants des grandes écoles (écoles de commerce ou d’ingénieurs) obtenant normalement davantage que ceux des universités. L’explication tient dans les frais de scolarité plus élevés, mais aussi aux débouchés plus larges et aux revenus plus élevés à la sortie.
2La cote du cursus suivi et le niveau d’étude
Au moment de la demande, la cote du cursus et le niveau d’étude aussi comptent ; par exemple, les étudiants de première année ne peuvent prétendre à un prêt aussi élevé que ceux qui préparent un master. Quant aux filières, celles des grandes écoles sont privilégiées par rapport aux filières courtes (même professionnelles) ou les licences d’université.
3 Sélection des profils
Dans tous les cas, les banquiers misent sur les profils les plus susceptibles d’obtenir une rémunération élevée et de rester chez eux après les études. C’est la raison pour laquelle ils offrent un traitement de faveur aux futurs diplômés d’écoles, car ce sont les potentiels cadres supérieurs à fort pouvoir d’achat de demain.
Mais au-delà du coût des études, le budget d’un étudiant comporte d’autres postes de dépense importants : équipement pour le logement, achat d’une voiture, loyer, assurance, alimentation, etc.
Important À chacun de déterminer précisément ses besoins pour toute la durée de ses études en partant des dépenses et revenus mensuels.
Des sites spécialisés mettent à la disposition des internautes une calculette pour établir facilement son budget. Dans tous les cas, il vaut mieux prévoir une petite marge, car il est difficile de négocier une « rallonge » si le montant initialement demandé s’avère finalement insuffisant.
En général, les banques proposent entre 800 € et 45 000 €, remboursables avec intérêt sur 2 à 10 ans en moyenne, mis à disposition en une ou plusieurs fois. Toutefois, certains proposent davantage, comme BNP Paribas, qui accorde entre 760 € et 200 000 €. Bien entendu, un candidat au prêt disposant de revenus propres et d’une caution élevés peut solliciter un prêt beaucoup plus important.
Attention ! Il faut savoir que le coût d’un prêt ne s’arrête pas aux seuls intérêts. Il faut aussi intégrer les frais de dossier (de 30 € ou 40 €, mais négociables, voire offerts) ainsi que le prix de l’assurance.
Exprimé en pourcentage, le taux d’un prêt étudiant inclut l’ensemble des coûts (intérêts, assurance de crédit obligatoire, frais de dossier). C’est le taux annuel effectif global (TAEG). Il peut être variable ou fixe durant toute la durée du prêt. C’est le type de contrat le plus courant, et il est d’autant plus intéressant que les taux sont actuellement très bas.
Quelques enseignes proposent de temps à autre des taux promo pour étudiants, proches des taux très bas proposés dans le cadre d’accords spéciaux entre les banques et certaines écoles et universités partenaires. Sous la pression de la concurrence, les banques sont prêtes à rogner sur leurs marges pour gagner un client dont le profil les intéresse.
Certaines banques distribuent des emprunts étudiants à taux zéro, mais pour des montants très faibles (de l’ordre de 1000 €) ou pour des usages très spécifiques (par exemple passer le permis de conduire) et en contrepartie de caution.
L’assurance d’un crédit étudiant est une protection obligatoire destinée à couvrir la banque et l’emprunteur, notamment pour les risques de décès et d’invalidité permanente et totale. La banque propose systématiquement une assurance en annexe du contrat de prêt, mais la loi donne aux emprunteurs le libre choix de l’organisme auprès duquel il veut souscrire son assurance.
ImportantLa banque exige en plus de l’assurance la caution des parents ou d’un tiers, qui se porte solidaire du remboursement de l’emprunt contracté.
En effet, la plupart des étudiants, même s’ils ont un travail en parallèle, ne disposent pas d’un revenu suffisant. C’est l’un des principaux inconvénients du prêt bancaire, car ce sont ses revenus qui sont pris en considération dans le calcul du taux d’endettement, et doit rembourser le prêt en cas de défaillance de l’étudiant.
Alternativement, la LMDE (La Mutuelle Des Étudiants) et la Banque Populaire financent le FGSE (Fonds de Garantie des Solidarités Étudiantes), qui se porte garant jusqu’à un certain montant.
Enfin, quelques grandes enseignes bancaires ont des accords spécifiques avec l’État (voir le prêt garanti) ou d’autres organisations.
Afin de limiter les familles en situation de surendettement, les banques peuvent décider de ne pas accorder le prêt étudiant si le montant total mensuel des remboursements est supérieur à 33 % des ressources disponibles. Cette règle fondamentale s’applique à tous types de crédits.
Enfin, pour tout souscripteur d’un contrat de prêt, incluant les prêts étudiants, la loi prévoit un délai de rétractation de 7 jours, délai qui commence à courir le jour de la signature. Durant ces 7 jours de réflexion, l’annulation du prêt peut se faire sans justification et sans frais par lettre recommandée avec accusé de réception adressée à la banque.
La banque propose souvent un remboursement différé avec une période de franchise. Concrètement, durant cette période, l’étudiant ne commence pas encore à rembourser son crédit, parce qu’il n’a pas encore de revenus ; il doit estimer la date de fin de ses études et d’obtention de son premier emploi.
La franchise, qui ne peut dépasser 5 ans, peut être totale ou partielle. Dans le premier cas, l’étudiant ne paie rien pendant la période convenue (sauf les éventuelles primes d’assurance couvrant le prêt), mais commence à verser les mensualités à son entrée dans la vie professionnelle. En franchise partielle, il doit s’acquitter des intérêts et des primes d’assurance tout au long de ses études, et rembourse le capital à la fin de la période de franchise.
Selon la loi Scrivener (10 janvier 1978), vous avez la possibilité d’effectuer un remboursement anticipé de votre prêt, sans pénalités. Un préavis de 1 mois est souvent exigé. Il vous suffit de faire un courrier manuscrit à l’ordre de votre banque demandant le remboursement total ou partiel de votre crédit.
Avant de s’engager, il est indispensable de faire le tour des banques et comparer leurs offres, car les conditions ne sont pas les mêmes d’une enseigne à l’autre, d’une région à l’autre, voire d’une agence à l’autre ! La politique et les objectifs commerciaux de chacune, et le sens commercial du conseiller clientèle, sans oublier la qualité du dossier du demandeur, ont évidemment aussi un impact.
Les caractéristiques des prêts accordés sont variables :
Ensuite interviennent les différents critères qui déterminent le montant accordé par la banque : types d’établissement (école ou université), diplôme visé, filière… avant la situation personnelle du demandeur.
ImportantComme pour les autres types de prêt, le taux augmente en même temps que le montant sollicité. En revanche, il baisse pour les étudiants justifiant d’un revenu régulier (par exemple titulaire d’un contrat fixe pour un emploi à temps partiel ou un virement permanent des parents).
La seule base de comparaison fiable est le TAEG (anciennement appelé TEG), car il donne une visibilité maximale du coût global de l’emprunt. La loi Scrivener impose aux banques d’indiquer clairement cet indice dans toute proposition de prêt. Tous les coûts sont inclus, évitant aux emprunteurs la mauvaise surprise de frais cachés.
À taux égal ou proche, il est préférable de choisir la formule présentant le maximum de souplesse, car il est difficile de se projeter dans l’avenir pour connaître exactement la date d’entrée dans la vie active, le montant de sa future rémunération, etc.
Des outils/services en ligne existent pour gagner du temps en interrogeant simultanément plusieurs établissements sur les mêmes critères et accéder aux offres les plus attractives du marché. Leur utilisation est gratuite, rapide et sans engagement. Quelques-uns de ces sites offrent même leur accompagnement dans leurs démarches de recherche de prêt et de montage de dossier.
ImportantL’assurance emprunteur impact directement le cout total de tous les types de crédit. Et donc la compétitivité que peut représenter une offre.
La plupart du temps, l’assurance est obligatoire. Son taux est fonction de l’âge, de l’état de santé et de la situation de l’étudiant. La banque propose toujours son contrat de groupe en annexe du contrat de prêt, mais le taux est généralement plus compétitif auprès de compagnies tierces, pour une couverture équivalente. Or, rapporté au montant emprunté, le différentiel de taux permet des économies non négligeables.
Certains grands réseaux bancaires ont des partenariats avec des écoles et universités ou des mutuelles, permettant aux étudiants de décrocher un prêt à un taux plus compétitif. C’est notamment le cas de Banque populaire et de LCL, qui a signé 300 partenariats à travers la France.
De même, en s’adressant à la banque de la personne qui se porte garante pour lui, l’étudiant peut bénéficier d’une meilleure offre, surtout si sa caution est un bon client (et de longue date) de la banque.
Outre la gratuité des frais de dossiers, il ne faut pas hésiter à négocier celle de la carte bancaire, ou des rabais sur d’autres frais. Par exemple chez certaine banque, les enfants des clients bénéficient d’une réduction de 10 % sur le taux débiteur.
Les banques accordent également de petits avantages comme des tarifs privilégiés pour certains services ou commerces, minimisant les dépenses de loisirs. Autant d’économies appréciables quand on doit gérer un budget très serré !
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.