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Avec une affection de longue durée comme celle liée aux maladies coronariennes, la souscription d’une assurance emprunteur constitue un défi. C’est la raison pour laquelle les pouvoirs publics et les acteurs du secteur bancaire et assurantiel ont signé la convention AERAS.
En effet, l'infarctus est une maladie du coeur, qui détruit une partie du muscle appelé "myocarde". Le sang rencontre des difficultés à circuler dans l'artère coronaire et entraine une défaillance du muscle cardiaque.
Se manifestant par une crise cardiaque, l'infarctus du myocarde (IDM) compte parmi les troubles cardiovasculaires. D’un point de vue médical, cette maladie survient lorsqu’une partie du tissu musculaire du cœur n’assure plus ses fonctions. En effet, une éventuelle occlusion au niveau de l’artère coronaire peut conduire à la mort prématurée des cellules du myocarde, sachant qu’elles sont, dans cette circonstance, privées d’oxygène.
L’apparition des signes annonciateurs de l’infarctus (pouvant être contracté à tout moment) dépend de chaque patient.
Certains les voient arriver progressivement tandis que d’autres en souffrent inopinément. En tout cas, il importe de contacter les urgences dès la constatation des premiers symptômes :
Même si les soixantenaires de sexe masculin ont davantage de risques d’être victimes d’un infarctus, tous les individus, quel que soit leur âge, peuvent être touchés par la maladie.
Pour détecter les personnes à risque, il est commun de se pencher sur leurs antécédents familiaux.
Ce trouble cardiovasculaire peut être atteindre l’emprunteur à tout moment, notamment s’il a adopté, tout au long de sa vie, une mauvaise hygiène de vie. Une alimentation riche en matières grasses, la consommation d’alcool et de tabac, tout comme la sédentarité sont autant de facteurs qui augmentent le risque d’infarctus du myocarde.
Le stress et l'hypertension artérielle amplifient également le risque, d’autant que les artères sont fragilisées. Les personnes diabétiques ou ayant souffert d’une embolie coronarienne sont également à surveiller de près.
Une fois hospitalisé, le patient ayant fait l’objet d’un infarctus subit des examens et des traitements dans le service de cardiologie. La surveillance est permanente durant le séjour.
Prise en charge immédiatement, la personne qui arrive en urgence peut se voir administrer des médicaments permettant de rétablir l’irrigation des flux sanguins dans l’artère coronaire en les fluidifiant. D’autres viseront à diminuer la consommation d’oxygène.
Il arrive également que le patient subisse une perfusion consistant à désagréger le caillot et à déboucher l’artère coronaire. Dans d’autres cas, les lésions constatées sont traitées à l’aide d’une sonde dans un service spécialisé.
Des séances de réadaptation cardiovasculaires sont suggérées au patient qui achève son séjour. Un an après son hospitalisation, il devra ensuite consulter son cardiologue pour un suivi régulier de l’évolution de son état de santé.
Sur le long cours, il s’agira d’éviter que la maladie ne récidive et que le sujet ne soit touché par d’autres pathologies cardiovasculaires comme l’AVC. Ainsi, il est supposé adopter un mode de vie sain, qui passe par des exercices physiques routiniers et une alimentation équilibrée sans tabac.
Les compagnies d’assurance considèrent les maladies cardiaques telles que l’infarctus du myocarde comme étant des risques aggravés de santé. Pour les personnes atteintes, les risques d’incapacité ou d’invalidité sont justement élevés, comparés au reste de la population.
Pour cette raison, certains assureurs procèdent à des exclusions de garanties pendant que d’autres s’attèlent à prélever une surprime.
En effet, les tarifs, tout comme l’étendue de la couverture, sont fonction du bilan établi par les médecins-conseils des professionnels de l’assurance.
La signature d’un contrat passe préalablement par le remplissage d’un questionnaire de santé. Pour compléter son dossier, le souscripteur doit apporter des renseignements sur les traitements qu’il suit et joindre les résultats des examens réalisés. Il doit aussi envoyer les derniers comptes rendus dressés par les cardiologues.
Grâce à la délégation d’assurance prévue par la loi Lagarde, l’emprunteur peut opter pour une assurance de prêt qui propose davantage de garanties, et ce, à moindre coût.
Dans ce contexte, la convention AERAS a été appliquée depuis le 7 janvier 2007 par les compagnies d’assurance et les établissements bancaires. Elle vise à soutenir les personnes affectées durablement par des problèmes de santé, dont les victimes d’infarctus. Pour ce faire, l’assuré devra avoir au moins 70 ans lorsque le contrat d’assurance arrivera à son terme.
Même si le potentiel bénéficiaire de l’accord n’a quasiment aucune démarche administrative à effectuer, l’aide est conditionnée par la souscription d’un crédit immobilier ne dépassant pas les 320 000 euros. Les compagnies d’assurance se sont engagées à généraliser le dispositif AERAS aux personnes éligibles, en passant par trois niveaux de contrôle. Le troisième niveau concerne les cas les plus complexes qui sont traités par le Bureau commun d’assurance collectives (le BCAC).
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.