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Séparation et rachat de crédits

Écrit par Laura P. . Mis à jour le 7 novembre 2025 .
Temps de lecture : 13 min

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un couple séparé

Vous vous séparez et vous vous demandez comment gérer vos crédits communs ? Cette situation est malheureusement courante. Lorsqu'un couple se sépare, les dettes souscrites conjointement doivent être restructurées. Vous êtes co-emprunteur ou caution solidaire ? Vous restez responsable de ces crédits jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée. Le rachat de crédits vous permet de rendre votre endettement compatible avec votre nouvelle situation financière. Découvrez comment naviguer cette période délicate avec nos conseils pratiques.

L'essentiel à retenir

  • En cas de séparation, les prêts souscrits conjointement par les époux doivent être restructurés rapidement pour éviter des complications.
  • Trois solutions principales existent pour les emprunteurs : vendre le bien, maintenir l'indivision ou racheter la part de votre époux ou partenaire.
  • Le rachat de crédit permet, en cas de rachat de soulte, de restructurer ses dettes.
  • Une désolidarisation est possible si l’emprunteur unique restant a des revenus suffisants.
  • Un dossier solide et bien documenté augmente vos chances d'approbation bancaire.
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Comment la séparation affecte vos prêts en cours

Une séparation entraîne une augmentation significative des dépenses pour chacun des ex-conjoints. Le logement, les transports, les services (gaz, électricité) et les courses alimentaires doivent désormais être financés séparément. C'est dans ce contexte que l'endettement commun devient problématique.

Pendant la vie commune, le couple a généralement souscrit plusieurs crédits : un crédit immobilier pour l'achat de la résidence principale, des crédits à la consommation (voiture, travaux), parfois un prêt personnel ou un crédit renouvelable. Sauf exception, les deux partenaires sont co-emprunteurs. Ils sont alors responsables solidairement du remboursement. Si l'un ne peut plus payer, l'autre doit honorer l'intégralité des mensualités.

À la séparation, trois options s'offrent à vous : rembourser le crédit par anticipation, poursuivre le paiement selon un arrangement amiable, ou procéder à une redistribution via un rachat de crédit.

Dois-je vendre la maison ou racheter la part de mon ex-partenaire ?

C'est LA question majeure lors d'une séparation pour chaque emprunteur. La réponse dépend de vos souhaits respectifs et de vos ressources.

Option 1 : Vendre le bien immobilier ensemble

Si vous vous accordez sur la vente, contactez un agent immobilier pour mettre le bien sur le marché. Le produit de la vente sera réparti entre vous deux selon vos parts respectives de propriété.

Deux scénarios peuvent survenir. Premièrement, le montant de la vente suffit à rembourser le capital restant dû du prêt immobilier, plus les indemnités de remboursement anticipé, le cas échéant. C'est le cas idéal.

Deuxièmement, le montant ne couvre pas la totalité du crédit. Dans ce cas, vous devrez peut-être procéder à un rachat de crédit pour obtenir un nouvel échéancier adapté à votre nouvelle situation.

Option 2 : Garder le bien en indivision

Si votre entente reste bonne, vous pouvez conserver le bien en indivision. Vous restez tous deux propriétaires selon vos parts respectives. Le bien peut être loué pour générer des revenus ou laissé à l'un de vous contre paiement d'une indemnité.

Attention

Vous restez solidaires de toutes les charges (crédit immobilier, travaux, taxe foncière). Un rachat de crédit n'est pas nécessaire dans cette situation, mais une bonne communication est essentielle. À long terme, l'indivision peut poser des difficultés, notamment si vous souhaitez plus tard vendre le bien.

Option 3 : Racheter la part de votre ex-partenaire

Vous souhaitez garder la maison ? Vous devez racheter la part de votre ex-partenaire. C'est ce qu'on appelle un rachat de soulte.

Calcul de la soulte : si le bien ne fait plus l'objet d'un crédit, c'est simple. Pour une maison de 200 000 €, détenue à 50/50, vous versez 50% soit 100 000 €.

Avec un crédit encore en cours, la formule change :

Soulte = (Valeur du bien ÷ 2) – (Capital restant dû ÷ 2)

Exemple

Votre maison vaut 200 000 €, le capital restant dû est 40 000 €, et vous êtes propriétaires à 50/50.

Soulte = (200 000 ÷ 2) – (40 000 ÷ 2) = 100 000 – 20 000 = 80 000 €

Vous devez donc verser 80 000 € à votre ex-partenaire pour sa part, plus vous devez rembourser le capital restant dû de 40 000 € à la banque. Votre besoin total s'élève à 120 000 €.

Rarement possible de payer comptant ? C'est la réalité pour la plupart des gens. Si votre situation vous le permet, vous devrez engager un rachat de crédit auprès de votre banque ou via un courtier spécialisé.

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Comment évaluer les coûts d'un rachat de crédit post-séparation

Avant de vous lancer dans cette étape, vous devez bien comprendre les coûts réels d'une telle opération pour les époux ou demandeurs séparés.

Frais de remboursement anticipé

Votre ancien crédit immobilier contient probablement une clause pénalisant le remboursement anticipé. Ces frais sont plafonnés par la loi à 6 mois d'intérêts ou 3% du capital restant dû (le montant le moins élevé s'applique). Pour un crédit de 200 000 € à 3,5%, cela peut représenter plusieurs milliers d'euros.

Frais du nouveau rachat de crédit

Le nouvel établissement de crédit peut facturer des frais administratifs (dossier, garantie), généralement entre 1% et 2% du montant emprunté. Négociez pour les réduire au maximum.

Coûts d'assurance

Une assurance-emprunteur est souvent obligatoire. Son coût dépend de votre âge, de votre santé et de la durée du prêt. Comparez les offres : passer d'une assurance groupe à une assurance externe peut vous faire économiser plusieurs milliers d’euros.

Impact de la durée

Allonger la durée du prêt diminue les mensualités mais augmente le coût total des intérêts. Une durée de 15 ans au lieu de 10 ans réduit votre mensualité, mais vous payez plus au final. Trouvez l'équilibre entre capacité mensuelle et coût total.

Simulation complète

Demandez toujours une simulation détaillée auprès de votre banque ou d'un courtier. Elle doit inclure : le nouveau taux (TAEG), la durée, la mensualité, le coût total et tous les frais.

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Les solutions pour partager ou régler un prêt immobilier

La désolidarisation du prêt pour les emprunteurs

Vous pouvez demander à votre banque de vous désolidariser du crédit immobilier. L'un de vous accepte l'entière responsabilité du remboursement et libère l'autre de tout engagement.

Cette demande doit être adressée par courrier recommandé avec accusé de réception. Votre lettre doit contenir :

  • Les références du prêt (date de signature, capital restant dû, dernière mensualité).
  • Le motif (séparation ou divorce).
  • Les modalités souhaitées (qui garde le logement).
  • Une lettre signée de l'ex-partenaire demandant son désengagement.

La banque étudiera alors la capacité de remboursement du seul emprunteur restant : son taux d'endettement, ses revenus, sa stabilité professionnelle et son reste à vivre. Si vos revenus ne suffisent pas, la banque refusera. C'est justement pour cette raison que le rachat de crédit est souvent plus pertinent.

Le rachat de crédit pour restructurer la dette entre conjoints

Contrairement à la désolidarisation, le rachat de crédit permet de restructurer l'intégralité de l’endettement des débiteurs. Un nouvel établissement, ou celui déjà détenteur des prêts, rembourse tous les anciens prêts pour les réunir en une échéance unique, plus adaptée à la nouvelle situation. L’ex conjoint reçoit sa due part.

Les avantages sont clairs pour les conjoints et partenaires. Ils bénéficient d'une mensualité unique et facile à mémoriser. Les remboursements sont lissés sur une durée plus longue, réduisant les mensualités. Ils disposent d’un interlocuteur unique pour toutes leurs démarches.

Cette solution fonctionne aussi en présence d'autres prêts à la consommation à côté du crédit immobilier.

La vente du bien et remboursement du prêt

Si vous vendez ensemble le bien immobilier, le produit de la vente rembourse votre emprunt. Si le prix de vente ne suffit pas, et que les intéressés ne peuvent pas couvrir le reste avec leurs économies, une nouvelle demande de crédit devra être formulée. En revanche, si le prix dépasse le montant du prêt, vous vous partagez le surplus selon vos parts respectives en tant que partenaires ou époux.

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Les aides et options de regroupement après une séparation

Regroupement de prêts : comment ça marche pour les emprunteurs

Le regroupement de crédits regroupe plusieurs dettes en un seul emprunt. Par exemple, vous consolidez votre prêt immobilier avec vos crédits à la consommation (auto, travaux, crédits renouvelables). Cette restructuration ne diffère pas d'un regroupement classique pour les conjoints.

Un établissement de crédit rembourse ainsi tous vos anciens prêts auprès de vos créanciers. Vous vous retrouvez avec une seule échéance pour toutes vos dettes. C'est particulièrement pertinent lors d'une séparation pour repartir sur des bases saines. Cette étape permet aux débiteurs de rationaliser leurs prêts.

Aide au rachat de crédit : quelles solutions existent

Malheureusement, peu d'aides gouvernementales concernent directement le rachat de crédit post-séparation pour les époux ou partenaires. Cependant, vous pouvez explorer quelques pistes.

Ainsi, certaines collectivités locales proposent des aides aux personnes en difficulté financière suite à un changement de situation. Renseignez-vous auprès de votre mairie ou conseil départemental sur les dispositifs d'aide à la restructuration de prêts. Les organismes comme la Banque de France peuvent vous orienter lors de cette étape.

Si vous êtes en surendettement réel, vous pouvez saisir la commission de surendettement de votre région. Elle propose des mesures amiables ou un plan de redressement pour les débiteurs en difficulté avec leurs prêts.

Pour réduire vos coûts, comparez les offres auprès de plusieurs banques et courtiers. Une baisse de taux de 0,5% peut vous faire économiser plusieurs milliers d'euros sur la durée de votre emprunt.

Conditions d'accès au rachat de crédit pour les emprunteurs

Pour obtenir un rachat de crédit, les prêteurs exigent que votre taux d'endettement ne dépasse pas 35%. C'est le ratio entre vos charges mensuelles (y compris la nouvelle mensualité de votre prêt regroupé) et vos revenus nets. Certains établissements acceptent plus selon votre reste-à-vivre.

Vous devez justifier de revenus stables : fiches de paie, contrat de travail, avis d'imposition. Votre situation socio-professionnelle compte aussi. Un CDI est rassurant ; un CDD ou travail en freelance peut compliquer l'approbation de votre emprunt.

Le "reste à vivre" – ce qui vous reste chaque mois après paiement de tous vos prêts et charges – doit être suffisant. Les banques exigent généralement au moins 400 à 600 € par personne et par mois pour valider votre dossier.

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Les conséquences fiscales et juridiques

La répartition des biens entre époux ou partenaires dépend de votre situation matrimoniale et du régime choisi au moment de l'acquisition du prêt immobilier.

  • Pour les concubins, la part de chacun est librement définie dans l'acte notarié (50/50, 60/40, etc.). À défaut d’indication, la répartition sera déterminée en fonction des apports prouvés lors de l’acquisition.
  • Depuis 2007, le régime légal par défaut du PACS est la séparation des biens, mais les partenaires peuvent prévoir l’indivision dans leur convention. Si c’est le cas, les biens acquis ensemble sont réputés indivis et appartiennent généralement pour moitié à chacun, quelle que soit l’apport financier de l’un ou l’autre (sauf mention contraire et formalisme respecté). Pour un PACS antérieur à 2007, les règles historiques d’indivision peuvent encore s’appliquer selon les actes et formalités.
  • Pour les couples mariés, le régime matrimonial prime. Sans contrat, le régime légal est la communauté réduite aux acquêts : les biens achetés pendant le mariage sont en principe communs et se partagent par moitié. D’autres régimes (séparation de biens, communauté universelle, participation aux acquêts) produisent des effets différents : le notaire est celui qui, au moment du partage ou de la liquidation, qualifie les biens et fixe la répartition.

Fiscalement, garder le bien en indivision après le divorce présente un avantage pour les anciens conjoints. Lors de la vente ultérieure du bien financé par l'emprunt regroupé, vous ne payez pas de droits de partage. C'est un gain non négligeable lors de cette étape.

Après une séparation ou un divorce, un rachat de crédit (ou une renégociation) est structuré en fonction de la répartition juridique du bien et de la capacité financière des demandeurs. Les établissements exigent généralement le jugement de divorce ou la convention signée, ainsi que toutes les pièces justificatives : ils vérifieront la solvabilité de chacun avant d’accorder un nouveau montage.

Notez que la qualité de co-emprunteur ou de garant attachée au prêt initial ne disparaît pas automatiquement avec la séparation ; la banque peut demander des actes de mainlevée ou des engagements supplémentaires.

Les erreurs à éviter dans cette étape cruciale

  • Négliger les modalités de sortie du prêt initial
    Avant de procéder à un rachat de crédit, il est essentiel de vérifier les conditions de remboursement anticipé du prêt en cours. Certains contrats prévoient des indemnités pouvant atteindre jusqu'à 6 mois d'intérêts ou 3% du capital restant dû (maximum légal). Par exemple, si vous remboursez par anticipation un prêt de 100 000 € à 2%, vous pourriez devoir payer jusqu'à 6 000 € d'indemnités.
  • Oublier les frais annexes au rachat
    Le rachat de crédit implique des coûts supplémentaires tels que les frais de dossier, les assurances emprunteur et, dans le cas d'un bien immobilier, les frais de mainlevée d'hypothèque. Ces frais peuvent représenter plusieurs milliers d'euros. Intégrez-les dans votre plan de financement pour éviter toute mauvaise surprise.
  • Mal évaluer votre capacité de remboursement post-séparation
    Après une séparation, vos revenus et charges peuvent avoir changé. Recalculez votre taux d'endettement et assurez-vous que vous pouvez assumer la nouvelle mensualité sans compromettre votre équilibre financier. Par exemple, si niveau d’endettement dépasse 35%, les prêteurs pourraient considérer votre dossier comme trop risqué.
  • Ne pas désolidariser le prêt immobilier
    Si vous conservez le bien immobilier en indivision après le divorce, il est essentiel de désolidariser le prêt. Sans cela, vous restez co-emprunteur et pouvez être tenu responsable des paiements si votre ex-conjoint fait défaut. La désolidarisation nécessite l'accord de la banque et une analyse de la solvabilité de l'emprunteur restant.
  • Ne pas comparer les offres de rachat
    Les conditions de rachat de crédit varient d'un établissement à l'autre. Comparez les taux d'intérêt, les frais annexes et les modalités de remboursement proposées par différentes banques ou courtiers. Cette démarche peut vous permettre de réaliser des économies substantielles sur le coût total du crédit.
  • Négliger l'impact fiscal du rachat de soulte
    Si vous rachetez la part de votre ex-conjoint dans le bien immobilier (rachat de soulte), cette opération peut avoir des conséquences fiscales. Par exemple, la valeur du bien racheté peut être prise en compte dans le calcul de l'Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) si elle dépasse le seuil d'imposition. Il est donc conseillé de consulter un notaire pour évaluer les implications fiscales de cette opération.
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Nos conseils pour réussir votre rachat de crédit et cette étape

  • Faites appel à un courtier spécialisé. Le rachat de crédit en cas de séparation reste une opération complexe. Un expert vous guidera à travers chaque étape, maximisant vos chances d'approbation et les économies réalisées.
  • Comparez systématiquement les offres. Comme pour votre crédit immobilier initial, les taux varient considérablement d'un établissement à l'autre. Obtenez au minimum trois propositions avant de décider.
  • Présentez un dossier impeccable. Les banques doivent être rassurées avant d'accepter un rachat de crédit post-séparation. Rassemblez vos trois dernières fiches de paie, votre contrat de travail, vos avis d'imposition, votre jugement de séparation et la copie de votre acte de propriété.
  • Discutez à l'avance avec votre ex-partenaire. Plus vous vous entendez, plus facile devient l'opération. Clarifiez qui garde le bien, qui rembourse quoi et comment vous gérez les crédits à la consommation éventuels.
  • Agissez rapidement. Ne laissez pas la situation traîner. Plus l'endettement commun dure, plus les complications s'accumulent. Une prise de décision rapide protège les deux parties.

FAQ - Questions fréquentes

Quels critères faut-il remplir pour obtenir un rachat de crédit après séparation des emprunteurs ?

Les banques demandent une preuve de revenus stables pour chaque emprunteur, un taux d'endettement maximum de 35% (hors cas particuliers), un reste à vivre suffisant, et une situation socio-professionnelle stable. Vous devez fournir vos trois dernières fiches de paie, votre contrat de travail, vos 2 derniers avis d'imposition, et votre jugement de séparation.

Combien de temps faut-il pour mettre en place un rachat de crédit après une séparation des conjoints ?

Le processus prend généralement 2 à 4 semaines pour un rachat classique. L’étude du dossier dure 5 à 10 jours, puis l’acceptation et la mise en place du nouveau crédit ajoutent 1 à 2 semaines. Pour un rachat incluant une soulte, le délai peut être plus long.

Puis-je désolidariser mon prêt immobilier si mon ex-partenaire refuse le rachat de crédit et le financement ?

Oui, vous pouvez demander une désolidarisation par courrier recommandé auprès de votre établissement prêteur. Cependant, la banque approuvera uniquement si vos revenus seuls suffisent à honorer le prêt. Si c'est impossible, un rachat de crédit devient la seule option viable.

Qu'advient-il de mon assurance-emprunteur avec un rachat de crédit et mon nouvel emprunt ?

Avec un rachat de crédit, l’assurance-emprunteur du prêt initial est remplacée par une nouvelle assurance couvrant le montant et la durée du nouveau crédit. Vous pouvez conserver votre assureur actuel si le contrat le permet, ou souscrire à un nouveau contrat adapté à vos besoins et à votre situation financière.

Le rachat de crédit affecte-t-il mon score de crédit et mon financement futur ?

Temporairement oui. Une demande de crédit crée une enquête de solvabilité qui impacte légèrement votre score. Cependant, un rachat de crédit réussi améliore votre profil à moyen terme en réduisant votre niveau d'endettement sur l'ensemble de vos prêts et emprunts.

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La baisse du montant des mensualités suppose un allongement de la durée de remboursement et une majoration du coût total d'un ou de plusieurs crédits objets du regroupement.

Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent.

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