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Dans l’Hexagone, le taux de chômage ne cesse de croître. Il est donc conseillé de contracter une assurance perte d’emploi. Si celle-ci procure de nombreux avantages à l’assuré, les conditions de souscription sont toutefois strictes. Que faut-il savoir pour ne pas avoir de mauvaises surprises, cette couverture étant particulièrement onéreuse ?
En se référant à la législation en vigueur, signer un contrat d’assurance chômage n’est pas obligatoire. Toutefois, cette couverture rassure les banques prêteuses contre les risques liés à la perte soudaine de revenus. En tout cas, le niveau de protection et le montant des primes varient selon les compagnies d’assurance.
Grâce à l’assurance chômage, les assurés sont indemnisés une fois de retour sur le marché du travail. Cette mesure vaut, que la perte involontaire du poste résulte d’une incapacité ou d’un licenciement sans faute grave.
Mais lorsque l’arrêt de travail est le fruit d’un consensus entre l’employeur et l’employé, le paiement d’allocations est uniquement conditionné par une mention expresse dans le contrat d’assurance. Encore faut-il qu’il ait été signé après l’entrée en vigueur de la loi sur la modernisation du marché du travail.
La souscription d’une couverture chômage permet de mieux affronter les moments difficiles de la vie professionnelle. Elle peut aussi être exigée par les banques lorsque l’assuré contracte un crédit immobilier.
Si un salarié sous CDI n’a pas encore la soixantaine, il peut envisager de détenir une assurance chômage pour faire face sereinement à l’avenir après un éventuel licenciement. Encore faut-il que l’intéressé ait été employé pendant au moins six mois. Les personnes qui travaillent à leur compte, tout comme celles qui travaillent pour l’État, ne sont quant à elles pas concernées.
Pour déterminer l’ancienneté d’un assuré, les assureurs excluent le préavis et la période d’essai. Concernant la date de licenciement, en revanche, elle correspond, selon les cas, à la date du premier versement de l’allocation chômage ou à la date de réception de la lettre de congédiement.
Parmi les formalités à remplir figure également l’inscription à Pôle emploi, comme tous les autres demandeurs d’emploi. Cette démarche constitue, en effet, un préalable à l’octroi d’une aide au retour à l’emploi (ARE). L’intégration au régime de l’UNEDIC, le gestionnaire de l’assurance perte d’emploi en France, est également requise.
Quand l’assuré perd son travail, l’assureur s’engage à payer les dettes de son client en vertu du contrat d’assurance chômage. En effet, 10 % des demandeurs de prêt contractent une assurance perte d’emploi pour augmenter leur chance d’octroi de crédit. Néanmoins, les compagnies d’assurance ne garantissent généralement le paiement des mensualités qu’à hauteur de 75 % au plus (et 50 % au moins).
Pour ce qui est de la durée d’indemnisation, elle peut aller de 18 à 48 mois, en fonction de la durée du remboursement du prêt immobilier et de l’ancienneté de l’ancien salarié.
En tout cas, la période de franchise peut atteindre une durée de 3 mois. Il s’agit du temps pendant lequel le souscripteur doit attendre pour être indemnisé après que l’assureur a confirmé sa prise en charge. Concernant le délai de carence, il oscille entre 6 et 12 mois selon les professionnels de l’assurance.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.