Une rentrée marquée par des taux immobiliers toujours bas, et qui restent négociables

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 11 octobre 2018 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le jeudi 11 octobre 2018 10:54 par la Rédaction Meilleurtaux

En cette période de rentrée, les taux immobiliers restent faibles, avec des barèmes qui ont diminué pendant l’été. Les banques veulent atteindre les objectifs qu’elles se sont fixés. Les emprunteurs peuvent encore profiter de la situation, qu’il s’agisse de contracter un prêt ou de renégocier un crédit.

Les taux peuvent atteindre 1,45 % pour les prêts sur 25 ans

Important Les taux immobiliers pratiqués par les banques ont encore reculé pendant l’été.

Pour une durée de 25 ans, il est possible de s’endetter à 1,70 %. Ce barème reste d’ailleurs négociable, surtout pour les meilleurs profils qui disposent par exemple d’une épargne, ou d’un apport conséquent.

Un courtier rapporte ainsi qu :

« Un couple a réussi à emprunter 240 000 € à 1,30 % sur 25 ans, avec un apport de 30 000 € ».

Pour les prêts sur 20 ans, la moyenne actuelle des taux est d’environ 1,50 %, contre 1,30 % pour ceux sur 15 ans. Ces chiffres se rapprochent des niveaux constatés à la rentrée 2016.

Ainsi, les conditions de financement demeurent intéressantes pour les futurs acquéreurs, d'autant plus s’ils présentent un bon dossier.

Il n’est pas toujours nécessaire de disposer d’un apport pour obtenir un crédit avantageux : un couple ayant contracté un prêt de 185 000 €, dont 28 000 € de PTZ, a décroché un taux de 1,45 % sur 25 ans.

Les banques cherchent à tout prix à atteindre leurs objectifs

Cette stabilité des taux profite également aux emprunteurs qui souhaitent renégocier un prêt immobilier.

Important La démarche est pertinente si l’écart entre les taux actuels et les taux du crédit contracté atteint 1 % ou plus.

Elle permet d’améliorer le niveau de vie en réduisant le montant des mensualités.

En tout cas, la rentrée s’avère intéressante pour les candidats à l'acquisition. D’après un courtier immobilier :

« Les banques ont revu leurs barèmes à la baisse, car elles n’ont pas réussi à atteindre leurs objectifs ».

Dans le cadre d’une renégociation, rien n’empêche le client de mettre en concurrence plusieurs établissements afin d’amener son banquier à se montrer plus généreux.

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