Août 2014

« Elles devraient permettre d'une part de redynamiser le marché, en favorisant notamment la vente de terrains à construire ; et d'autre part de relancer l'investissement locatif qui a particulièrement souffert ces deux dernières années, plus en raison de la stigmatisation régulière dont ces acteurs ont fait l'objet que par l'entrée en application de la fameuse Loi Alur finalement très récente », déclare Maël Bernier, porte-parole et Directrice de la communication de meilleurtaux.com. En revanche, elle regrette l'absence de mesures en faveur de la primo-accession en zone tendue.

Déjà, avec la loi Lagarde, la démutualisation avait commencé sur l'âge. Avec la loi Hamon, elle pourrait s'accentuer en jouant sur des critères comme la profession ou le risque fumeur. « Pour rester compétitifs, les bancassureurs vont affiner leur scoring et démutualiser », estime ainsi Maël Bernier, porte-parole du courtier en crédit Meilleurtaux.

Maël BERNIER Porte-parole du courtier Meilleurtaux.com, répond aux questions du journal « Le nouvel observateur ».

« Il faut interroger sa mairie, son département pour savoir s'ils délivrent des prêts ou des subventions à l'accession, sachant que leurs conditions d'attribution sont souvent calquées sur celles du PTZ+ », conseille Maël Bernier, de Meilleurtaux.com.

Une bonne négo génère une économie d'autant plus sensible que les taux sont bas. Elle peut réduire le coût total jusqu'à 17 % chez les trentenaires, coire 30 % si on est sexagénaire. « Cela représente pas moins de 12 000 euros de ristourne sur un prêt de 200 000 euros sur 20 ans », souligne Maël Bernier, de meilleurtaux.com.

Depuis un an, les taux n'ont jamais été aussi bas, mais les banques ont durci leurs conditions d'octroi des crédits. « L'apport est aujourd'hui un critère important dans la décision des banques. Aujourd'hui un particulier qui n'a pas d'épargne et qui rembourse des crédits à la consommation ne trouve pas de financement, ou alors à un taux très peu compétitif,même s'il a des revenus supérieurs à la moyenne », affirme Jocelyne Fournier, conseillère de l'agence Meilleurtaux.com à Rennes.

Et ce malgré des taux de crédit très faibles. « Ils s'établissent à 2,70 % sur quinze ans et 2,85 % sur vingt ans sur la région », note Mickaël Gravoueille, de Meilleurtaux à Nantes.

Une descente en gamme, alors même qu'à Toulouse les conditions d'emprunt sont parmi les plus favorables de France (avec Strasbourg et Marseille), avec un taux fixe de 2,80 % sur vingt ans fréquemment octroyé. Cerise sur le gâteau, selon le courtier Meilleurtaux.com, c'est aussi l'une des grandes métropoles dans lesquelles il est possible d'obtenir les meilleures négociations, avec un meilleur taux constaté sur vingt ans à 2,70 %. Qui dit mieux ?

Le courtier en crédit immobilier Meilleurtaux.com vient de publier son palmarès mensuel des taux moyens proposés dans les 10 plus grandes villes de France. Strasbourg conserve sa première place en terme de pouvoir d'achat immobilier, calculé en fonction des taux pratiqués et du prix de vente au m² : 82 m² pour 1 000 euros de mensualité de prêt sur 20 ans.

« Cependant il est intéressant de noter que si les taux restent globalement stables, les barèmes sur 25 ans, baissent quant à eux dans la quasi-totalité des régions », remarque Maël Bernier, directrice de la communication. Les barèmes bancaires font ainsi état de baisses allant jusqu'à 0,15 % dans certaines villes comme Paris, Marseille ou Montpellier sur la durée 25 ans. « Ce phénomène de baisses observées sur les durées longues confirme que les banques cherchent réellement à séduire les jeunes et notamment les primo-accédants grâce à des offres exceptionnelles désormais inférieures à 3 % », ajoute Maël Bernier.

Il est intéressant de noter que Bordeaux perd 2m² sous l'impact d'une légère hausse des prix et se place en 7ème position. « Le début du mois daoût a été marqué par une stabilité quasi générale dans l'ensemble des villes et régions de France », observe Hervé Hatt, Président de Meilleurtaux.com.

Les autres villes (Nantes, Lille, Lyon et Paris) se situent légèrement au-dessus, sans jamais dépasser 2,60 %. De façon générale, les taux sont globalement stables à un niveau bas, et Maël Bernier, directrice de la communication de Meilleurtaux, remarque que « les barèmes sur 25 ans baissent (...) dans la quasi-totalité des régions ».

« Ce phénomène de baisses observées sur les durées longues confirme que les banques cherchent réellement à séduire les jeunes et notamment les primo-accédants grâce à des offres exceptionnelles désormais inférieures à 3 % », analyse Maël Bernier, Directrice de la communication de Meilleurtaux.

Selon une étude réalisée par Meilleurtaux.com, pour une mensualité de 1 000 euros sur 20 ans, les futurs acquéreurs pourront emprunter 186 990 euros à un taux de 2,60 %. En moyenne, la surface du bien acquis s'établira ainsi à 83 mètres carrés. Peu de changements. Le reste du classement demeure quasiment inchangé.

« Ce phénomène de baisses observées sur les durées longues confirme que les banques cherchent réellement à séduire les jeunes et notamment les primo-accédants grâce à des offres exceptionnelles désormais inférieures à 3 % », commente avec optimisme Maël Bernier, la directrice de la communication de Meilleurtaux.

Meilleurtaux met son baromètre à jour et constate qu'en août, le taux le plus bas négocié est le même dans plusieurs villes, de 2,45 % à Strasbourg, Marseille, Toulouse, Montpellier, Bordeaux et Nice. « Les autres villes se situent très légèrement au dessus mais sans jamais dépasser 2,60 % ».

L'avis des courtiers en crédit immobilier diverge à cet égard : certains, comme le président de Meilleurtaux.com Hervé Hatt, assurent que la rentrée pourrait être encore plus propice à l'emprunt tandis que d'autres s'inquiètent d'une remontée plus rapide que prévu.

Meilleurtaux.com dans le 19/45 de M6. http://youtu.be/q4_EAxZz92c

Selon une étude réalisée par Meilleurtaux.com, pour une mensualité de 1 000 euros sur 20 ans, les futurs acquéreurs pourront emprunter 186 990 euros à un taux de 2,60 %. En moyenne, la surface du bien acquis s'établira ainsi à 83 mètres carrés.

« Le début du mois d’août a été marqué par une stabilité quasi-générale dans l’ensemble des villes et régions de France », observe Hervé Hatt, Président de Meilleurtaux.com.

Interview de Mael Bernier, directrice de la communication chez Meuilleurtaux.com.

Pourtant, le nombre d'acquéreur reste moyen et stable, explique Maël Bernier, porte-parole du courtier Meilleurtaux.com. On devrait normalement voir beaucoup plus de transactions. Mais le problème c'est que les gens ont très peur pour leur emploi. Pour accéder au crédit immobilier, le CDI est quasiment devenu la condition sine qua non. Les banques prêtent à hauteur d'un tiers des revenus. Dernière condition : il faut pouvoir financer les frais de notaire, ce qui n'est pas toujours évident pour un jeune qui a de faibles économies.

Crédit immobilier : 5 bonnes astuces pour réduire la note Publié le 18 août 2014

« Conformément à la nouvelle loi Hamon, il suffit d'adresser une lettre signalant au banquier que vous allez être couvert par un autre contrat au moins 15 jours avant la date butoir de votre première année d'assurance », explique Maël Bernier.

Résultat : un pouvoir d'achat immobilier ragaillardi, qui progresse dans toutes les grandes villes de France sauf à Paris signale le courtier Meilleurtaux.com. En clair : cet argent bon marché soutient la demande donc maintient la fermeté des prix.

« Au total, en 2013, les banques ont financé 730 000 acquisitions dans l'ancien, à peine 85 000 dans le neuf, hors rachats de crédits », souligne Maël Bernier, directrice de la communication de Meilleurtaux.com.

Interview de Maël Bernier, directrice de la communication chez Meilleurtaux.com, sur France 3. C'est le moment de renégocier son prêt immobilier. http://youtu.be/EQNbHXce-3c

A la surprise des observateurs, les taux continuent en effet de battre des records à la baisse, au point d'être tombé à 2,7 % en moyenne en juillet. « En début d'année, on pariait plutôt sur une stabilité sur les six premiers mois, et une hausse éventuelle ensuite. Aujourd'hui on en est très loin », constate Maël Bernier, la porte-parole de Meilleurtaux.com. « Comme les banques se financent à des taux très peu élevés, elles prêtent donc aussi à des taux très bas », explique-t-elle.

D'où la seconde précaution : il faut faire la différence entre les barèmes donnés par les banques et les dossiers qui aboutissent réellement, chez un courtier. En conséquence, attention à l'idée même de classement des régions. « Nous n'avons aucun écart avec la métropole, et nous avons même régulièrement des barèmes meilleurs qu'au niveau national », assure Meilleurtaux.com.

Même son de cloche du côté de Meilleurtaux : l'incontournable courtier n'observe « que très peu de mouvements sur les barèmes des banques ». Toutefois, certaines caisses régionales ont continué d'afficher des taux encore plus bas en août. « Sur nos barèmes, les taux fixes négociés sont donc toujours orientés légèrement à la baisse » détaille Meilleurtaux.

La première modification et non des moindres, est que ce prêt sera indifféremment octroyé à des acquéreurs dans le neuf comme dans l'ancien. Rappelons que le précédent dispositif concernait uniquement le logement neuf, secteur peu dynamique à la Réunion. « C'est une excellente nouvelle. Il est évident que l'élargissement du dispositif aux biens anciens constitue un coup de pouce significatif à un marché dont la régulation ne peut aujourd'hui se faire que par la demande, c'est-à-dire par la capacité d'achat des acquéreurs », commente Frédéric Hoareau de meilleurtaux.com.

Interview de Maël Bernier, directrice de la communication chez Meilleurtaux.com, sur France 2. C'est le moment de renégocier son prêt immobilier. http://youtu.be/2MXj2lRP67s

Même son de cloche du côté de Meilleurtaux : l'incontournable courtier n'observe « que très peu de mouvements sur les barèmes des banques ». Toutefois, certaines caisses régionales ont continué d'afficher des taux encore plus bas en août. « Sur nos barèmes, les taux fixes négociés sont donc toujours orientés légèrement à la baisse » détaille Meilleurtaux.

Interview plateau : Karine Vergniol a reçu Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux.com http://www.bfmtv.com/video/bfmbusiness/grand-journal/mael-bernier-sebastien-lafond-grand-journal-05-08-3-7-215259/

« Dans un marché au ralenti, les banques n'hésitent pas à répercuter les baisses sur leur clientèle, d'autant plus qu'elles doivent atteindre leurs objectifs », rappelle aussi le courtier Meilleurtaux. La production de crédits immobiliers a en effet ralenti depuis le début de l'été et les banques en retard sur leurs objectifs se doivent d'afficher les taux les plus compétitifs pour attirer des clients emprunteurs.

Avec la dégringolade des taux des crédits immobiliers, le poids de l'assurance groupe proposée par la banque pèse, en effet, de plus en plus lourd dans le coût total de l'emprunt. Selon nos calculs réalisés avec Meilleurtaux, cette couverture peut actuellement représenter jusqu'à 25 % du coût total d'un crédit de 200 000 euros souscrit au taux de 2,7 % sur 20 ans.

Une nouvelle fois, les courtiers en crédit immobilier s'enthousiasment des conditions d'emprunt constatées cet été. En cause notamment, la stabilité des barèmes bancaires, maintenus à des niveaux historiquement avantageux pour les emprunteurs. « La grande majorité de nos partenaires bancaires ont leurs taux inchangés », témoigne la directrice de la communication de Meilleurtaux.com Maël Bernier dans un communiqué de presse.

Quelles conditions à la rentrée ? Meilleurtaux.com constate quant à lui en juillet des « ajustements baissiers » avec des taux fixes toujours orientés légèrement à la baisse avec 2,63 % sur 15 ans (baisse 0,10 %), 2,90 % sur 20 ans (en baisse de 0,10 % par rapport au mois dernier) et 3,34 % sur 25 ans (baisse 0,03 %). « La grande majorité de nos partenaires bancaires ont laissé leurs taux inchangés », précise Maël Bernier, directrice de la communication de Meilleurtaux.com.

Maël Bernier, directrice de la communication et porte-parole de Meilleurtaux.com « Privilégiez pour le prêt personnel ».