L’investissement locatif ne se limite pas à la location d’habitation. La location de bureaux, de locaux commerciaux ou d’établissements scolaires est également une valeur sûre lorsqu’il s’agit de capitaliser sur la pierre. Dernièrement, les investisseurs sont de plus en plus nombreux à s’intéresser aux infrastructures capables d’accueillir les grandes écoles, lesquelles sont susceptibles de souscrire un long bail. Un marché qui n’est pas près de s’essouffler Avec la crise sanitaire et le confinement, les autorités sanitaires ont décidé de restreindre l’accès aux bureaux et aux salles de classe, le temps de maîtriser la pandémie. Avec la décision prise par le gouvernement de fermer momentanément ces lieux, les observateurs craignaient un effondrement du marché des bureaux si jamais le télétravail était adopté de manière pérenne. Mais pour les écoles, la réalité est tout autre. Le corps enseignant ainsi que les autorités soulignent l’importance de la tenue d’une partie des cours en présentiel. Cet état de fait, combiné à l’augmentation constante du nombre d’étudiants en enseignement supérieur, conforte l’idée que le marché de l’immobilier d’école sera probablement épargné par la vacance locative. Une forte accélération ces cinq dernières années Important Les investisseurs ont pris conscience du potentiel de ce marché, ce qui explique son emballement depuis maintenant 5 ans. Pour preuve, le nombre de biens de plus de 5 000 mètres carrés qui se retrouvent sur le marché ne cesse d’augmenter. Plus d’une dizaine d’infrastructures de ce type se sont vendues au cours de ladite période alors que, pendant les 5 années précédentes, le compteur était à zéro. En guise d’exemple, il est possible de citer le futur campus construit par l’École de commerce au sein d’un immeuble sis à Clichy et qui a une surface totale de 13 700 mètres carrés. Ou encore la construction située à Suresnes et qui s’étend sur 13 200 mètres carrés et lequel devrait accueillir l’École de commerce et de management Skema. Un investissement sécurisé Les investisseurs ne se sont pas trompés, la demande en termes de bâtiments susceptibles d’accueillir un établissement d’enseignement supérieur va continuer à s’accroître dans les mois et années à venir. Sûrs de leur placement, ils sont prêts à faire face aux charges inhérentes à une acquisition de cette envergure, telles que les frais de notaire, les différentes commissions ou encore les primes d’assurance habitation.