Dans l’ancien, les prix immobiliers évoluent de façon hétérogène

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 19 septembre 2018 .
Temps de lecture : 2 min

La promesse Meilleurtaux

Chez Meilleurtaux nous aspirons à vous aider à prendre de meilleures décisions sur vos finances. Notre combat : vous rendre gagnant sur votre argent en vous donnant toutes les clés de compréhension sur nos offres. Consultez notre méthode de présentation des offres et comment nous nous rémunérons sur chacun de nos services.

Détails

Publié le mercredi 19 septembre 2018 11:16 par la Rédaction Meilleurtaux

Les prix des logements anciens ont amorcé leur remontée en septembre 2017. Ce rebond a toutefois été hétérogène sur l’ensemble du territoire. Les petites villes et les zones rurales ont enregistré une légère régression au cours des derniers mois. En revanche, les prix se sont pratiquement envolés dans certaines grandes agglomérations, notamment en région parisienne.

Une baisse remarquable des prix n’est pas encore à craindre

D’après un courtier immobilier, la tendance haussière des prix immobiliers, notamment dans l’ancien, n’est pas encore sur le point de se retourner. Ceux-ci restent généralement élevés dans les dix plus grandes villes de l’Hexagone, malgré l’accalmie observée cet été dans certaines agglomérations comme Lyon, Marseille, Nice ou Montpellier.

Important À Paris, le prix du mètre carré a même continué à grimper (+0,2 %) en août pour atteindre les 9 300 euros.

Les vendeurs n’ont donc pas de soucis à se faire, pour l’instant. D’ailleurs, le recours à un simulateur de prêt immobilier permet de constater que les taux toujours attractifs, associés aux conditions de financement avantageuses, parviennent à compenser plus ou moins efficacement la hausse des prix.

La hausse concerne surtout les grandes villes

Important L’indice de tension immobilière, qui définit le nombre de personnes en quête d’un bien à acquérir, est actuellement élevé pour la majorité des grandes villes de France.

Cet indicateur montre que l’offre ne suit plus la demande, ce qui entraîne automatiquement une envolée des prix.

Par ailleurs, l’indice des prix qui était constant depuis janvier a augmenté :

• de +2,7 % dans les grandes agglomérations ;
• de +0,8 % dans les zones rurales.

En rythme annuel, ce sont les villes de Lyon (+7,4 %), Nantes (+6,5 %), Paris (+4,9 %), Rennes (+4,3 %), Toulouse (+4,2 %), Bordeaux (+3,7 %) et Lille (+3,1 %) qui affichent les progressions les plus marquées. À Nice, Marseille et Montpellier, en revanche, la hausse reste modérée (pas plus de +2,5 %).

Seule Strasbourg a vu ses prix baisser de -0,2 % au cours des huit premiers mois de l’année.

Écrit par
La rédaction Meilleurtaux