Le site spécialisé dans l’immobilier de particulier à particulier, PAP, a récemment publié les résultats de son étude concernant les biens dans l’ancien. Cette catégorie de biens continue d’attirer les d'acheteurs et leurs prix poursuivent leur hausse, alors que les ventes de logements neufs se sont stabilisées et commencent même à diminuer dans de nombreuses agglomérations. De nombreux ménages se tournent vers l’ancien Le nombre de signatures de compromis de vente pour des logements anciens continue de progresser dans la plupart des régions de France, c’est ce qui ressort de cette étude. Important Il semble donc que les particuliers soient attirés par des biens qui ont du cachet et dont le prix est plus abordable que celui d’un logement neuf. De plus, ceux qui sont prêts à entreprendre quelques travaux de rénovation ont des chances de trouver de réelles opportunités. Un autre facteur qui explique cette tendance est l’insuffisance de l’offre dans le neuf. En effet, ces dernières années, la demande a fortement augmenté pour les habitations neuves, tandis que les projets de construction n’ont pas suivi la même évolution. Les biens mis en vente sont de ce fait de plus en plus rares. Dans l’ancien, l’offre est toujours importante et répond à la demande qui, elle, ne cesse de croître. Les prix dans l’ancien progressent sur tout le territoire Important Les prix de l’immobilier ont progressé de façon régulière depuis près de 10 ans, et c’est encore le cas dans l’ancien. La demande étant toujours élevée, la tendance est également à la hausse. D’après les données publiées sur le site internet PAP, « Cette dynamique devrait se poursuivre encore pendant quelques années ». Ainsi, il est possible de réaliser une belle plus-value à la revente, contrairement à ce que certains professionnels ont pu laisser entendre. Cette étude a concerné 22 villes et dans 86 % d’entre elles, les prix de l’immobilier ancien ont augmenté de +3 % à +7 % au cours des 12 derniers mois. La progression actuelle est plus faible qu’en août, mais la hausse est toujours bien marquée. De plus, la pression sur le marché de l’ancien est encore forte et les taux d’intérêt des prêts immobiliers restent très attractifs, ce qui devrait maintenir la tendance.