Harris Interactive a effectué un sondage sur le thème de « l’âge idéal pour acheter un logement » pour le réseau immobilier Guy Hoquet. La majorité des personnes interrogées sont d’accord sur l’importance d’avoir une résidence principale. C’est sur la notion de l’âge idéal et de l’utilisation du bien que les réponses divergent. Le logement est un investissement pour l’avenir Important La plupart des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête pensent qu’il est important de faire l’acquisition de sa résidence principale assez tôt, du moins tant qu’on est assez jeune pour travailler et pouvoir la payer. 71 % d’entre eux ont déjà franchi le pas ou comptent le faire dans les prochaines années. Il s’agit surtout d’un placement pour l’avenir, afin d’avoir au moins un logement quoiqu’il arrive ou pour offrir de vieux jours heureux aux parents. Fabrice Abraham, directeur général de Guy Hoquet. L’âge idéal pour l’achat d’un logement serait entre 25 et 34 an 70 % des personnes interrogées âgées de moins de 35 ans considèrent que le meilleur moment pour acquérir une résidence principale est entre 25 et 34 ans. Près de la moitié des plus de 65 ans le pensent également, alors que 31 %, soit un peu plus d’un tiers, estiment que la tranche 35-44 ans est l’idéal. Quoi qu’il en soit, il semble que les seniors soient plus près de la réalité. Les experts expliquent en effet que ceux qui achètent leur premier logement ont généralement entre 33 et 38 ans. Cependant, malgré les taux immobiliers toujours bas, l’accès au logement de ces primo-accédants est fortement handicapé par la hausse des prix et la réduction des aides publiques comme le PTZ ou l’APL accession. Les jeunes préfèrent un bien modulable Si les sondés sont plus ou moins unanimes sur l’âge idéal pour l’achat d’un premier logement, les avis diffèrent en revanche sur l’utilisation de ce dernier. Alors que les seniors y voient un moyen de disposer d’une résidence dans le sens propre du terme, les jeunes préfèrent plutôt un bien « modulable » qui peut être loué pour se constituer des revenus d’appoint ou être transformé en bureau, notamment avec l’essor du télétravail.