Dans la région francilienne, les prix de l’immobilier sont devenus hors de portée de la plupart des ménages, notamment ceux aux revenus modestes. Mais avec l’ouverture de nouvelles lignes de TGV, quelques cités qui se trouvent aux abords de la capitale font l’objet de convoitise, plus particulièrement de la part de personnes travaillant à Paris, mais n’ayant pas les moyens d’y habiter. Celles des Pays de la Loire entre autres. Nantes : la destination idéale pour les cadres Habiter sur les bords de l’Atlantique nécessite des efforts financiers assez considérables. Avec les nombreuses stations balnéaires, le prix de l’immobilier dans les Pays de la Loire évolue constamment à la hausse. Raison pour laquelle parmi les travailleurs franciliens, les cadres sont les plus nombreux à s’établir dans ce secteur. Avec 3 700 euros le mètre carré, les ménages modestes n’ont pas les moyens de s’aligner. Toutefois, la majorité des cadres franciliens y recherchent une résidence secondaire, étant donné que Nantes reste tout de même moins chère que Lyon ou encore Bordeaux. Les ménages aux revenus moins conséquents préfèrent s’installer dans le Centre-Val de Loire Important Très bien desservi depuis l’ouverture de la ligne directe de TGV vers Paris, le Centre-Val de Loire présente des prix beaucoup plus abordables. Le mètre carré se négocie rarement au-dessus de 2 000 euros, soit l’exact prix moyen affiché à Orléans. Mais il est possible de trouver beaucoup moins cher, si le courtier auquel le futur acquéreur s’adresse se tourne du côté de Montargis. Dans ce secteur, le mètre carré se monnaie en moyenne à 1 250 euros. L’achat est d’autant plus intéressant avec les taux proposés actuellement par les banques. Avec un budget de 180 000 euros, se positionner sur une maison individuelle de 110 m2 reste envisageable. La région Pays de la Loire se présente comme un bon choix pour ceux qui souhaitent faire leur toute première acquisition immobilière. En effet, certaines villes de ces localités sont éligibles à l’éco-ptz, réduisant ainsi de manière sensible le montant de l’investissement. C’est le cas, entre autres, de Nantes, de Tours ou encore d’Orléans.