Les Français veulent réaliser leur rêve immobilier malgré le contexte économique difficile

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 26 avril 2023 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le samedi 22 avril 2023 09:37 par la Rédaction Meilleurtaux

L’achat immobilier reste un rêve ancré chez les Français, malgré le contexte économique et géopolitique peu favorable à la consommation. Selon une enquête réalisée par Capital, un tiers des ménages français souhaiteraient déménager dans les deux prochaines années, et 50 % d’entre eux désirent devenir propriétaires. Les critères de sélection ont évolué avec la pandémie de Covid-19, les Français souhaitent désormais des espaces extérieurs, un espace de travail et des logements écoresponsables.

Un attrait croissant pour les villes moyennes et les zones rurales

De son côté, CBRE a mené une étude pour déterminer comment les aspirations des Français impacteront l’immobilier dans le futur.

Important Les résultats démontrent que les primo-accédants français veulent s’installer dans des zones moins densément peuplées et aspirent à une meilleure qualité de vie. Les villes moyennes et les zones rurales sont devenues plus attractives, tandis que les grandes métropoles perdent de leur attrait.

Le travail également déterminant dans le choix du logement

Important L’étude nous apprend également que la question du travail est corrélée à celle du logement, les critères de sélection étant le salaire, la durée des trajets domicile-bureau et la flexibilité.

Les Français souhaitent ainsi que le temps de transport domicile-bureau n’excède pas 30 minutes, ce qui explique l’engouement pour les zones périurbaines offrant un immobilier plus accessible et des espaces extérieurs tels que des jardins.

La localisation des immeubles de bureaux est également devenue essentielle, dans la mesure où les Français expriment une volonté de desserrement géographique pour leur lieu de résidence. Les bureaux en centre-ville ont le taux de satisfaction le plus élevé, tandis que ceux en zone périphérique ont le taux le plus bas, en raison du manque de commodités.