Sur un marché en faveur des acquéreurs, le réseau ERA Immobilier fournit un argument supplémentaire aux vendeurs en proposant une garantie revente lorsqu’un bien est cédé dans les 3 ans suivant son achat. Couverture en cas de perte à la revente d’un bien Avec sa Garantie Revente ERA, si la revente d’un bien immobilier se fait à perte, le vendeur est indemnisé. Le prix d’achat tient compte des frais de notaire et éventuelles commissions prélevées par l’agent immobilier pour la transaction, tandis que le prix de revente exclut ces frais annexes. Le dispositif porte sur tous les biens situés en France métropolitaine ou en outre-mer, qu’ils soient utilisés comme résidence principale ou secondaire ou mis en location. La vente doit par ailleurs avoir été conclue devant le notaire au plus tard le 31 décembre 2015. Enfin, l’acheteur ne peut bénéficier de la Garantie Revente que si le vendeur a opté pour un mandat exclusif de vente auprès d’une agence du réseau ERA Immobilier, une mesure gratuite, mais aux multiples avantages. Une sécurisation en plusieurs points La garantie couvre le décès et l’invalidité totale et irréversible, si l’assuré subit une rupture d’anévrisme ou un infarctus (application après un délai de carence de 6 mois) ou un accident (application immédiate) dans les 3 ans suivant la signature du contrat définitif chez le notaire, et à condition que la revente soit faite dans les 18 mois. D’une part, cette garantie réduit le délai de vente, car les candidats à l’achat ont la certitude que l’estimation de la valeur du bien est très proche de celle du marché, puisqu’elle va servir de base au calcul du montant de la garantie. Cela signifie qu’ils vont payer le juste prix, sans majoration, et rend le bien encore plus attractif. Par ailleurs, s’il arrive à l’emprunteur un accident grave l’obligeant à se séparer du bien, lui ou ses ayants droit obtiendront une indemnisation importante d’une éventuelle perte financière. Elle peut aller jusqu’à 20 % du prix d’achat du bien dans la limite de 30 000 € ou 40 000 € pour les logements situés dans la région parisienne, plus un maximum de 15 000 € au titre des travaux effectués par l’acquéreur et non inclus dans un prêt. Cette sécurisation contribue à lever l’obstacle représenté par l’incertitude face à l’avenir qui freine encore beaucoup de ménages, les encourageant à franchir le pas.