Les taux immobiliers sur 15 ans tombent à 2 %

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 27 février 2015 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le vendredi 27 février 2015 14:58 par la Rédaction Meilleurtaux

L’Agence nationale pour l’information sur le logement (Anil) vient de présenter son indicateur des taux pour les trois premiers mois 2015. Les barèmes bancaires pour les taux fixes sur 15 ans se situent entre 2 % et 3,75 %.

Des taux fixes aux alentours de 2 % sur 15 ans

L’Anil observe une baisse continue des taux des crédits immobiliers au premier trimestre 2015.

« Les candidats à l’accession ont généralement pu emprunter à des taux fixes inférieurs à 3 % sur 15 ans », note l’agence dans sa météo des taux, qui passe au crible tous les trois mois les tarifs des sept principales banques françaises, à savoir le Crédit Mutuel, la Banque Postale, la Caisse d’Épargne, Cetelem, BNP Paribas, LCL et le Crédit Agricole.

Selon l’indicateur, les taux fixes sur 15 ans (hors assurance) sont compris entre 2 % (chez Crédit Agricole) et 3,75 % (chez la Banque Postale).

Si le taux prêt immobilier fixe maximum de la Banque Postale reste bien supérieur à 3 %, elle affiche un minimum proche de celui des autres établissements, à savoir 2,05 %. LCL propose, pour sa part, une fourchette très réduite, avec un taux maximum de 3 % et un minimum de 2,50 %, soit 0,25 point de plus que celui de la banque Postale et du Crédit Agricole.

Les taux variables s’affichent également à la baisse

En ce qui concerne les taux variables, le Crédit Agricole arrive en première place des banques les moins couteuses, avec un taux minimal de 1,55 %, devant Cetelem (1,75 %) et la Caisse d’Épargne (1,80 %). Là encore, la Banque Postale et LCL enregistre le taux maximum le plus élevé, à 2,75 %.

D’après l’Anil, ce repli des taux immobiliers, « ainsi que le soutien de l’État aux primo-accédants et aux investisseurs, permettront de consolider une production mensuelle de crédit à l’habitat bien supérieur au niveau constaté au cours de cette dernière décennie, à savoir 10 milliards d’euros ».

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La rédaction Meilleurtaux