Immobilier haut de gamme : Paris, la ville où les prix sont les moins chers

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 12 mai 2014 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le vendredi 9 mai 2014 10:10 par la Rédaction Meilleurtaux

Barnes, agence immobilière spécialisée dans les transactions sur les biens de luxe, affirme que les prix parisiens sont actuellement les moins chers par rapport aux autres grandes villes de la planète. Elle n’hésite pas à qualifier la capitale de « bon marché », ce qui devrait présenter plusieurs opportunités aux acheteurs qui veulent se lancer dans leurs projets.

Les biens immobiliers de luxe parisiens sont les plus abordables au monde

Paris est la ville où les biens immobiliers de très haut standing sont les plus accessibles au monde. Il y a peu, Miami était encore la ville la « moins chère », mais le marché y a connu un rebond spectaculaire, les prix ayant explosé de plus de 50 % depuis quelques années. À Paris par contre les prix n’ont cessé de baisser avec un repli de 10 % enregistré en 2013. D’un autre côté, le stock des biens d’une valeur de plus de 2 millions d’euros mis sur le marché est en forte hausse. Selon Barnes, les logements de prestige qui coûtent jusqu’à 2 millions d’euros s’écoulent très bien et à des prix « normaux », conduisant le nombre de transactions effectuées sur ce secteur à augmenter de 50 % depuis janvier. D’un autre côté, les biens plus chers stagnent et le volume de vente a diminué de 25 % depuis le début de l’année.

Des acquéreurs exigeants

Les grandes fortunes qui veulent investir dans le haut de gamme parisien sont en effet très exigeantes sur la qualité du bien qu’elles achètent. Une grande maison à l’emplacement exceptionnel, mais qui présenterait des défauts peut ainsi voir son prix fondre de 5 millions par rapport aux prix qui ont été pratiqués en 2012. D’un autre côté, ces gens fortunés ne se cantonnent pas à une ville précise, mais ils tiennent aussi compte des opportunités fiscales des autres mégapoles internationales.

Le marché représenté par les biens de moins de 2 millions d’euros intéresse surtout les particuliers qui ne veulent ou ne peuvent pas s’installer dans d’autres grandes villes du monde. Barnes les décrit comme étant des familles qui ont peu de membres et dont la fortune est en grande partie focalisée sur leur résidence principale.