Bien des acheteurs potentiels de biens immobiliers restent dans l'expectative et se demandent s'ils doivent s'engager dans l'acquisition d'un logement ou s'ils doivent encore attendre jusqu'à ce que les prix et les taux des crédits baissent encore plus. De nombreux observateurs estiment néanmoins que le moment est favorable, tandis que d'autres annoncent que les taux devraient encore baisser d'ici peu. Profitez d'un environnement favorable au crédit immobilier Les professionnels de l'immobilier ainsi que les banques sont unanimes pour affirmer que les taux des crédits immobiliers ont encore atteint leur plus bas niveau historique. S'ils variaient autour de 2,89 % à l'été 2013, ils ont littéralement crevé le plancher en mai 2014 pour osciller autour de 2,85 %. De leur côté les prix des logements mis sur le marché continuent également leur baisse, et ce, même dans la capitale. De l'avis de tous, le moment est donc propice à l'achat d'un bien immobilier, qu'il s'agisse d'une résidence principale, secondaire ou d'un investissement locatif. Certains analystes estiment néanmoins que ces taux pourraient encore baisser dans les semaines à venir. Cet été pourrait donc s'annoncer comme étant le meilleur moment pour faire son achat immobilier. Par ailleurs, outre la concrétisation d'une acquisition immobilière, l'ensemble de la profession s'accorde sur la période propice pour renégocier son prêt immobilier. Des taux qui profitent surtout à l'ancien Si les taux immobilier demeurent très bas, ils sont encore plus intéressants pour ceux qui veulent acheter un bien immobilier dans l'ancien, car ils varient autour de 2,84 % selon les données de l'Observatoire Crédit Logement-CSA. Les prêts à l'habitat destinés aux biens neufs sont quant à eux accordés à un taux évoluant autour de 2,94 %. Ceux qui empruntent pour financer des travaux dans leur maison ou leur appartement peuvent décrocher un prêt à 2,79 %. La durée des contrats continue à baisser, les observateurs s'attendent même à ce que les prêts conclus en mai soient accordés pour 202 mois contre 205 mois en avril. Du côté des banques, les conditions sont toujours strictes, ces dernières exigeant souvent un apport conséquent de la part des emprunteurs. Sur le front des prix, la tendance est à la baisse, mais elle n'est pas significative. Les prix affichés restent très élevés, et ils constituent un écueil de taille pour certains acheteurs, notamment les primo-accédants.