Rebond du marché des maisons de vacances dans certains territoires

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 26 juillet 2024 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le mercredi 31 juillet 2024 10:44 par la Rédaction Meilleurtaux

La baisse des taux immobiliers profite à certains territoires considérés jusqu’alors comme étant moins attractifs pour l’achat d’une maison de vacances. En effet, l’affluence sur les régions les plus prisées comme la Normandie et la PACA commence à décroître, et les acquéreurs se tournent peu à peu vers celles où les prix sont les plus accessibles, à l’instar du Grand Est et des Pays de la Loire. Depuis l’été 2023, la demande a enregistré une hausse significative dans ces territoires, et la tendance s’est poursuivie au premier trimestre 2024.

Les acquéreurs à l’affût de bonnes affaires

ImportantLa perte de pouvoir d’achat causé par l’inflation et le renchérissement du coût des crédits au cours des deux dernières années a incité les acquéreurs à se tourner vers ces territoires où les prix sont les plus bas du marché.

Et bien que les taux d’emprunt aient reculé depuis quelques mois, ces derniers sont toujours à l’affût de bonnes affaires, ce qui explique leur choix.

Parmi les régions qui attirent le plus d’acheteurs de résidence secondaire figurent les Pays de la Loire (29 %), le Grand Est (26 %) et la Bourgogne-Franche-Comté (20 %), d’après le constat d’un professionnel immobilier.

Outre ceux qui souhaitent tout simplement disposer d’une maison de vacances, d’autres envisagent de se lancer dans l’investissement locatif et de profiter de l’assouplissement des conditions de crédit pour concrétiser leurs projets.

D’ailleurs, en se faisant accompagner par un courtier, il est plus facile d’accéder aux offres les plus avantageuses. D’autre part, cet expert peut négocier les meilleurs taux pour ses clients et les aider à optimiser leurs dossiers.

Les acheteurs étrangers de retour sur le marché

Le rebond du marché des maisons de vacance est également marqué par le retour des acheteurs étrangers, après une absence de près de deux ans.

Comparés aux Français, ceux-ci disposent d’un budget nettement plus élevé, et peuvent se permettre d’acquérir des biens à des prix faramineux (plus de 530 000 euros).