Le nombre de dossiers de surendettement déposés auprès de la Banque de France est en hausse. Afin d’alléger et accélérer les procédures, Intrum Justitia, leader de la gestion du poste client et du recouvrement en Europe, permet de les dématérialiser grâce à sa plateforme innovante. Optimiser la procédure de surendettement, enjeu majeur pour les entreprises Dans un objectif de protection des consommateurs, les différentes commissions de la Banque de France traitent les demandes de surendettement. Or, avec le format papier actuel, la démarche est extrêmement chronophage, impliquant en moyenne une longue correspondance entre cette institution, les débiteurs et les créanciers. L’augmentation constante des dossiers reçus (231 000 en 2014, représentant un montant de 9,5 milliards d’euros), optimiser la procédure est crucial pour ces derniers, qui supportent avec la BDF les 28 millions d’euros de frais administratifs liés à ces 12,5 millions de courriers. La dématérialisation répond aux problématiques des créanciers À cet enjeu majeur, Intrum Justitia apporte une réponse concrète et novatrice : la dématérialisation de l’intégralité de la procédure, de la négociation du surendettement au recouvrement. Bien que sa solution concerne les flux entre la Banque de France et les créanciers, elle profite à toutes les parties prenantes : les délais sont raccourcis, permettant au débiteur de rééquilibrer ses finances et au créancier d’être remboursé plus rapidement ; les coûts de traitement et d’envoi diminuent ; la relation commerciale entre créancier et débiteur est préservée, et la consommation de papier est minimisée. Le rachat de crédit, une alternative efficace pour éviter le surendettement Une autre option s’offre à un ménage en difficulté pour éviter le surendettement : le rachat de crédit. Cette opération consiste à regrouper toutes ses dettes en cours en un contrat unique, à un taux plus avantageux. Grâce à un allongement de la durée de remboursement, le montant de chaque mensualité baisse, permettant d’améliorer sa trésorerie et de gagner du pouvoir d’achat. Avec la chute des taux d’intérêt des prêts immobiliers depuis 2013, les demandes de rachat de crédit ont fortement augmenté, et malgré la stabilisation du marché, elles continuent de représenter une part importante de l’activité globale.