Ces dernières décennies, la canicule frappe régulièrement la France, et toute l’Europe d’ailleurs. Chaque année durant la période estivale, chaque foyer essaie de trouver une solution provisoire afin de réduire l’intensité de la chaleur dans le logement. Les experts ont indiqué que seule une rénovation énergétique globale pourra résoudre ce problème. Ces spécialistes préconisent de ce fait une bonne isolation de toutes les parois et ouvertures, de même que la mise en place d’un système de ventilation à double flux. Ce dispositif permet de renouveler systématiquement l’air intérieur tout en limitant les variations thermiques importantes aussi bien en hiver qu’en été. Outre cela, il faut également installer un système de chauffage et de production d’eau chaude plus performant. L’idéal est de réaliser tous les travaux en une seule fois Selon les experts en économie sociale et solidaire, l’idéal est de réaliser tous les travaux en une seule fois, ou en deux étapes. Toutefois, faute de moyens financiers, un grand nombre de ménages hésitent à mener une rénovation énergétique globale de leurs logements. D’ailleurs, les coûts de traitement de tous les postes de travaux sont élevés : il faut prévoir 600 euros par mètre carré de surface habitable. Et avec l’inflation actuelle, ce type de projet devient secondaire pour de nombreux Français. ImportantCôté financement, en plus des aides accordées par l’État (CEE, MaPrimeRénov, etc.), les propriétaires peuvent demander un éco-prêt à taux zéro ou un prêt avance rénovation pour financer les travaux. Ces subventions peuvent être complétées par un prêt personnel ou un crédit travaux classique. À l’aide de notre outil de simulation crédit conso, il est facile d’évaluer le montant des mensualités à rembourser et le coût total du prêt. Cette démarche permet également d’accéder aux offres les plus pertinentes du marché. Réduction significative de la facture de chauffage La rénovation énergétique globale permettra de réduire significativement la facture de chauffage, selon toujours les professionnels. Ils affirment que la consommation annuelle du foyer pourrait être divisée par 4, et il ne serait plus nécessaire de recourir à une climatisation en été, car la température à l’intérieur se stabiliserait autour de 24 °C même s’il fait extrêmement chaud à l’extérieur du logement.