À Paris, les ventes reculent, notamment depuis la fin du confinement. En quête de logement plus spacieux avec verdure, un grand nombre de Parisiens quittent la capitale pour la banlieue. Malgré cela, les notaires constatent une augmentation des prix de +8 % sur un an : le mètre carré coûte 10 690 euros au deuxième trimestre. En revanche, la forte demande entraîne une progression plus marquée des prix en région. Pour la grande couronne, les prix des maisons devraient bondir de +7,6 % et ceux des appartements de +6,1 %. En petite couronne, la flambée devrait être plus prononcée et avoisiner les +9 %. Cette envolée concerne aussi bien les maisons que les appartements avec espace extérieur. La crise sanitaire a fait évoluer la demande La crise sanitaire et notamment le confinement ont fait évoluer la demande immobilière en région parisienne. ImportantSouhaitant vivre dans un environnement plus vert et dans une résidence plus spacieuse, les acquéreurs ont modifié leurs critères d’achat, raison pour laquelle ils préfèrent déménager en banlieue. Même si la majorité des acheteurs veulent concrétiser le plus rapidement leurs projets immobiliers, il leur faut trouver un financement pouvant couvrir le coût d’acquisition. Et afin de limiter le coût du crédit, il est conseillé de choisir une assurance emprunteur, dont le contrat peut être personnalisé suivant ses besoins. Il convient ainsi de comparer les offres de plusieurs assureurs. L’assistance d’un courtier permettra de gagner du temps et de réaliser des économies. Baisse tendancielle des activités dans la capitale Selon les notaires, le repli des volumes des ventes immobilières à Paris n’est pas un phénomène nouveau. ImportantLa flambée des prix des logements a ralenti les activités du marché dans la capitale depuis quelques années. Outre cela, la demande a toujours surpassé l’offre limitant le nombre des transactions. En un an (entre le deuxième trimestre 2019 et celui du 2020), l’activité a diminué de -32 %. En ce qui concerne les ventes, le niveau a baissé de -28 % comparé au second trimestre de l’année dernière, et de -18 % comparé au niveau moyen établi entre 2010 et 2020.