Quel que soit le niveau d’étude de leurs enfants, et même lorsqu’ils ne sont pas encore scolarisés, les parents ont déjà une idée précise de leur métier futur. Découvrez les résultats d’une enquête menée par HSBC et rendus publics le 9 septembre dernier. 81 % des parents ont une « profession préférée » pour leurs enfants Selon cette étude d’HSBC, 81 % des parents ont déjà réfléchi à leur « profession préférée » pour leur progéniture. En particulier lorsque ces derniers sont dans le secondaire, 88 % des sondés ont une opinion bien arrêtée. Les chiffres baissent à 73 % et 76 % respectivement lorsque les enfants sont en maternelle et en primaire. Même lorsque ces derniers sont dans l’enseignement supérieur, le taux reste élevé, à 84 %. ImportantSans surprise, en tête du classement des professions préférées des parents figurent les professions médicales (15 %), les ingénieurs (10 %) et les enseignants (7 %). Le top 10 comprend également les informaticiens, les fonctionnaires et les métiers du droit (6 % pour l’ensemble de ces métiers). Les critères de sélection du métier idéal Pour choisir le futur métier de leur progéniture, les parents mentionnent en premier lieu les points forts de chacun (36 %), la situation professionnelle (29 %), le potentiel de rémunération (25 %) surtout pour les garçons (31 % contre 19% pour les filles), l’équilibre « vie privée, vie professionnelle » (21 %), la sécurité de l’emploi (19 %) ou encore la stimulation intellectuelle liée à la profession (17 %). Des nuances existent cependant, notamment suivant le sexe de l’enfant. Les parents orienteront plus volontiers leur fille que leur fils vers une carrière de médecin (19 % contre 10 %). Ils seraient également plus nombreux à pousser leur fille vers le fonctionnariat (10 % pour les filles contre 4 % pour les garçons). En revanche, ils encourageraient davantage leurs fils vers l’informatique (10 %) que leur fille (2 %). Le niveau d’études de l’enfant entre également en ligne de compte. Les personnes ayant mentionné la médecine par exemple sont majoritairement des parents d’enfants de maternelle (25 %), le pourcentage tombant à 7 % pour les parents d’universitaires. Le regroupement de crédits pour financer les études des enfants Pour financer les études de leurs enfants, les parents asphyxiés par un taux d’endettement trop élevé peuvent effectuer un regroupement de crédits. Cette opération consiste à regrouper leurs dettes en cours au profit d’un nouveau contrat aux conditions plus attractives. La durée de remboursement est allongée, allégeant les mensualités pour leur redonner du pouvoir d’achat.