Lors de la première vague de contamination au coronavirus, le premier réflexe des pays a été de fermer leurs frontières, avant de mettre en place un confinement national. À l’heure où le variant « Omicron » semble ne plus pouvoir être contenu, certains pays se résignent à accueillir de nouveau les touristes vaccinés. C’est le cas d’Israël. Puisque le mal est déjà là… Important Surement par volonté d’éviter une nouvelle paralysie économique, les autorités israéliennes ont annoncé rouvrir l’accès au pays aux voyageurs vaccinés, et ce, malgré la forte propagation du variant Omicron. Il n’est donc plus question de fermeture des frontières, mais les étrangers qui envisagent de visiter Israël doivent tout de même présenter un test négatif avant d’embarquer dans l’avion. Selon les autorités, À ce stade de la propagation du variant Omicron, refuser l’entrée aux touristes ne serait plus d’une grande utilité, vu que le virus est déjà présent sur le territoire. Outre le test PCR, un parcours vaccinal complet sera également exigé. Malgré l’envolée du nombre de nouveaux cas positifs et alors que le pic de contamination n’a pas encore été atteint, le gouvernement israélien a ainsi décidé d’adopter la politique d’ouverture. L’omniprésence du virus et de ces variants ne doit plus paralyser le pays et entraver la relance économique. Il faudrait peut-être apprendre à vivre avec le virus Tout en gardant espoir de pouvoir endiguer un jour l’épidémie, le gouvernement israélien se résout à vivre avec le virus. Les gestes barrières sont toujours de rigueur, mais les habitants sont invités à poursuivre leurs activités habituelles, à retrouver un semblant de normalité. Outre le tourisme, tous les autres secteurs économiques devraient donc reprendre leur cours normal, à commencer par le marché du crédit. Les Israéliens pourront de nouveau souscrire un crédit conso ou un crédit immobilier et ainsi lancer leur projet mis en suspens à cause de la pandémie. Important Par ailleurs, le gouvernement recommande aux personnes âgées de plus de 60 ans et qui sont considérées comme plus vulnérables face au virus et ses variants de se faire injecter une quatrième dose de vaccin dans les plus brefs délais.