À cause des restrictions diverses liées à la crise sanitaire, les Français ont passé la majeure partie de leur temps chez eux l’an dernier. 48 % des ménages en ont profité pour réaliser des travaux d’aménagement, de rénovation et de décoration de leur logement. Selon une étude Cofidis/CSA Research, ces projets leur ont coûté 4 772 € par foyer en moyenne. Une dépense moyenne de 4 772 € pour améliorer son intérieur D’après l’enquête, Près de 60 % des profils de type CSP+ se sont lancés dans des travaux, tout comme 56 % des propriétaires et 52 % des ménages qui habitent dans une maison. Toutefois, ImportantLes personnes en télétravail ont été les plus nombreuses (61 %) à aménager leur intérieur afin d’être plus à l’aise pour exercer leur activité professionnelle. Ces foyers ont consacré 4 772 € en moyenne pour vivre dans un cadre plus conforme à leurs exigences. Toutefois, de fortes disparités sont observées concernant le montant engagé. En effet, alors que 35 % des sondés n’ont pas déboursé plus de 500 €, 28 % du panel déclare avoir dépensé plus de 3 000 €. Pour le financement, 39 % des répondants ont puisé dans leur compte courant, quand 32 % ont mobilisé leur épargne. D’ailleurs, beaucoup avaient prévu un petit budget à cet effet et 25 % s’en sont servi. Enfin, 12 % des personnes interrogées ont eu recours au paiement fractionné et 8 % ont contracté un prêt personnel. Les principaux types d’améliorations réalisés dans le logement D’après l’étude, 40 % des projets d’amélioration réalisés ont concerné la décoration des pièces à vivre. 3 ménages sur 10 ont remplacé une partie de leur mobilier et 27 % se sont offert des articles destinés à mettre leur intérieur à leur goût. Concernant les aménagements, la cuisine ou la salle de bain ont concentré 25 % des rénovations effectuées. ImportantAujourd’hui, 28 % des sondés trouvent leur maison ou leur appartement plus agréable et plus confortable. L’évolution est appréciable, sachant des millions de personnes à travers la France avaient relevé des défauts plus ou moins importants dans leurs logements lors du premier confinement au printemps 2020. Or, au vu de la situation sanitaire actuelle, ils pourraient encore passer une bonne partie de leurs journées à leur domicile ces prochaines semaines.