À quelques semaines de la fin de l’année, les Français ont arrêté leurs projets. Ils vont consacrer 240 € en moyenne pour leurs emplettes. En dépit de la crise qui continue d’inquiéter une partie des ménages, de nombreux autres entendent ne pas se priver pour les fêtes. Les Français veulent profiter des fêtes de fin d’année D’après un sondage commandé par le groupe de communication et de voyages Havas à Yougov, Les Français prévoient de dépenser 240 € pour les cadeaux de Noël. Pour une personne sur trois, l’enveloppe achats pour cette fin 2021 grimpe même à 430 €. ImportantIl faut dire que l’épargne des ménages a atteint des sommets inédits depuis le début de la pandémie de Covid-19, les restrictions ayant pesé sur la consommation. Les familles espèrent ainsi profiter pleinement des festivités cette fois-ci après les limitations de l’an dernier,quitte parfois à souscrire un prêt personnel pour compléter leur budget. L’étude révèle que La première source d’inspiration pour trouver les cadeaux à acheter reste les catalogues des enseignes spécialisées et de la grande distribution. Cependant, les jeunes générations (entre 18 et 34 ans) affirment Privilégier les publications des marques sur les médias sociaux et dans les vitrines pour dénicher LA bonne idée. L’anticipation est la clé pour plus de 50 % des sondés. L’affluence dans les magasins risque donc d’augmenter de manière significative à partir du mois de novembre. Beaucoup redoutent les pénuries causées par les problèmes d’approvisionnement à l’échelle mondiale. Une hausse par rapport à 2020 est attendue pour le Black Friday, le 26 novembre, avec un possible retour à son niveau de 2019. Les opérations réalisées durant cet événement pourraient ainsi représenter 12 % des sommes alloués aux présents et pour chez les plus jeunes, cette proportion devrait même atteindre 17 %. Les commerces physiques pour les cadeaux et les courses alimentaires ImportantPour leurs courses, les Français vont se tourner en priorité vers les commerces physiques. Près d’un quart des foyers (24 %) vont d’ailleurs se cantonner à ce type de magasin. En comparaison, seulement 16 % vont se procurer tout ce dont ils ont besoin sur Internet. Ce chiffre peut surprendre compte tenu de l’essor des ventes en ligne engendré par la crise sanitaire et les confinements. Selon les analystes de Havas, Les achats sur Internet sont motivés par la rapidité et les opportunités de faire de bonnes affaires, tandis que les adeptes du physique sont avant tout en quête d’une expérience client innovante. S’agissant des courses alimentaires, 62 % des participants à l’enquête vont se rendre en grandes surfaces, tandis que 45 % préfèrent s’approvisionner dans les circuits de proximité.