D’après les résultats d’une étude menée par BlackRock, société de gestion d’actifs cotée en bourse, l’heure est actuellement à l’intégration des nouvelles technologies aux activités pour les professionnels de l’assurance. Cet expert explique que le secteur entame une nouvelle étape dans sa démarche de digitalisation, après la numérisation des processus. Ce sondage de BlackRock a permis de constater que les acteurs du domaine comptent bien miser sur les technologies applicables à leurs activités pour optimiser le développement de ces dernières et la qualité de leurs services. Ils mettront également l’accent sur la durabilité des investissements et la diversification des actifs selon un responsable de cette multinationale américaine. Possible hausse des dépenses en technologie dans les deux prochaines années ImportantPrès de 6 responsables d’assurance sur 10 ayant participé à cette étude ont déclaré avoir l’intention de consacrer plus de budgets pour les dépenses en technologie dans les deux prochaines années. Outre cela, la hausse des allocations aux investissements durables et des allocations aux actifs alternatifs figure aussi dans la liste de leurs priorités. Ainsi, les marchés privés pourraient bénéficier davantage d’allocations, dont le montant dépasserait les 700 millions d’euros d’ici deux ans. Pour rappel, l’assurance emprunteur est facultative pour la souscription d’un prêt personnel, mais certains établissements de crédit l’exigent. Dans ce cas, il est recommandé de comparer plusieurs offres d’assurance avant de fixer son choix. Et pour ce faire, il faut non seulement prendre en compte les tarifs, mais aussi la couverture (les garanties offertes par le contrat). Avec l’accompagnement d’un courtier, il sera plus facile de trouver la solution la plus avantageuse en termes de conditions de remboursement du prêt, de taux, et de frais. Intégration technologique de la gestion du bilan et des risques climatiques Afin d’améliorer leurs performances technologiques et de renforcer leur compétitivité sur le marché, plus de la moitié des assureurs (56 %) envisagent de prioriser l’intégration de l’ALM (Asset and Liability management). Plus de 4 répondants sur 5 vont en revanche se concentrer sur la technologie de la gestion des risques multiactifs. Par ailleurs, les technologies qui intègrent les risques climatiques intéressent plus de 4 assureurs sur 10. Celles-ci leur permettraient d’optimiser la gestion des risques y compris ceux de la durabilité.