Les attentes des Français en matière de logement ont nettement changé depuis le premier confinement. Désormais, la priorité est de trouver les biens les mieux positionnés. Exit les grandes métropoles, les aspirants à la propriété souhaitent plutôt s’installer dans les petites villes, avec plus d’espace, mais toujours près des commodités. Saint-Marcellin, une commune située dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, remplit tous ces critères. Une ville propice à l’investissement en locatif Juste après le premier confinement, les Français se sont mis en tête de quitter les grandes villes pour s’établir dans un coin de verdure. Mais même avec l’instauration du télétravail, ils ne pouvaient pas se permettre d’élire domicile dans des lieux trop reculés. Certaines commodités restent indispensables, comme la couverture réseau ou encore la présence des différents commerces de proximité. ImportantPour cette raison, leurs recherches se sont davantage orientées vers les villes dites « de second plan », c’est-à-dire les villes à taille humaine qui ne sont pas trop éloignées des grandes métropoles. Saint-Marcellin n’attire pas uniquement les personnes en quête d’une résidence principale. Les candidats à la location y sont également nombreux. Il s’agit aussi bien de célibataires, de colocataires que des familles. Il n’est donc pas étonnant d’y voir affluer les investisseurs ayant flairé le bon filon. La ville est évidemment consciente de cette arrivée massive d’investisseurs et n’a pas tardé à agir en conséquence. Afin de redonner de la vie au centre-ville, Saint-Marcellin sera le théâtre de nombreuses nouvelles constructions destinées à attirer à la fois les familles et les investisseurs. D’ici à 2030, 700 nouveaux logements devraient sortir de terre. Des prix bien en deçà de ceux pratiqués dans les grandes villes Si Saint-Marcellin attire autant d’acheteurs, c’est également grâce aux prix qui y sont pratiqués et qui semblent pour le moment à l’abri de l’inflation. En ce qui concerne les maisons, objets suprêmes des convoitises, de belles villas (150 m2 de surfaces habitables) bâties sur de vastes terrains (3 000 m2) sont proposées entre 300 000 et 350 000 euros. Même pour ceux qui disposent d’une capacité d’emprunt moindre, à cause notamment de l’assurance prêt immobilier qui est devenue plus chère depuis l’apparition de la crise sanitaire, il y a tout de même la possibilité de se positionner sur des résidences individuelles de 100 m2 puisqu’elles sont affichées autour de 200 000 euros.