Après les taux d’intérêt de crédit immobilier qui atteignent des planchers record, c’est au tour du taux du regroupement de crédits d’emboîter le pas en amorçant sa baisse. Il n’est plus surprenant que les opérations de rachat de crédit montent en flèche. Rachat de crédit : pour une meilleure gestion de votre budget Pour éviter de vous faire juguler par un taux d’endettement élevé, pensez à regrouper vos crédits en cours. Que ce soit pour pallier une baisse de revenus ou pour alléger vos mensualités, le rachat de crédit n’a jamais été aussi intéressant. Avec la baisse continue des taux, aussi bien pour les taux fixes que les taux variables, les conditions sont aujourd’hui extrêmement attractives comparées aux années précédentes. Bien sûr, la plupart de ces offres optimisées sont destinées principalement aux propriétaires et aux primo-accédants dont le bien peut servir de garantie. Les conditions peuvent ainsi être moins avantageuses pour les locataires. Les locataires, en bonne position pour profiter des taux bas Comparé à la même période il y a un an, le taux fixe des prêts assortis d’une garantie ont perdu un point. Rappelons en outre que les meilleurs profils disposent, face aux banques, d’un pouvoir de négociation accru. Ainsi, pour faire les yeux doux aux meilleurs dossiers, les institutions bancaires n’hésiteront pas à leur proposer un taux fixe de 3,5 % sur une durée longue. Une grande première sur ce marché. À taux révisable, les avantages sont encore plus intéressants avec des taux se situant autour de 2,5 %. Comme le taux de l’Euribor est actuellement très bas, le crédit reviendrait moins cher pour les emprunteurs. Par ailleurs, une simulation rachat de crédit est fortement recommandée. Vous obtiendrez des éléments concrets – notamment chiffrés – et ce, sans contrainte, ni engagement. Malgré cela, tous les profils ne pourront pas bénéficier de ce taux attractif. Car pour les locataires, rares sont ceux qui parviennent à décrocher un taux inférieur à 6,9 % sur des durées maximales de 12 ans. Dans tous les cas, l’emprunteur sortira toujours gagnant, même si pour les locataires, les gains sont faibles.