Les problèmes d’autonomie figurent parmi les principaux obstacles lestant l’essor des véhicules électriques sur le marché de l’automobile. Raisons pour laquelle, les constructeurs rivalisent d’idées pour y trouver une solution. Et aux dernières nouvelles, le système a réalisé une nouvelle percée non pas auprès des batteries, mais cette fois du côté des roues. Afin d’améliorer l’autonomie des voitures électriques pour permettre à ces dernières de parcourir de plus longues distances, les constructeurs automobiles ont pour habitude de concentrer leurs efforts sur les batteries dans le but de les rendre plus performantes. Seulement, certains fabricants ont décidé de sortir des sentiers battus pour se tourner vers d’autres éléments en notant qu’ils ont jeté leur dévolu sur les roues en misant principalement sur l’aérodynamisme de ces éléments. Un choix qui a permis d’ajouter quelques kilomètres aux performances actuelles. Et dans ce domaine, il faut préciser que certaines marques ont d’ores et déjà une longueur d’avance sur les autres. Les roues prendront part à l’amélioration de l’autonomie Faute d’autonomie suffisante, les voitures électriques sont vulnérables à d’éventuelles pannes de batterie. Les automobilistes en sont conscients que pour éviter les gênes qui en découlent, ils n’hésitent pas à souscrire à une garantie assistance auprès d’un assureur. À noter qu’avant de s’y lancer, ils sont bien nombreux à venir sur un site comparateur assurance auto afin de découvrir les offres les plus pertinentes du marché sachant que nombreux sont les établissements à proposer ce type de service. Quoi qu’il en soit, ce problème demeure un obstacle majeur à l’épanouissement total des véhicules électrifiés que pour y remédier, les constructeurs cherchent tous les moyens possibles pour y remédier. Dans ce sens, tout indique qu’en dehors de l’optimisation de la performance des batteries, ces derniers ont trouvé un autre moyen pour en améliorer l’autonomie, les roues. À Robert Palin, un expert du domaine d’ajouter : J’étais à la tête de l’aérodynamique pour la Model S, le Model X et la Model 3, et je peux confirmer que la taille et le design des roues peuvent avoir la plus grosse influence sur toute l’efficience aérodynamique d’une voiture. Robert Palin Les fabricants ont ainsi découvert que l’aérodynamisme peut également influencer sur l’autonomie d’un modèle électrifié. Raison pour laquelle le design, le poids et la composition des jantes ont été repensés dans le but d’optimiser leur comportement face aux flux d’air et de les rendre plus légers pour ainsi réduire leur coefficient de trainée à hauteur de 3 à 5%. Une stratégie permettant de gagner quelques kilomètres supplémentaires. Certaines marques ont pris les devants Avec une telle découverte, il est certes évident que la course à l’amélioration de l’aérodynamisme des roues est lancée. Et dans ce domaine, force est de constater que certaines marques ont d’ores et déjà pris les devants. Tesla est l’une d’elles avec ses jantes Aero de 18 pouces qui devraient permettre à sa Model 3 d’améliorer son autonomie à hauteur de 3%. L’on peut également énumérer la Mini électrique de BMW qui sera équipée de modèle asymétrique quasiment fermé qui, d’après ses concepteurs est destiné à : Améliorer encore les propriétés aérodynamiques. En parlant de ce groupe allemand, il faut préciser qu’il a récemment fait valoir que les futures voitures électriques portant la marque de BMW seront aussi de la liste à l’instar du BMW iX3 qui devrait être commercialisé cette année. Un modèle qui, selon un communiqué, devrait comporter : Une jante associant une base en aluminium et des inserts spécifiques permettant au véhicule d’améliorer son coefficient de trainée et d’être plus léger. Ainsi, l’iX3 est en mesure d’offrir 10 km de parcours supplémentaire en termes d’autonomie tout comme la i4 et le iNext qui seront commercialisés en 2021. À ce concepteur d’outre-Rhin d’ajouter : Les jantes sont personnalisables pour s’adapter au goût de chacun. On pourra même marier la couleur de la livrée avec celle des inserts.