Pour les ménages américains, le crédit personnel peut être une solution à un besoin d’argent important, par exemple lié à des soins ou la rénovation de leur logement. D’autres peuvent s’en servir pour consolider leurs dettes de carte de crédit en un seul contrat à un taux d’intérêt plus faible. Face à la pandémie de coronavirus, la Réserve fédérale a abaissé ses taux, rendant les prêts perso encore plus avantageux. Baisse des taux d’intérêt des prêts personnels à prévoir Le coronavirus gagne du terrain aux États-Unis, entraînant la fermeture de tous les lieux recevant du public comme les établissements scolaires, les restaurants, bars, parcs à thème, théâtres. En parallèle, de nombreux événements sont annulés : les rencontres sportives, les conférences, les croisières, et plus généralement, les déplacements liés aux loisirs. De nombreuses entreprises sont également contraintes de réduire ou stopper leur activité, mettant ainsi leurs salariés au chômage. Dans ce contexte de net ralentissement de l’économie, les marchés financiers s’effondrent. Pour essayer de maintenir la consommation à un niveau acceptable, Important La Fed a pris des mesures d’urgence au début du mois de mars en appliquant une réduction d’un demi-point de pourcentage sur son taux d’intérêt directeur, un record depuis la crise financière de 2008. Important Moins de deux semaines plus tard, elle a de nouveau abaissé le taux, cette fois d’un point de pourcentage pour se rapprocher de zéro, ce qui constitue un plus bas historique de 2008. L’intérêt de consolider les dettes de crédits en prêt personnel Comme les taux des prêts personnels évoluent généralement suivant les fluctuations de ceux de la Réserve Fédérale, une révision à la baisse des barèmes des organismes prêteurs est à prévoir. Ainsi, si les TAEG de ces emprunts varient actuellement entre 5 % et 36 %, notamment en fonction de la cote de crédit et des revenus du souscripteur, les offres à un taux inférieur à 5 % sont de plus en plus courantes. La mise en concurrence des propositions de différents établissements traditionnels ou en ligne est indispensable pour dénicher les plus attractives. Les baisses de taux de la Réserve fédérale ont un effet encore plus direct sur les taux d’intérêt des cartes de crédit, qui s’affichent en repli. Toutefois, ils sont loin d’égaliser les niveaux bas de ceux des prêts personnels. En effet, selon les dernières données de la Fed, le TAEG moyen sur une carte de crédit est de 14,87 %. La consolidation des soldes de carte de crédit par un crédit personnel permet de réaliser des économies substantielles sur le coût total de la dette.