Rembourser son crédit auto grâce aux recettes issues de l’autopartage ou du covoiturage

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 10 novembre 2014 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le lundi 10 novembre 2014 17:47 par la Rédaction Meilleurtaux

AramisAuto, distributeur et mandataire automobile, vient de lancer une offre de financement auto totalement innovante. Cette formule devrait permettre au souscripteur de financer l’achat de son véhicule (neuf ou d’occasion) grâce aux futurs revenus issus du covoiturage ou de la location.

Une formule innovante

Lancée en partenariat avec BlaBlaCar, plateforme communautaire de covoiturage, figurant parmi les leaders sur ce secteur en Europe, et OuiCar, qui propose un service de location de voitures entre particuliers, cette formule "expérimentale" devrait faciliter l’acquisition de véhicules.

• En effet, les revenus issus de ces activités vont in fine permettre de financer les mensualités de remboursement.

Toutefois, les souscripteurs devront s’engager à "partager" leurs voitures lors de trajets quotidiens et/ou ponctuels, ou encore à les mettre à la disposition de particuliers de temps à autre.

La formule devrait aussi inclure une garantie de reprise du véhicule dans les deux mois qui suivent la livraison si le chiffre d’affaires réalisé n’atteint pas le seuil escompté.

Procéder préalablement à une simulation

Les internautes, déjà familier à la simulation crédit auto, pourront désormais avoir recours à un nouvel outil. En effet, afin de permettre aux souscripteurs de simuler les économies mensuelles qu’ils pourront générer, et donc leur capacité de financement, AramisAuto a mis en place une plateforme leur permettant de procéder à une telle opération.

Ce simulateur prendra en compte de nombreux critères, entre autres le modèle que le souscripteur souhaite acquérir, la zone géographique, le nombre de jours de location envisagé dans le cas de l’autopartage, ou le nombre de passagers à covoiturer, etc.

Dans un communiqué, AramisAuto a souligné l’importance de la démarche en mettant en avant la possibilité que cette consommation collaborative peut contribuer à "annuler le coût mensuel d’acquisition de la voiture, sans apport personnel".