Face à l’envolée du prix des carburants, la nouvelle option de navigation de Google Maps, disponible en France depuis le 7 septembre dernier, va aider les automobilistes à préserver leur pouvoir d’achat. En effet, elle leur propose des itinéraires plus économes et plus écologiques. Les usagers ont désormais le choix entre un trajet plus rapide et un autre moins gourmand en carburant, mais peut-être plus long. Des itinéraires qui font dépenser moins Google Maps vient une fois de plus à la rescousse des conducteurs avec une nouvelle fonctionnalité. Important Si auparavant, le service de navigation était utilisé en vue de trouver le trajet le plus rapide et le plus court pour divers moyens de transport (voiture, deux-roues et autre), il peut désormais proposer un circuit alternatif qui prend en compte la consommation de carburant. L’estimation des économies réalisées est basée sur les données fournies par l’Agence européenne pour l’environnement ainsi que sur des paramètres tels que la topographie de la route (en pente ou plate), l’état du trafic (nombre de feux tricolores ou embouteillage) et les limitations de vitesse. Il va bientôt apporter des améliorations à l’application pour que les prévisions sur les économies réalisées soient plus précises. Pour ce faire, le géant de la recherche en ligne va intégrer le mode d’alimentation du véhicule (électrique ou thermique) dans ses algorithmes. Cette nouvelle fonctionnalité permettra de diminuer de manière notable les dépenses liées à l’usage de la voiture. Il est d’ailleurs possible de les réduire davantage. Il suffit pour cela de recourir à un comparateur assurance auto. En seulement quelques clics, cet outil vous aidera à trouver le contrat le plus intéressant en termes de coûts et de garanties. L’empreinte écologique est également réduite Cette nouvelle option est aussi l’occasion pour les usagers de se familiariser avec les principes de l’éco-conduite. En tout cas, elle a déjà fait ses preuves aux États-Unis et en Allemagne où elle était accessible depuis quelques mois. D’après la firme américaine, les trajets écologiques auraient contribué à réduire de 500 000 tonnes les émissions de CO2. Ce qui équivaut à cent milliers de véhicules à essence ou au diesel retirés de la circulation. D’autres applications de voyage comme Waze devraient suivre le pas pour se conformer aux règlementations françaises en vigueur depuis le 6 août dernier. L’idée est d’encourager les automobilistes à adopter des comportements éco-responsables.