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Les ménages qui ont acheté un logement à crédit et envisagent d’en changer avant la fin du remboursement sont confrontés à un problème de taille : le financement. S’ils vendent avant d’acheter, ils doivent gérer deux déménagements et recourir à la location avant de trouver le nouveau bien. En cas d’achat avant la vente, ils risquent d’avoir deux mensualités à payer en attendant de trouver un acheteur. Il existe toutefois des solutions : le crédit-relais, le prêt achat-revente ou l'achat par un spécialiste.
Les chiffres publiés récemment par la FFB (fédération française du bâtiment) sont sans équivoque. Pendant le premier semestre 2018, les ventes et les projets de construction de logements neufs ont nettement reculé pour la première fois depuis de nombreuses années, ce que beaucoup de professionnels imputent à la diminution des aides gouvernementales.
De nos jours, la plupart des gens qui souhaitent acheter un logement pour le louer consultent les différents classements des villes qui offrent le meilleur rendement. Ce sont d’ailleurs les agglomérations moyennes de province qui sont en tête de ces palmarès, comme Mulhouse, Limoges, Saint-Étienne, Bourges ou Béziers. Cependant, ce n’est pas le seul critère à prendre en compte.
Il ressort de la dernière étude menée par BureauxLocaux, un spécialiste de l’immobilier pour les professionnels, que Lyon est toujours en tête du classement des métropoles dans lesquelles la demande de bureaux à louer est la plus forte au premier semestre 2018, devant Paris, Nantes, Bordeaux et Marseille. La cité lyonnaise confirme ainsi sa place de second pôle économique français.
Après une année 2017 particulièrement rentable, Maisons France traverse actuellement ce que l’on pourrait qualifier de mauvaise passe. La valeur en bourse du titre MFC est en baisse de -30 %. Plusieurs raisons permettent d’expliquer la situation selon les responsables. Les concurrents du groupe ne semblent toutefois pas éprouver les mêmes difficultés.
Après l’apparition de la bulle immobilière à Paris dans les années 90, c’est en 1998 que les prix moyens du secteur se sont retrouvés au plus bas. Depuis, ils n’ont cessé d’augmenter et la grande question est de savoir si le fait que les taux d’intérêt soient historiquement faibles suffit à compenser la hausse du coût des logements à l’achat.
Les conditions d’emprunt pour les candidats à l’accession à la propriété sont toujours très attractives. En moyenne, en juillet, ils peuvent obtenir un prêt sur 20 ans à 1,40 %. Ces taux soutiennent le dynamisme du marché immobilier. De plus, l’insuffisance de l’offre tend à réduire considérablement les délais de vente. À Paris et à Lyon, il suffit actuellement de 41 et 42 jours respectivement pour conclure une vente.
Contrairement à l’année dernière, et c’est plutôt une bonne chose, les taux immobiliers n’ont cessé de dégringoler depuis janvier, jusqu’à tutoyer les records établis en 2016. Par exemple, au mois de juin, les emprunteurs ont pu trouver un taux inférieur à 1 % pour les crédits qui courent sur 10 ans.
En France, les candidats à l’accession à la propriété devraient profiter de conditions d’emprunt exceptionnelles jusqu’à la fin de l’été. Si l’heure est à la stabilité des taux d’intérêt chez la plupart des banques, certaines enseignes proposent des décotes supplémentaires. De manière générale, les moyennes se rapprochent des seuils historiques d’octobre-novembre 2016.
Malgré le ralentissement observé durant les trois premiers mois, l’année 2018 devrait être bonne pour le marché immobilier en France. Fabrice Abraham, Directeur Général de Guy Hoquet, ne cache pas son optimisme, que confortent les performances du réseau pour le premier semestre. Toutefois, la baisse des volumes est inévitable à cause de la pénurie de l’offre et malgré des taux d’intérêt toujours bas.
D’après la Fédération Française du Bâtiment (FFB), les ventes de logements neufs ont diminué de 5,1 % par rapport à l’année dernière. Le segment des maisons individuelles est le plus durement touché, avec un repli de 14,3 % entre début janvier et fin mai 2018. Cette chute est attribuée à la réforme des dispositifs de soutien au logement (APL en accession et prêt à taux zéro).
La croissance du marché de l’immobilier français au cours des 4 dernières années a notamment été soutenue par des prix modérés. Quand les prix ont commencé à remonter, les taux très bas proposés par les banques ont pris le relais. L’acquisition de logements résidentiels étant freinée par les réformes des aides de l’État, l’investissement locatif est de nouveau privilégié par les acheteurs.
Logic-Immo a publié les résultats de sa dernière étude portant sur les projets immobiliers des Français entre avril et juin 2018. Ils sont 3,5 millions à souhaiter faire une acquisition en profitant des conditions de crédit avantageux actuelles. Le type de bien (ancien ou neuf) et sa future destination varient en fonction du profil de l’acheteur.
Contrairement aux prévisions des professionnels de l’immobilier, le marché de l’ancien n’a pas ralenti après avoir atteint un pic des transactions l’année dernière. Au mois de juillet, les intentions d’achat se situent encore à un niveau élevé, plus exactement à 3,5 millions. Les intentions de vente se chiffrent en revanche à 2 millions.
Dans le domaine de l’immobilier, les candidats à l’achat ne sont pas logés à la même enseigne. En fonction de la ville ciblée, le prix au mètre carré varie notablement, entre les 1 407 euros de Saint-Étienne et les 10 000 euros en vigueur à Paris. Sur la base du dernier baromètre LPI-SeLoger, nous avons cherché à savoir ce que peuvent s’offrir les habitants des métropoles françaises avec une mensualité de 1000 euros sur 20 ans.
Dans la Capitale, le marché de l’immobilier haut de gamme est en effervescence suite au retour des Français résidant à Londres, qui recherchent activement des biens de qualité pour s’établir à Paris après le Brexit. Même si les prix n’ont pas encore augmenté, la pénurie s’accentue pour les biens de prestige, surtout dans les quartiers huppés.
La flambée des prix des biens ayant entraîné un ralentissement sur le marché immobilier, les banques ont réintroduit les prêts de longue durée dans leur offre. L’objectif est de permettre aux primo-accédants de concrétiser leur projet. En plus des crédits sur 25 ans, voire 30 ans, elles n’hésitent pas à accorder des décotes pour attirer les candidats à l’achat.
En Grande-Bretagne, le marché de l’immobilier se déprécie. Les investissements diminuent, et les milléniaux affichent aujourd’hui une préférence pour la crypto-monnaie, la bourse et les obligations. Ils estiment que l’immobilier constitue un placement peu sûr. De toute façon, près d’un tiers de ces jeunes ne pourront devenir propriétaires qu’une fois retraités.
Depuis le début de l’année, nous ne cessons de le répéter : les conditions de financement sont exceptionnelles. Au premier semestre, les taux immobiliers ont enregistré des records, et ce, pour tous les profils d’emprunteurs. Nous faisons le point sur le pouvoir d’achat immobilier des Français.
Si le contexte actuel reste toujours propice à l’achat d’un logement, dans le neuf ou dans l’ancien, les projets d’acquisition ne sont pas très nombreux à se concrétiser. La crainte de la remontée des taux, mais également la fragilité des profils de la majorité des acheteurs sont autant de facteurs qui tendent à freiner de développement du marché.
Depuis le début de l’année, les réformes se succèdent sur le marché immobilier : remplacement de l’ISF par l’IFI, suppression progressive de la taxe d’habitation, durcissement des règles relatives à la location touristique… Tous ces changements ont des conséquences plus ou moins marquées sur les propriétaires, mais également les potentiels acheteurs et investisseurs.
Bonne nouvelle pour les acheteurs, surtout pour les primo-accédants. Le taux des crédits connait une tendance à la baisse, et ce, depuis le début de l’année. On n’en est pas encore au taux record de 2016, mais cela se rapproche. De quoi faire oublier la hausse des prix de l’immobilier.
L’augmentation des prix dans l’immobilier commence à décourager les acheteurs, notamment les ménages à faibles revenus. Les prix des biens neufs, tout comme celui des terrains prêts à bâtir, ont grimpé, et se sont littéralement envolés dans certaines localités. Le recul de l’investissement dans la pierre a ainsi entraîné la baisse de la construction en France.
Pour le marché de l’immobilier français, l’année 2017 a été un excellent cru. Et sauf retournement de situation, 2018 est bien partie pour suivre le même chemin. C’est ce que l’on peut tirer de l’étude menée par Century 21 qui parle d’une légère hausse des prix, mais aussi, et surtout, d’une plus grande solvabilité des ménages.
Le choix est souvent influencé par la personnalité du futur acquéreur et l’on ne pourrait pas affirmer avec certitude que l’immobilier ancien est mieux que le neuf, ou vice-versa. Cela reste très relatif, mais on peut quand même tenter de faire un point sur les atouts et les inconvénients de chaque type de bien.
Quand on dispose de moyens suffisants, on se dit qu’un appartement en plein cœur de Paris, de Marseille ou autres grandes villes, serait forcément la meilleure acquisition que l’on puisse faire. Mais cette conviction peut se révéler fausse, une sorte de « fausse bonne idée », surtout si l’on investit dans un bien qu’on mettra en location.
Après une année 2017 qui a été fructueuse, 2018 semble continuer sur la même lancée. En effet, le nombre de transactions va dépasser la barre des 950 000, ce qui est du jamais vu. La principale raison à cela est le niveau des taux d’intérêt qui est toujours très attractif. Cependant, la hausse de la demande provoque une légère augmentation des prix, mais cela n’a pas encore trop de conséquences.
Toutes les villes françaises ne sont pas égales face à la rapidité de location des logements et Lille bat tous les records. C’est ce qui ressort du dernier observatoire statistique des locations de la Fnaim. Cela s’explique par sa situation géographique privilégiée, non loin des grandes capitales européennes, et par sa forte proportion d’étudiants.
Solution de financement immobilier existante depuis 166 ans, le Crédit foncier s’est au fil du temps érigé comme une véritable institution. La suppression de ce dispositif affecte le marché de l’immobilier à différents niveaux, principalement en ce qui concerne l’investissement locatif et l’accession à la propriété.
Pour optimiser les chances d’obtenir un crédit immobilier auprès d’un établissement bancaire, il est préférable d’être en CDI. Les non-salariés, notamment les entrepreneurs, n’ont que peu d'espoir de voir leur demande de prêt aboutir. Les travailleurs en CDD ne sont pas en meilleure posture. La preuve ? Ils constituent seulement 10 % des emprunteurs immobiliers.
Selon l'Observatoire Crédit Logement/CSA, les taux immobiliers étaient de 1,47 % en avril et 1,46 % en mai. La concurrence entre les banques a permis de les maintenir à un niveau particulièrement bas. Pour gagner des clients, ces dernières misent désormais sur les ménages modestes en leur proposant des conditions de financement encore plus avantageuses.
Pour les trois premiers mois de l’année 2018, la demande de logements neufs demeure forte sur tout le territoire, rapporte la Fédération des Promoteurs Immobiliers. Le marché tend toutefois à ralentir. Malgré le niveau bas des taux d’emprunts immobiliers, de l’ordre de 1,47 % en moyenne au mois d’avril, des signes d’essoufflement se font sentir.
Début juillet, les taux de prêt immobilier restent stables mais de belles décotes peuvent être obtenues selon les dossiers. Les banques maintiennent en effet des conditions de financement exceptionnelles pour les emprunteurs cet été. Nous faisons le point sur le niveau des taux d’emprunt et le moral des acquéreurs.
En Belgique, la Région Wallonne se soucie de ses aînés. Elle projette d’apporter son aide aux seniors qui souhaitent adapter leur logement en fonction des besoins pratiques et sécuritaires de leur âge. Parmi les mesures envisagées figure la simplification de l’accès aux crédits destinés à financer les travaux de modification des habitations.
À partir du 1er janvier 2019, l’impôt sur le revenu sera prélevé à la source, c'est-à-dire directement déduit du salaire. Ainsi, le mode de paiement de l'impôt ne reposera plus sur le dispositif des tiers provisionnels, mais sur un prélèvement mensuel effectué directement sur la fiche de paie du contribuable. Cela va donc nécessairement entraîner une diminution de la trésorerie pour les ménages.
L’immobilier subit une transformation en profondeur, notamment à cause des jeunes générations qui débarquent sur le marché. Pour anticiper les besoins des ménages, le réseau d’agences Guy Hoquet et l’institut Harris Interactive ont réalisé une étude concernant le rapport des Français avec leur logement. La vision et les attentes des nouvelles générations diffèrent notablement de celles de leurs aînés.
Harris Interactive a effectué un sondage sur le thème de « l’âge idéal pour acheter un logement » pour le réseau immobilier Guy Hoquet. La majorité des personnes interrogées sont d’accord sur l’importance d’avoir une résidence principale. C’est sur la notion de l’âge idéal et de l’utilisation du bien que les réponses divergent.
D’ici quelques mois, si la tendance baissière des taux d’intérêt se poursuit, contracter un emprunt immobilier pourrait bien permettre de gagner de l’argent. Pour cause, la hausse de l’inflation ramène le coût réel des crédits à un taux nul, voire négatif. Une opportunité à saisir pour les professionnels du secteur et les ménages qui souhaitent acquérir un logement.
Les particuliers ont toujours été plus ou moins choyés par les banques, au détriment des professionnels. Or, les demandes de cette catégorie ne cessent d’évoluer. Les établissements qui souhaitent fidéliser leur clientèle pro ont alors pris les mesures qui s’imposent ; la concurrence étant de plus en plus âpre dans le secteur.
Pour les épargnants désireux d’investir dans la pierre, les stations balnéaires, fréquentées chaque année par des milliers de touristes, représentent une cible privilégiée. En optant pour la location saisonnière, le propriétaire évite les impayés de loyer, puisque le séjour est payé en avance. De plus, le risque de vacance est limité. Une récente étude de Rendementlocatif, plateforme dédiée à l’investissement immobilier, désigne certaines villes des côtes méditerranéenne et atlantique comme les plus rentables pour un investisseur.
C’est assez paradoxal. Alors que la plupart des ménages français ont de plus en plus de mal à s’offrir leur propre toit, le marché de l’immobilier de luxe, lui, va bien, très bien même. Lors du premier semestre de cette année, les offres d’achat se multiplient et les ventes se concluent en un temps record.
L’immobilier demeure l’un des placements préférés des Français. Et avec les taux immobiliers encore très bas proposés actuellement par les banques, et la rallonge des délais de remboursement, financer l’achat d’un bien par un crédit est toujours avantageux. Les taux réels négatifs présentent par ailleurs l'opportunité de faire un excellent investissement sur le long terme.
Devenir propriétaire. Beaucoup en rêve, surtout lorsqu’on a atteint un certain âge et qu’il faut alors faire face aux responsabilités. Mais un constat alarmant pourrait décourager plus d’un dans cette quête de stabilité : acheter une maison, ce n’est plus à la portée de tout un chacun, tant s’en faut.
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