Réparation auto : les assureurs encouragent l’utilisation des pièces de réemploi

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 29 septembre 2023 .
Temps de lecture : 3 min

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Publié le lundi 2 octobre 2023 16:12 par la Rédaction Meilleurtaux

À l’instar des acteurs de l’industrie automobile qui ont pris conscience de l’impératif de réduire leur empreinte environnementale, ceux du secteur de l’assurance s’engagent résolument à soutenir cette démarche en encourageant des pratiques responsables au sein de leurs propres rangs. C’est le cas de Generali qui est favorable à l’adoption des PIEC (Pièces issues de l’économie circulaire) dans le cadre des réparations automobiles.

Une intégration de l’économie circulaire

Dans cette dynamique de vouloir s’engager pour un monde plus vert, Generali se distingue en présentant une alternative crédible dans le domaine de la réparation automobile : l’introduction des PIEC . Une option qui ouvre la voie à une activité plus durable, en parfaite adéquation avec les préoccupations environnementales du secteur.

Ces composants, qui sont issus de la réutilisation, se posent en tant que substitut écologique aux pièces toutes neuves. Ils sont extraits des voitures qui ne sont plus en service et sont recyclés dans des centres agréés par l’État .

Selon l’assureur, les pièces de réemploi s’alignent sur les mêmes critères d’excellence en termes de qualité et de sécurité que celles qui sortent d’usine. Elles sont récupérées par les réparateurs qui se chargent de leur donner une seconde vie.

Des économies à la clé

Important Le recours aux pièces de réemploi peut ainsi contribuer à réduire la consommation de ressources tout en générant d’importantes économies. En effet, une PIEC se vend en moyenne de 40 % à 50 % moins cher qu’une pièce neuve.

Generali entend jouer un rôle actif dans la promotion des pièces automobiles recyclées lors de la remise en état des véhicules endommagés. En parallèle, la compagnie manifeste une volonté croissante d’intégrer les principes de l’économie circulaire au cœur de ses activités.

Actuellement, seulement 7 % des réparations des véhicules sinistrés de ses assurés sont réalisées avec des pièces de réemploi. Cependant, l’assureur vise à atteindre un taux de 20 % d’ici à 2024 .

Alors que l’industrie automobile semble orienter ses pratiques vers une meilleure intégration de l’économie circulaire, les compagnies d’assurance auto, à l’instar de Generali, semblent pleinement engagées à les accompagner dans cette transition.

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La rédaction Meilleurtaux