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Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 30 juillet 2019 . Temps de lecture : 5 min
Un demandeur de prêt immobilier dont les risques de santé sont aggravés par la chronicité de la polyarthrite rhumatoïde peut passer par le biais d'un intermédiaire de l’assurance emprunteur. Ainsi, il pourra obtenir une couverture adaptée à sa situation. En effet, il arrive que des assureurs refusent de couvrir les emprunteurs présentant un risque éminent d’invalidité et d’incapacité de travail. Des solutions alternatives s’offrent à eux, grâce aux évolutions réglementaires.
Par exemple, la convention AERAS favorise l’accès des sujets atteints de rhumatisme inflammatoire chronique à un contrat d’assurance dédié. Dans tous les cas, un diagnostic doit être posé le plus rapidement possible. Explications.
La polyarthrite rhumatoïde peut provoquer la destruction de certaines articulations, au point que la pathologie devienne invalidante pour l’assuré. Mais qu’est-ce qu’une polyarthrite rhumatoïde ? Qui sont les personnes à risque ?
Impliquant près de 200 000 Français, soit près de 0,5 % des résidents de l’Hexagone, la polyarthrite rhumatoïde chronique compte parmi les pathologies rhumatismales qui sont les plus souvent recensées. En effet, les femmes ont davantage de chance de contracter la maladie, par rapport aux hommes. Chez eux, le risque est divisé par trois.
Si aucun individu n’est épargné quel que soit son âge, les premiers symptômes commencent à surgir entre 30 ans et 60 ans. Chez les personnes de moins de 15 ans, il est plutôt question d’arthrite chronique juvénile (ACJ).
Cette sorte de rhumatisme inflammatoire chronique qu’est la polyarthrite rhumatoïde se traduit par une inflammation des articulations, qui agit sur les cellules de la membrane synoviale. Les articulations, au lieu d’être lubrifiées, se recouvrent ainsi d’une membrane qui joint les os entre eux.
Toujours est-il que les effets de cette défaillance au niveau du tissu conjonctif se font ressentir progressivement, d’autant plus que la maladie évolue par poussées. Tout le long, le système immunitaire du patient nuira à son organisme, telle une pathologie auto-immune.
Diversifiés sont les symptômes de la maladie. Le patient observe notamment des gonflements au niveau de ses articulations, dont la douleur augmente avec le temps. Celle-ci peut amener le patient à se réveiller inopinément au cours de la nuit. De plus, le rhumatisme inflammatoire rend les muscles raides, ce qui restreint les capacités du patient à bouger.
Outre les articulations au niveau des phalanges des pieds, les genoux et les poignets peuvent aussi être touchés. À un stade plus avancé, la pathologie atteint la mâchoire et la nuque en passant par les épaules.
En l’absence d’un traitement adéquat, il peut en découler une déformation des doigts et des orteils. Dans ce dernier cas (90 %), la personne malade peine à marcher. Pire encore, la polyarthrite rhumatoïde peut s’attaquer à d’autres organes tels que le cœur et les reins. Les personnes souffrant de cette maladie grave risquent de vivre 5 à 10 ans de moins.
L’apparition de cette maladie systémique résulte de nombreux facteurs. Une fois associés, ils contribuent fortement au développement de la polyarthrite rhumatoïde.
Alors que les fumeurs se plaignent davantage des symptômes de la maladie, qui demeurent plus sérieux, l’efficacité du traitement pourrait être altérée par la consommation de tabac.
Si au cours de leur grossesse, les femmes voient les répercussions de la maladie s’estomper, elles resurgissent six semaines après l’accouchement. Après la ménopause, les femmes atteintes de la maladie constatent également une moindre performance de leur fonction physique.
Certaines personnes sont prédisposées (30 % de risques) à contracter la maladie, lorsqu’elles portent le gène HLA-DR1 ou HLA-DR4 dans leur ADN.
Il se pourrait qu’une infection des gencives, qui peut entraîner une perte des os de la mâchoire osseuse, joue aussi un rôle dans le développement de la polyarthrite rhumatoïde.
Une corrélation existerait entre les chocs psychologiques (survenus à la suite d’un deuil par exemple) et la maladie chronique. D’ailleurs, elle se manifeste après un événement marquant dans 30 % des cas.
Afin que les douleurs engendrées par la polyarthrite rhumatoïde ne deviennent handicapantes pour la personne qui en souffre, un diagnostic doit être établi dans les meilleurs délais. En effet, le médecin prescrira des traitements de fonds permettant de freiner la progression de la maladie, de manière à préserver la qualité de vie du patient.
Tout au long de la prise en charge, l’évolution de la pathologie auto-immune est surveillée de près par les professionnels de santé, dont le rhumatologue. L’efficacité du traitement s’observe au bout de quelques semaines seulement.
En fonction des effets des médicaments, les soins sont ajustés (intervention chirurgicale, réadaptation…). Le médecin traitant prend cette initiative lorsqu’aucun bénéfice n’est aperçu chez le patient entre trois mois et six mois de traitement.
Avant d’accorder un crédit immobilier à son client, la banque lui demande de remplir un questionnaire médical, servant à apprécier le risque de santé. Un seul et unique formulaire doit être complété, conformément aux dispositions du nouvel accord AERAS instauré en 2011.
Une personne atteinte de polyarthrite rhumatoïde n’y échappe pas et doit faire preuve de bonne foi dans ses déclarations, bien qu’il s’agisse d’un risque aggravé. Dans le cas contraire, l’enseigne peut annuler le contrat.
Pour évaluer les risques en question, le médecin-conseil de la compagnie d’assurance demandera au patient les deux derniers comptes rendus de son rhumatologue. Les différents bilans et les documents indiquant les traitements suivis devront être inclus dans le dossier. Toujours est-il que l’intensité des douleurs qui accompagnent la maladie et les traitements prescrits sont déterminants dans le choix qu’effectuera le professionnel de santé.
Selon les cas, l’assureur pourra prendre en charge (ou non) les risques afférents à la perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA) et à l’incapacité de travail (IT).
Concernant les risques liés à la garantie décès, ils s’élèvent entre 100 % et 125 %, lorsque la maladie arrive à un stade avancé. Avec un risque évalué à 200 % pour les cas les plus sévères de polyarthrite rhumatoïde, il arrive que la compagnie d’assurance refuse de couvrir le patient. D’autres pourraient accepter d’assurer l’emprunteur, moyennant une augmentation des tarifs.
L’assuré peut basculer vers une couverture individuelle pour profiter d’une formule plus adaptée à ses besoins et à son budget. Non seulement il bénéficie de garanties personnalisées grâce à la délégation d’assurance, mais il réalise des économies en consultant un comparateur d’assurance emprunteur accessible en ligne.
Il peut aussi s’appuyer sur la convention AERAS pour prétendre à un accès plus équitable à l’assurance de prêt immobilier. La prise en charge s’effectue selon trois niveaux, en fonction de la gravité de son état.
Écrit par La rédaction Meilleurtaux
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