Réparation automobile : pourquoi ne pas financer les dépenses avec un prêt à la consommation 

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 14 octobre 2025 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le mardi 14 octobre 2025 11:00 par la Rédaction Meilleurtaux

Les automobilistes qui n’ont pas souscrit une assurance tous risques doivent se charger eux-mêmes des frais des réparations en cas de panne ou de dégâts consécutifs à un accident. Il faut pourtant savoir que cette dépense pèse lourd sur le budget des ménages. Raison pour laquelle certains choisissent de financer les travaux avec un prêt conso.

Une solution simple et avantageuse pour les particuliers

Le financement des réparations automobiles par un crédit à la consommation permet d’étaler le paiement sur plusieurs mois. Ainsi, le ménage peut remettre immédiatement son véhicule en état sans faire face à des dépenses importantes imprévues.

En fonction des besoins de trésorerie, chacun peut choisir la solution qui lui convient : un crédit conso classique, un prêt personnel, un micro-crédit ou un crédit renouvelable.

Dans tous les cas, il est conseillé d’effectuer une simulation en ligne afin d’obtenir des propositions sur mesure. Pour cela, il suffit de renseigner la somme à emprunter et la durée de remboursement, sans oublier le montant des mensualités.

À noter que les organismes spécialistes des prêts à la consommation offrent aux emprunteurs la possibilité de faire une souscription ou de demander un rachat de crédit en ligne. Le traitement du dossier se fait rapidement, et la réponse est communiquée dans des délais très courts.

Emprunter jusqu’à 75 000 euros

En optant pour le prêt personnel, l’automobiliste peut disposer d’un montant en accord avec ses besoins, plafonné à 75 000 euros. Le remboursement peut se faire sur une durée allant jusqu’à 120 mois, et les mensualités peuvent être modulées en fonction de ses capacités financières.

ImportantLes conditions de financement varient d’un établissement à l’autre, et le TAEG se situe dans une fourchette comprise entre 1 % et 21,75 % (l’assurance est déjà incluse dans le taux annuel effectif global).