Malgré la hausse des prix observée sur l’ensemble du territoire, il apparaît que le marché de l’immobilier français, surtout celui des logements, ne s’est jamais aussi bien porté depuis ces 10 dernières années. En effet, avec un taux d’intérêt très bas et le nombre de ventes conclues, ce secteur affiche des chiffres record un peu partout en France. Une fausse médiatisation qui voile la réalité Que ce soit à la télévision, dans les journaux, ou encore sur Internet, de nombreux titres phares de la presse traditionnelle ou spécialisée font état de la hausse des prix des logements en France. Or, cette augmentation est surtout constatée dans la capitale, à Bordeaux et à Lyon, ainsi qu’à Strasbourg. Important Dans le reste de l’Hexagone, la tendance est à la baisse. À la suite d’une étude récente, nous avons pu déduire que depuis 2009, ce secteur n’a jamais été aussi rentable. En effet, ces dix dernières années, les Français ont été de plus en plus nombreux à investir dans la pierre, et à souscrire un emprunt. La simulation de prêt immobilier facilite d’ailleurs la recherche du financement adapté à chaque projet. D’après notre directrice de communication, Maël Bernier : « Sur 20 grandes villes de France, le pouvoir d’achat immobilier est en constante augmentation dans environ 15 d’entre elles ». Maël Bernier Selon les chiffres qui sont ressortis des sondages réalisés dans plusieurs localités de l’Hexagone, 75 % d’entre elles ont constaté un accroissement du pouvoir d’achat au m² de leurs habitants. De fortes disparités entre les différentes villes de France En nous référant aux résultats de nos analyses, nous avons pu conclure qu’il existe 3 villes où l’immobilier se porte nettement mieux qu’ailleurs dans l’Hexagone. Il s’agit du Havre, du Mans, et de Saint-Étienne. Dans ces agglomérations, pour un même budget, le particulier peut acquérir un logement plus grand par rapport à il y a 10 ans. En effet, entre les possibilités d’investissement de 2009 et celles d’aujourd’hui, l’acheteur gagne une surface supplémentaire : de 76 à 107 m² au Havre ; de 78 à 126 m² au Mans ; de 48 m² à Saint-Étienne. De l’autre côté, 3 villes affichent une perte du pouvoir d’achat au m² : 45 m² de moins à Lyon ; 21 m² de moins à Bordeaux ; 17 m² de moins à Strasbourg. Dans la capitale, cette diminution ne représente que 2 m². En somme, les taux d’intérêt des prêts qui sont devenus très abordables pouvant descendre au-dessous de 1 %, pour les meilleurs profils d’emprunteur, sont à la base de la hausse du pouvoir d’achat immobilier. Selon notre président Hervé Hatt, « Grâce à la faiblesse des taux, le secteur présente une excellente santé ». Hervé Hatt