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La réalisation obligatoire d’un Diagnostic de Performance Energétique (DPE) sur les logements à louer ou à vendre depuis 2011 a entraîné la dépréciation des logements trop gourmands en énergie. Sur le marché, ce sont surtout les constructions d’avant 1975 qui portent l’étiquette de bien « énergivore » et sont ainsi délaissées par les acheteurs immobiliers.
Les causes d’une consommation excessive d’énergie dans les habitats sont nombreuses : isolation insuffisante des murs, choix de fenêtres à simple vitrage incapables de retenir la chaleur en hiver, problèmes d’aération qui crée de l’humidité, etc.
Afin de lutter contre ces « passoires énergétiques », la loi impose depuis 2011 le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) comme préalable à toute mise en vente ou en location d’une maison ou d’un appartement.
L’application de ce nouveau critère a fait chuter la valeur des logements qui nécessitent une grande quantité d’énergie pour les chauffer et offrir un minimum de confort à ses occupants. En effet, informés de la performance des biens proposés, aussi bien les acquéreurs que les locataires privilégient les biens plus récents, à la dépense énergétique moindre.
La dévalorisation n’est pas uniforme en fonction du type de bien.
ImportantDe 8 % pour un appartement étiqueté F ou G, qui sont les pires notations du DPE, elle peut atteindre 18 % pour une maison mal classée.
Par ailleurs, des écarts sont observés entre les différentes régions de France, les zones tendues comme Paris et l’Île-de-France étant moins lourdement impactées.
Si les habitations énergivores intéressent aussi peu les Français, c’est surtout à cause du montant des travaux à engager pour les mettre en conformité.
ImportantEn effet, l’amélioration de la performance énergétique globale d’un logement coûte près de 30 000 euros.
Toutefois, une telle opération avant la vente permettrait au vendeur de relever son prix de 5 % environ ; à chacun donc de calculer l’avantage ou non de se lancer dans de tels travaux.
En outre, les propriétaires désireux de réhabiliter une « passoire énergétique » peuvent prétendre à un des dispositifs d’aide, dont l’eco PTZ ou le CITE. Dès 2030, la mise aux normes énergétiques devra être faite pour tous les types d’habitations.
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