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Les reins solides, l’économie britannique continue de croître au quatrième trimestre 2016.
La décision du Royaume-Uni de quitter l’Union Européenne a alerté les économistes du pays. Compte tenu des incertitudes nées de cette décision, ces derniers ont en effet craint que le Brexit ait rapidement des impacts négatifs considérables sur les indicateurs économiques. Ils auguraient ainsi un ralentissement de l’économie du pays.
À leur grande surprise, les statistiques officielles au quatrième trimestre 2016 indiquent unanimement que l’activité économique britannique se porte bien. Une croissance de l’ordre de 0,6% est enregistrée lors de ce trimestre. Les analystes avaient par ailleurs présagé une baisse de confiance chez les consommateurs.
Cette prévision ne s’est également pas avérée exacte étant donné que c’est justement la consommation elle-même qui est le principal moteur de cette croissance économique. Les ménages britanniques n’ont pas hésité à dépenser, notamment lors des fêtes de Noël et de fin d’année. Leurs dépenses ont particulièrement dynamisé l’économie du pays. Panorama !
En dépit du Brexit, le Royaume-Uni affiche la meilleure croissance des pays du G7 en 2016. Évaluée à 0,6%, celle-ci porte la hausse du PIB à 2%.
Il semble que pour l’instant, le vote en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne n’a eu aucun impact majeur sur son économie. Au quatrième trimestre 2016, celle-ci affiche en effet une croissance de 0,6%, après avoir déjà inscrit un même rythme de progression durant les deux trimestres précédents.
Ces chiffres du Bureau britannique des statistiques (ONS) viennent ainsi fausser les pronostics des spécialistes qui étaient beaucoup plus pessimistes. Cette embellie fait à son tour progresser le produit intérieur brut à 2% sur l’ensemble de l’année.
Les économistes de Barclays estiment alors que « la croissance est indifférente aux risques politiques ». Il apparaît même qu’en 2016, le Royaume-Uni enregistre la plus forte croissance parmi les pays du G7.
L’économie britannique doit principalement sa croissance à une hausse du niveau de consommation. Une fois encore, les spécialistes se sont trompés dans leurs prévisions. Ils ont en effet pensé que le retrait de l’Union Européenne ferait naître une certaine appréhension chez les consommateurs britanniques.
Les statistiques montrent au contraire que les ménages ont dépensé sans retenue, épargnant moins et recourant aux cartes de crédit ainsi qu’aux prêts à la consommation. Les chiffres au quatrième trimestre indiquent en effet une croissance significative (+1,7%) du secteur de la distribution, de l’hôtellerie et des restaurants.
Cette attitude des Britanniques est tout à fait compréhensible étant donné que la plupart d’entre eux ont voté pour le Brexit, obtenant ainsi ce qu’ils désiraient. Il faut toutefois souligner qu’au quatrième trimestre, la production industrielle et le secteur de la construction ont quant à eux stagné (+0,1% chacun).
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