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Une adolescente fraîchement diplômée du Bac a besoin d’argent pour financer ses études. L’obtention de son diplôme de fin de cycle, elle choisit dans une école de commerce. Dans cet établissement, la scolarisation s’avère onéreuse. Par conséquent, la nouvelle bachelière opte pour un prêt. Les banques lui refusent pourtant cette possibilité en raison d’une loi interdisant le prêt aux mineurs.
Après avoir décroché un bac avec mention bien, une étudiante envisage de poursuivre ses études à Nice. Afin d’alléger les dépenses en matière de scolarisation, elle doit procéder à un emprunt. Étant donné que cette dernière est mineure, les banques refusent de lui octroyer un prêt.
Pour rappel, notons que la loi n’autorise pas les mineurs à bénéficier d’un prêt sans l’intervention des parents.
C’est la raison pour laquelle le crédit à la consommation se présente comme la seule solution à ce problème. Cependant, cette option donne peu d’avantages par rapport à un prêt classique. La mère de l’étudiante souhaite ainsi une révision des législations en France. Elle désire également faire appel au ministère de l’Éducation.
L’intelligence et le statut juridique des jeunes diplômés constituent souvent un problème. Étant mineure, les banques refusent un prêt à cette étudiante en raison de son âge. Pourtant, elle a besoin d’argent pour financer ses études dont le coût de la scolarisation s’élève à 32 500 euros. La nouvelle bachelière sollicite donc à un prêt, mais ne reçoit aucune réponse favorable, même après quatre demandes déposées.
Cependant, la loi reste ferme sur la question. Conformément à l’article 1124 du Code civil, elle interdit les mineurs émancipés à effectuer un prêt bancaire. À cet effet, les parents doivent intervenir pour procéder à l’emprunt. Toutefois, l’État se porte garant sur le prêt étudiant.
C’est une situation contrariante pour la mère de l’étudiante qui estime que la loi devrait subir une modification. Par ailleurs, elle projette de lancer une requête auprès du ministère de l’Éducation et auprès de la 4e circonscription du Var.
Pour le cas des jeunes fraîchement admis au baccalauréat, le prêt à la consommation reste le seul moyen pour payer les études. Néanmoins, il s’avère moins avantageux que le crédit étudiant. À ce propos, la mère de l’étudiante en question précise que le prêt étudiant est soumis à un taux de 1% alors que le prêt à la consommation est plus coûteux.
Elle rajoute que le prêt étudiant est remboursable à la fin des études. Par contre, le prêt à la consommation doit être remboursé après un an.
Certes, la bachelière bénéficie d’une bourse de 3 700 euros offerte par l’école de commerce de Nice. Mais cette somme ne lui permet pas de régler toutes ses dépenses. Sa mère envisage en effet de lui trouver un logement près de son école.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.