L’énorme site de 220 hectares de l’Oncopole à Toulouse regroupe actuellement 56 enseignes, dont 48 firmes et 8 établissements de santé. Mais les investissements sur ce dernier ne cessent de se multiplier. Apparemment, les projets prévus dans ce grand chantier explosent. Les responsables, soutenus par l’autorité locale, entendent alors développer les activités de l’usine en boostant les ressources à mettre à disposition. Le site de l’Oncopole à Toulouse entend booster ses ressources en misant sur la multiplication des recrutements ainsi que la construction de nouvelles infrastructures dédiées aux soins et à la recherche clinique. Le grand chantier projette ainsi de développer ses activités, et ceci, en dépit de la pandémie de coronavirus. Cette nouvelle a fait la une des actualités sur les portails de mutuelle santé. À titre de rappel, ce grand site a fait l’œuvre d’une explosion il y a aujourd’hui 20 ans. Ce dernier a su brillamment se redresser depuis le temps et compte actuellement 6 300 emplois. Avec les multiples projets qui planent dans les locaux, l’usine veut déployer tous les moyens nécessaires pour agrandir ses activités. Mise en place de nouvelles infrastructures dédiées à la santé Les responsables de l’usine projettent de créer de nouvelles infrastructures. Appuyé par l’autorité communale, le site de l’Oncopole se veut d’être un campus de santé de demain. Selon les dires du premier magistrat, Jean-Luc Moundec, la municipalité a tenu à donner un nouvel élan à ce secteur. Ainsi, l’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse envisage le développement de ses activités relatives à l’oncologie en élargissant les capacités d’accueil des patients dans ses locaux et en installant un laboratoire d’intelligence artificielle spécialisé en cancer. En outre, l’enseigne allemande de recherche et de développement pharmaceutique Evotec envisage aussi d’investir une somme à hauteur de 150 millions d’euros pour mettre en place une nouvelle usine de production de remède sur l’ancien site de Sanofi. De plus, deux Startups qui produiront des biomédicaments vont aussi s’y installer. Ce sont notamment Cell Easy et Flash Therapeutics. D’ailleurs, la vice-présidente de la Métropole au Développement économique, Dominique Faure a tenu à applaudir les réalisations de ces sociétés. De plus, des centres de gérontologie et la gériatrie seront aussi prévus selon toujours les autorités. Le maire de Toulouse, félicite l’Oncopole pour sa détermination à promouvoir le secteur de la santé. Ce dernier a déclaré que : Une autre leçon de la crise, c’est le besoin d’accentuer le développement de la filière santé. Nous avons des capacités de développement considérables sur ce champ large de la médecine du futur et la santé de demain. Jean-Luc Moundec Multiplication des recrutements La multiplication des ressources humaines figure aussi parmi les projets mis en avant par l’enseigne. Avant l’explosion, l’ancien site de l’AZF comptait 800 employés. Ce chiffre est devenu aujourd’hui 6 300. Pour cette année, l’usine a encore recruté 500 salariés sur le grand campus. Les 56 enseignes, œuvrant dans les locaux, envisagent également de créer plus de 1 300 travails pour les cinq années à venir. De plus, la nouvelle usine d’Evotec devrait également ajouter 250 nouveaux emplois dans le site. Et avec les deux nouveaux occupants produisant des biomédicaments, un surplus de 50 activités est aussi à recenser. D’où le site de l’Oncopole veut à tout prix développer ses activités. Les projets ne manquent pas et les sociétés qui frappent à la porte sont très nombreuses. Il reste alors aux responsables de la grande usine de sélectionner parmi de multiples investissements ceux qu’ils évalueront opportuns et conformes à leur vision d’agrandissement.