En France, la saison estivale 2022 est désormais intégrée dans le livre des records en matière de sècheresse et d’incendie causant des dégâts matériels non négligeables auprès des entreprises et des particuliers. Raison pour laquelle ces derniers se doivent de savoir qu’ils disposent de différents atouts pour en limiter les impacts financiers. Sècheresse et incendies, autant dire que ces phénomènes ont marqué l’été 2022 en ce qui concerne la France. D’après le système européen d’information sur les feux de forêt (EFFIS), le pays a même affiché un niveau record jamais enregistré depuis 2006 en matière de surfaces brûlées. Nul besoin de préciser que les dégâts matériels sont impressionnants auprès des particuliers et des entreprises amenés à faire face à des pertes colossales et à des dépenses considérables en matière de réparation. Des impacts financiers qu’ils peuvent bien amortir notamment, grâce à leur contrat d’assurance, mais également à travers les dispositifs mis en place par le pouvoir public. L’assurance y trouve son utilité… Les Français ont désormais intérêt à solliciter les services d’un site comparateur assurance habitation pour bénéficier de la meilleure offre du marché. Simplement parce que face au réchauffement climatique engendrant davantage de périodes de sècheresse et des incendies liés à de fortes chaleurs, cette couverture assurantielle trouve son utilité en matière d’indemnisation. Pour ce qui est des particuliers par exemple, ces derniers se doivent de savoir qu’à l’instar de l’assurance automobile, ce type de contrat prend en charge les risques d’incendie avec un niveau de remboursement variant en fonction des conditions indiquées. Du moins, en ce qui concerne les assurés puisque pour les autres, la situation est toute autre. Ce, pour la simple raison que les incendies ne sont pas intégrés dans le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles du Code des assurances. Pour ces derniers, le remboursement par les assurances est cependant envisageable dans la mesure où l’incendie ou la sècheresse est considéré par les autorités comme une catastrophe naturelle, grâce à une décision interministérielle. La situation est plus simple pour les entreprises qui peuvent compter sur le côté obligatoire de l’assurance multirisque professionnelle pour couvrir les pertes liées à un incendie ou à des aléas climatiques comme la sècheresse. … C’est aussi le cas pour certains dispositifs L’assurance habitation joue certes un rôle majeur dans l’indemnisation des entreprises et des particuliers en cas sècheresse ou d’incendies liés à des évènements climatiques que le Code des assurances peut intégrer dans le régime de l’indemnisation des catastrophes naturelles. Mais elle n’est pas la seule étant donné que les sinistrés peuvent également compter sur certains dispositifs. Ce serait bien le cas en ce qui concerne la « cellule incendies » qui entrera en vigueur dans très peu de temps selon le ministre de l’Action et des Comptes publics faisant savoir qu’à travers cette mesure exceptionnelle, le gouvernement s’est fixé comme objectif : De limiter les conséquences économiques et financières qu’auront à subir les Français concernés par les incendies enregistrés depuis juin. Une sorte d’amortisseur fiscal selon ce membre gouvernemental indiquant que les particuliers tout comme les entreprises et les collectivités pourront en tirer des profits. Ce serait également le cas pour les agriculteurs selon ce responsable indiquant qu’en cas de sècheresse : Ils bénéficieront d’un dégrèvement de la taxe foncière sur les propriétés non bâties qui sera octroyé d’office à hauteur de la perte de la récolte subie dans les zones sinistrées. Ainsi, un nouveau dispositif devrait voir le jour dans moins d’une semaine, mais en attendant, les structures entrepreneuriales peuvent d’ores et déjà compter sur le dispositif en vigueur qu’est l’activité partielle de longue durée. Celle permettant aux entreprises de ne prendre en charge que 15% des revenus versés à leurs salariés en laissant le reste à l’État prenant part à hauteur de : 100% du salaire des employés touchant le SMIC ; 84% du salaire des employés avec un revenu supérieur au SMIC.