Des échanges internationaux plus faciles aux transports à bas coûts, en passant par la lourdeur des impôts locaux et le souhait de disposer d’un patrimoine de sécurité, les motivations pour investir dans un bien immobilier à l’étranger ne manquent pas chez les Français. D’autant que les options sont nombreuses, tant en termes de destination qu’en matière de goût. Se constituer un patrimoine immobilier est une valeur sure permettant d’anticiper la retraite pour bon nombre d’épargnants. Et les Français ne font pas exception quoiqu’investir dans le pays devienne de moins en moins accessible à tout le monde en raison de l’envolée des prix d’achat. Ce qui rend l’expatriation de l’investissement immobilier, dans des contrées plus ou moins lointaines, plus attrayante. D’un autre côté, il peut aussi s’agir tout simplement d’une acquisition d’un pied-à-terre pour les vacances dans quelques destinations de prédilection. Quoi qu’il en soit, plusieurs options s’offrent aux acquéreurs, qui ne se limitent pas seulement aux grandes métropoles européennes. Et l’on peut dire que tous les goûts sont permis : villas, pavillons, appartements… Des destinations éloignées intéressantes Outre l’explosion de prix de l’immobilier sur le territoire français, notamment dans la capitale, bon nombre de raisons poussent les acquéreurs à se tourner vers les marchés étrangers. Ne serait-ce que d’envisager de changer de vie dans un lieu qu’ils ont jugé plus attractif durant leurs séjours de vacances. De fait, certains peuvent, par exemple, avoir été séduits par le coût de vie abordable d’un autre pays tandis que d’autres veulent profiter d’un climat agréable. Certains peuvent aussi avoir simplement envie de jouir d’une retraite au soleil. D’autres, en revanche, ont un objectif plus pécuniaire comme réaliser un investissement locatif ou profiter d’une assurance habitation moins onéreuse, mais plus étoffée, voire d’une fiscalité plus avantageuse. ImportantQuoi qu’il en soit, il est parfois nécessaire de partir loin pour trouver la perle rare, à plus de 6 000 kilomètres, par exemple, et traversant l’Atlantique. En effet, le marché canadien, plus précisément au Québec, brille par son investissement locatif attrayant. À savoir, un bien de 49 m² à Montréal, constitué d’une chambre, peut être loué à 1 220 euros par mois, s’il est vendu à 270 000 euros et imposé à 3 172 euros. À l’île Maurice, le prix d’achat dépend du type de logement, mais il faut dire qu’il y en a pour tous les budgets. S’il est possible d’acquérir un appartement neuf de trois chambres à Péreybère dès 200 000 euros, dans le cadre du projet Gaya, les villas neuves (avec piscine) de la résidence privée Arokaria coûtent entre 875 000 et 1,4 million d’euros. Rester en Europe et trouver son bonheur Rester en Europe permet aussi de trouver son bonheur, si l’on considère les prix de logement en Grèce, en Allemagne et en Italie. En effet, pour un budget 300 000 à 500 000 euros, il est possible de gagner une résidence de superficie décente. Par exemples : Un pavillon de 140 m² muni d’un jardin s’étendant sur 780 m² à Hambourg pour 329 000 euros ; Une maison typique de 185 m² avec vue sur la baie de Paroikia dans l’île de Paros pour 370 000 euros ; Un appartement disposant de trois chambres et de deux salles de bains, de 130 m², dans l’île de Favignana en Sicile pour 470000 euros. ImportantToujours est-il que certains privilégiés peuvent jouir, sans limites, de plages de sable fin. Comme ce serait le cas des acquéreurs au Portugal, plus précisément à Comporta où des villas de style de la région (en bois, en paille et en chaume) sont mises en vente pour une valeur de 700 000 à 1,5 million d’euros. Pour les amateurs d’habitat avec piscine également, la ville d’Hydra en Grèce offre l’opportunité de devenir propriétaire d’une villa de 366 m², entièrement équipée et complétée par de larges terrasses, pour un tarif de 1,5 million d’euros.