Plus de 400 communes sont victimes de catastrophes naturelles suite aux pluies diluviennes de mai et juin 2017. L'état 'catastrophe naturelle' étant reconnu et totalement indemnisable, il semble que les assurances aient de nombreux dégâts à rembourser en habitation pour cette année. En effet, la France n'a connu pareil sinistre depuis plus de trente ans. Avec plus de 1.800 Communes inondées, les pluies torrentielles de mai et juin ont causé des dégâts considérables sur les infrastructures matérielles des villes. Après que le gouvernement ait déclaré l'état de catastrophe naturelle, les assureurs devront procéder au remboursement de leurs clients pour les dommages engendrés par l'inondation. Seule la partie Sud Est de la France a été épargnée par ce déluge. 42 départements français sous l'eau Les cotisations en assurance habitation seront cette fois-ci utilisées. La quasi-totalité de la surface territoriale française a été submergée par l'eau durant les bouleversements climatiques fin d'année 2016. Ainsi, le gouvernement a déclaré dans le journal officiel du pays une situation de catastrophe naturelle. Pour les compagnies d'assurance, cela sous-entend le respect de l'engagement qu'ils ont pris auprès de leur clientèle. Une épine de moins pour les sinistrés Les victimes assurées sont donc désormais en droit de réclamer une indemnisation pour procéder aux réparations éventuelles des dégâts engendrées par les fortes pluies du mois de juin. Hélas, après une bonne trentaine d'années de calme et de plénitude climatique, malgré le passage de quelques canicules, la France est à présent souvent sujette à des averses orageuses, endommageant une très grande partie du pays. En constatation de l'envergure des préjudices, le gouvernement se voit dans l'obligation de déclarer une situation de sinistre nationale. Seuls les assurés seront remboursés Evidemment, seules les personnes ayant souscrit à une assurance habitation pourront se faire rembourser le coût des travaux entrepris. Par ailleurs, les clauses du contrat doivent mentionner une prise en charge effective des dégâts causés par une 'catastrophe naturelle', état qui, comme dans le cas présent, doit été déclaré officiellement par un arrêté ministériel. Les victimes devront alors faire un état des lieux afin d'estimer la valeur des dégâts et le coût des travaux de réparations. Ensuite, une demande d'indemnisation sera déposée auprès de l'établissement assureur, et ce dernier procédera au dédommagement dans un délai de trois mois.