La fréquence des accidents de la route est d’une importance phénoménale. Ce qui incite tout un chacun à prendre sa part de responsabilité. Il faut admettre, pourtant, qu’il reste encore du chemin à faire. Aux dernières nouvelles, une étude a été menée afin de définir l’impact de l’alimentation sur l’attitude du chauffeur au cours d’un certain trajet. En l’occurrence, le résultat devrait conscientiser tout le monde. Un grand nombre de raisons peuvent être à l’origine d’un incident malheureux survenant au niveau de la circulation. A priori, le comportement de chaque automobiliste est en mesure d’influencer la tendance de cet indicateur. Cependant, force est de constater qu’auparavant, une bonne partie des facteurs n’a jamais fait l’objet d’une quelconque recherche. Deux médecins ont, de ce fait, tout récemment apporté leur lumière sur le sujet. Et ce, en étudiant la relation entre l’alimentation et l’état du conducteur. Selon toute vraisemblance, la constitution des repas doit être maîtrisée comme il se doit au risque d’être confronté à un éventuel accident. Il ne faut pas non plus oublier que d’autres paramètres sont à même de favoriser la situation. L’impact de chaque repas est analysé scientifiquement Chaque catégorie de régime alimentaire agit différemment sur le comportement d’une personne conduisant un véhicule. Dernièrement, le docteur Frédéric Saldmann ainsi que le professeur Fabrice Bonnet ont mené une enquête très approfondie permettant de voir l’interaction entre les nourritures et la conduite. À noter que tous les deux sont respectivement un cardiologue et un endocrinologue. À la fin de l’expérience, des résultats ont été obtenus sur un trajet de 40 minutes. En dépit de cette durée relativement courte, la conclusion reste quelque peu significative. Avant d’arriver à ce stade, un processus scientifique a été mis en marche dans le cadre de ce projet. Au docteur Frédéric Saldmann de préciser : Nous avons étudié la baisse de la vigilance des conducteurs en observant le mouvement des globes oculaires et les postures grâce à un boitier infrarouge orienté vers son visage. Ces réactions ont été filmées et enregistrées sur des systèmes de big data selon des critères robustes et fiables sur le plan médical et scientifique. Nous avons ensuite mesuré le nombre de comportements à risques selon le type d’aliments. Frédéric Saldmann Grâce à cette méthode, il a été prouvé qu’un repas hypercalorique est le plus dangereux pour tout conducteur qui projette d’effectuer un long périple. Cette catégorie de régime est constituée en grande partie d’amuse-bouche, dont la consommation peut atteindre 1 500 Kcal tout au long du voyage. Soit le triple de l’apport normal nécessaire qui est limité à 500 Kcal. Par conséquent, le premier cas est généralement associé d’une faille au niveau du freinage. En gros, l’alimentation inappropriée cause un préjudice à la vigilance. Certains sujets ont même été victimes d’un demi-sommeil au cours de l’expérimentation. En revanche, les observateurs ont constaté que ceux qui ont sauté le déjeuner avant le début du déplacement n’ont signalé aucun problème au cours du parcours. La somnolence est un facteur d’accident Il n’y a pas que les casse-croûtes qui sont responsables dans cette affaire. Parmi les solutions mises en œuvre, il faut dire que le recours à une assurance auto est assez prévenant de la part des conducteurs. Néanmoins, il ne s’agit pas de la seule action capable de changer les donnes. Concrètement, le manque de sommeil provoque la survenance d’un tiers des évènements fortuits mortels survenant au niveau des grandes routes. Cependant, il faut avouer qu’il existe des explications à ce fait. Généralement, dormir de manière insuffisante met en péril le trajet à faire. Il en est de même pour la prise de produits stupéfiants avant ou pendant le voyage. Dans ce sens, les boissons alcoolisées et les médicaments sont les plus pointés du doigt.