À quelque chose de malheur est bon a-t-on l’habitude de dire. Dans cette période trouble après plusieurs semaines de confinement, de nombreuses entreprises, dont les acteurs du secteur immobilier, sont dans l’expectative concernant l’évolution de leur situation financière. Les divorces provoqués par le confinement sont ainsi à l’avantage de l’immobilier.
Le marché immobilier commence à retrouver son dynamisme, et bon nombre d’acheteurs potentiels souhaitent mettre en œuvre leur projet le plus tôt possible. Malheureusement, pour certains candidats à l’acquisition, trouver un financement devient de plus en plus difficile. En effet, les banques durcissent leurs conditions de prêts, même si les taux d’intérêt demeurent relativement stables. Ce problème touche en particulier les emprunteurs aux revenus modestes, dont le taux d’endettement oscille aux environs de 33 %.
La fintech française Younited Credit vient de s’implanter sur le marché allemand. Il s’agit du cinquième marché investi par la plateforme de crédit à la consommation avec sa licence bancaire en Europe continentale. En plus de ce nouveau marché, la fintech poursuit son essor dans le monde du B2B.
Toyota a récemment annoncé une chute de 80 % de ses bénéfices d’exploitation au cours des 12 prochains mois. Le deuxième constructeur automobile mondial anticipe un impact de la crise sur les ventes de véhicules bien plus important que lors de la crise financière mondiale.
Pour relancer les ventes automobiles depuis la levée du confinement, le gouvernement a déployé diverses mesures incitatives. Ces dernières sont particulièrement intéressantes pour l’acquisition de voitures propres. Comme pour les modèles thermiques, leur assurance est obligatoire. Pour les électriques, les spécialistes conseillent généralement d’opter pour une couverture risques. Par ailleurs, ils recommandent d’effectuer une comparaison avant toute souscription.
Comme chaque année, le laboratoire économique du logement (LABEL), cellule économique de la FNAIM, dresse un rapport. Une étude portée sur 16 pays européens, y compris la Suisse. Cette enquête aborde de nombreuses disparités, notamment au niveau du nombre d’habitations, mais elle fait aussi état des conditions de logement actuelles en territoire français.
Après le confinement, les agences immobilières ont remarqué que les Français cherchent de plus en plus à s’éloigner de la ville et à acquérir une maison avec un jardin. Les Toulousains n’échappent pas à la règle, mais dans la Ville Rose, les prix n’ont pas vraiment bougé. Ce qui tend à penser que beaucoup ne pourront pas réaliser leur rêve.
À la sortie du confinement, de plus en plus de Français rêvent de quitter les grandes agglomérations pour s’installer dans des zones suburbaines et rurales. À l’affut d’espaces plus grands et verdoyants, les acheteurs potentiels se ruent vers les maisons avec jardin et les biens de grande surface. Cette nouvelle tendance entraîne une hausse sensible de la demande immobilière dans certains départements et peut à terme engendrer une pénurie de l’offre et une flambée des prix.
Le coronavirus a causé des dégâts considérables sur l’économie, même dans les pays les plus développés. Comme les autres ménages du monde, les Allemands ont accusé une baisse conséquente de leurs revenus à cause de la crise sanitaire et du confinement. Face aux difficultés financières auxquelles ils pourraient être confrontés, le gouvernement allemand a décrété la suspension des échéances de remboursement des prêts pour un délai de 3 mois.
En pleine lutte contre la pandémie de coronavirus en mai, les taux d’intérêt des crédits automobiles ont chuté à un seuil jamais observé depuis près de sept ans aux États-Unis. Toutefois, ces offres très attractives ne devraient pas durer éternellement.
Au Québec, 33 % des adultes disposaient d’au minimum un objet connecté visant à assurer la sécurité de leur logement l’an dernier. En guise de comparaison, cette proportion s’élevait à 24 % en 2018. Au Royaume-Uni, les souscripteurs de couverture habitation ont aussi davantage utilisé la technologie en 2019. Cette année, cette tendance est ralentie par la pandémie de coronavirus.
Selon les spécialistes, les aides à l’achat de voitures électriques peuvent désormais atteindre 19 000 euros pour les habitants des communes du Grand Paris. Ce calcul tient compte du bonus écologique et des autres primes accessibles dans la métropole. En effet, les personnes éligibles peuvent cumuler les sommes offertes à travers les différents dispositifs.
Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Le Revenu, Maître Thierry Delesalle livre son analyse sur la situation et l’évolution possible du marché immobilier en région parisienne. Il anticipe une diminution de plus de 20 % de l’activité pour 2020. En revanche, il reste plutôt sceptique par rapport à la possibilité d’une baisse des prix des biens dans la capitale dans les mois à venir.
Les activités immobilières reprennent peu à peu après le déconfinement. Même si le marché commence à rebondir, force est de constater que les banques se montrent beaucoup moins conciliantes avec les porteurs de projets immobiliers. Les conditions d’octroi ont bel et bien été durcies suivant les recommandations du HCSF et les dossiers de prêt sont traités avec plus de rigueur. Les organismes de crédit scrutent minutieusement la situation professionnelle de chaque emprunteur et le secteur dans lequel il travaille.
D’aucuns craignaient que le marché de l’automobile ne puisse se relever des deux mois de paralysie provoqués par la crise sanitaire. S’il s’agit malheureusement d’une réalité dans certaines régions de l’Hexagone, dans la commune de Vire Normandie, les concessionnaires ont eu la joie de voir les clients affluer, dès que le déconfinement a été effectif.
Selon une récente enquête réalisée par IndiaLends, une plateforme indienne de prêt en ligne, la pandémie de coronavirus a sévèrement impacté la santé financière des salariés et des professionnels. Pour joindre les deux bouts, des milliers de ménages se tournent vers le crédit, bien qu’ils soient déjà endettés.
De nombreux scénarios ont été imaginés pour l’évolution du marché immobilier une fois que le confinement touche à sa fin. Parmi les éventualités les plus évoquées, les observateurs s’attendent à une baisse probable des prix. Mais les vendeurs ne semblent pas disposés à faire un effort financier, d’autant plus que, pour la plupart d’entre eux, les fonds obtenus de la cession serviront à financer l’achat d’un nouveau bien.
La start-up Lemonade se prépare à entrer sur le marché des actions américain. Le 8 juin dernier, elle a remis à la SEC (Securities and Exchange Commission) une demande d’enregistrement pour être cotée à la Bourse de New York. Si le dossier de l’Assurtech est validé par le régulateur, il s’agira d’une première outre-Atlantique.
Apple a récemment obtenu un brevet sur les « Données de capteur partagées sur les pipelines de traitement des capteurs ». Cette information a suffi pour raviver les spéculations concernant la création d’une voiture à Cupertino. Toutefois, pour l’instant, il s’agit seulement d’un système permettant d’améliorer le traitement des données pour la conduite autonome. Le projet reste néanmoins prometteur.
Après une année 2019 exceptionnelle, les prix de l’immobilier ancien sont restés sur une tendance haussière au cours du premier trimestre 2020. Avec une telle croissance, ils ne sont plus très loin des tarifs du neuf. Dans certaines communes franciliennes, il est même possible de s’offrir un logement fraîchement construit moins cher qu’un bien plus âgé.
Au Maroc, les ménages ont souffert d’une baisse significative de leurs revenus avec la crise sanitaire. Pour les aider à repartir du bon pied, les banques du royaume ont accepté de faire un effort et de réduire leurs taux. Ainsi, pour le premier trimestre 2020, hormis pour le prêt à la consommation, les établissements financiers marocains ont revu leurs barèmes à la baisse.
Comme il fallait s’y attendre, le marché de l’automobile n’allait pas réaliser d’énormes chiffres au mois de mai, vu que la reprise n’a eu lieu qu’à partir du 11. Et encore, il fallait miser sur un redémarrage en douceur, les consommateurs n’étant pas très enthousiastes à l’idée de puiser dans leur bas de laine.
En matière d‘investissement locatif, le pouvoir d’achat des ménages représente un paramètre essentiel lors du choix de l’emplacement d’un bien immobilier. L’explosion du chômage depuis le début de la crise du coronavirus a pourtant grevé les revenus d’un grand nombre de foyers. Plusieurs localités ont par conséquent perdu de leur attractivité.
Le bilan sur les effets du confinement sur le marché immobilier continue de confirmer la première place de la pierre en tant que placement refuge. L’immobilier a fait preuve d‘une excellente résilience face à la crise sanitaire. Certes, les transactions immobilières ont lourdement chuté au cours des derniers mois. Les prix se sont pourtant maintenus à la hausse, hormis dans quelques agglomérations.
Les auto-écoles traditionnelles ont dû suspendre leur activité durant le confinement, contrairement à leurs homologues en ligne. Ainsi, les écoles de conduite dématérialisées ont enregistré une hausse notable des nouvelles inscriptions sur cette période. En effet, de nombreux candidats au permis en ont profité pour poursuivre leur préparation, notamment en vue des examens de Code.
Selon toute vraisemblance, une grave crise économique devrait succéder à la crise sanitaire liée au Covid-19. Pour amoindrir l’impact de cette nouvelle menace, le gouvernement compte sur le marché de l’immobilier et souhaite que celui-ci redémarre le plus vite possible. Mais encore faut-il relancer la consommation ; une consommation qui risque, justement, d’être refroidie par des charges administratives trop élevées.
En restreignant les libertés de déplacement des Français, le confinement a réveillé certaines envies. Car dans un appartement parfois exigu, avec plusieurs personnes, beaucoup se sont plaints de ne pas disposer d’un espace extérieur où prendre l’air. Désormais, selon Le Parisien, la présence d’un balcon ou d’une terrasse devient un critère important pour les ménages à la recherche d’un logement.
Afin de relancer le marché du logement, la Fédération nationale de l’immobilier, dit FNAIM, a exposé son plan qui passe notamment par le soutien des banques ainsi que par une aide fiscale. La fédération souhaite aussi un geste de la part de l’État en réhabilitant les prêts à taux zéro et en ne cédant pas à l’appel de la taxe de la pierre.
Les spécialistes estiment que l’épidémie de coronavirus a contribué à transformer le mode de consommation des produits d’assurance en France. En effet, de nombreuses voitures ont été immobilisées depuis le début du confinement. Pourtant, les assurés continuent de payer leur prime. Les automobilistes se sont ainsi rendu compte des avantages des contrats souscrits à l’usage.
De nombreux articles tentent aujourd’hui de décrypter les conséquences de la pandémie de Covid-19. Et ces diverses analyses se rejoignent sur le fait que la situation ne semble pas près de s’arranger pour de nombreux ménages, professionnels et industries. En effet, plus le temps passera, plus d’autres effets se feront sentir. Mais pour l’heure, les répercussions sur certains emplois sont d’ores et déjà visibles, ne serait-ce qu’au niveau des crédits immobiliers demandés par certains professionnels.
D’après une nouvelle étude de la société américaine d’analyse de données J.D.Power qui mesure la satisfaction des clients, il existe deux facteurs cruciaux pour la survie des prêteurs à l’ère de la pandémie de coronavirus : instaurer la confiance et fournir aux clients des outils numériques faciles à utiliser.
Lourdement impactée par la crise sanitaire, l’industrie automobile aura grand besoin de l’aide de l’État pour pouvoir se relever. Celui-ci a accepté d’apporter son soutien au secteur, mais à une condition : que les constructeurs multiplient leurs efforts pour accélérer la production de voitures propres. Le gouvernement a émis son souhait de faire de la relance économique un accélérateur de la transition énergétique.
Au cours des cinq dernières années, aucun changement n’a autant menacé la santé de l’industrie indienne de l’immobilier que la crise du Covid-19. Le confinement et les pertes d’emploi pèsent sur la demande, tandis que l’arrêt des travaux de construction perturbe l’offre. Malgré les nuages qui pèsent sur le secteur, quelques évolutions positives sont possibles.
Lors d’une récente enquête, un réseau national d’agents immobiliers a interrogé les Français sur leurs choix de placements financiers à la sortie du confinement. L’étude a révélé que 90 % d’entre eux continuent de plébisciter l’investissement immobilier, et que pour 27 %, la proximité du bien reste le principal critère de sélection. Si la majorité privilégie d’autres paramètres, il est clair que le Covid-19 a modifié la perception des investisseurs.
Pour l’instant, il est difficile de savoir si ce changement va perdurer, mais le fait est que la crise sanitaire et le confinement ont modifié les habitudes et le comportement des Français. Cela se ressent jusque dans le mode de consommation qu’ils ont adopté. Fini le gaspillage, ils achètent autant que possible des produits frais issus de l’agriculture locale et font de plus en plus leurs courses sur Internet.
Les banques sont confrontées à leur année la plus difficile en termes de croissance des prêts du fait de la chute des prêts aux particuliers due à la crise du Covid-19. Tous les segments sont touchés, alors que les prêteurs misent presque exclusivement sur cette source de revenus. De plus, une augmentation rapide de la production des crédits aux particuliers semble impossible, du moins au cours de l’exercice 2020-2021.
Les effets de la crise du coronavirus sur le budget des ménages n’ont pas tardé à se faire sentir. Le dernier baromètre annuel du Cofidis/CSA a révélé que 41 % des Français ont constaté une dégradation de leur situation financière personnelle suite à l’arrêt partiel ou total de leurs activités.
La pandémie et la paralysie économique qui s’en est suivie ont fait des dégâts considérables, notamment au niveau des entreprises. Selon une étude menée par Coface, le nombre d’entreprises défaillantes va exploser cette année, une perspective qui amène les assureurs-crédit à réduire leur garantie, voire à annuler certains contrats.
Le président du réseau d’acteurs publics et privés Plan Bâtiment Durable, Philippe Pelletier, a affirmé que la rénovation des logements serait le meilleur levier pour remettre l’industrie immobilière sur les rails après la crise sanitaire découlant de la pandémie Coronavirus. Il soutient que la rénovation serait la clé ultime de l’immobilier et devrait constituer l’orientation des nouveaux investissements.
Selon le CISR, l’usage du téléphone portable augmenterait le risque d’accident routier. De nouvelles mesures ont alors été publiées afin d’y remédier. D’autres règles liées à la conduite en état d’ébriété ont également été annoncées, notamment le fait de détenir un éthylotest chimique dans sa voiture, qui n’est plus obligatoire.
Pour son premier achat immobilier, le porteur de projet se tourne plus volontiers vers les logements anciens parce que, généralement, le prix affiché est beaucoup plus abordable. Mais dans des villes où le marché immobilier est très tendu, acheter un logement neuf peut s’avérer plus intéressant. Ce dernier présente l’avantage d’être tout de suite habitable, car ne nécessite pas des travaux de rénovation.
Avant la crise sanitaire, le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) s’inquiétait de l’augmentation du niveau d’endettement des ménages. Mais les observateurs se voulaient rassurants, en mettant en avant la proportion des défauts de paiement qui était moindre. Après la pandémie et le confinement, le nombre de ménages incapable de faire face aux remboursements risque d’être plus important.
À cause du confinement, qui a imposé la fermeture de tous les commerces considérés comme non-essentiels, la production de prêts à la consommation a chuté au premier trimestre. Le dernier rapport de l’Association française des sociétés financières fait état d’un repli de 5,4 % de l’encours de crédits distribués au cours de la période.
Dans un contexte d’aggravation de la récession due à la crise du COVID-19, de nombreux ménages peinent à couvrir leurs charges courantes à cause de la maladie, du chômage ou d’un endettement déjà élevé. Les ménages modestes sont particulièrement vulnérables. Des mesures durables s’imposent pour améliorer l’offre de transport et son « abordabilité » afin d’offrir une alternative à la coûteuse possession d’une voiture personnelle.
En Ille-et-Vilaine, les bailleurs sociaux ont constaté une hausse des loyers impayés depuis avril dernier. Il s’agit d’un des premiers symptômes des effets de l’épidémie de coronavirus sur la population. Face à cette situation, le département et Rennes Métropole ont déployé un dispositif d’urgence pour soutenir financièrement les locataires des HLM locaux.
Selon une enquête commandée par une start-up spécialisée dans la location de voitures, le vélo gagne davantage d’adeptes. L’analyse des réponses fournies par les 1 415 personnes interrogées a aussi permis de constater que 87 % des Français comptent désormais se déplacer en voiture au quotidien. Quelles sont les conséquences de cette tendance sur les autres moyens de transport ?
Les Français sont restés bloqués dans leur domicile durant environ deux mois en raison des mesures de confinement instaurées dans le pays. Sur toute cette période, ils étaient supposés rester chez eux 23 heures sur 24, en considérant l’heure de promenade journalière. Tout ce temps passé à l’intérieur a nécessairement révélé les atouts et les défauts des logements.
La mobilité de chacun s’est retrouvée restreinte à cause de la crise sanitaire engendrée par la pandémie du Covid-19, qui a fait que les véhicules motorisés n’ont presque pas bougé. Les risques et les fréquences d’accident ont inexorablement chuté. L’association des consommateurs, l’UFC-Que Choisir, a ainsi proposé de diminuer les cotisations d’assurance véhicule afin de renforcer le budget des ménages.
Les propriétaires immobiliers qui ont un bien à céder savent que la période actuelle est remplie d’incertitudes. Les acheteurs potentiels se heurtent au durcissement des conditions de financement et il est bien difficile de vendre sans solliciter les services d’une agence. Pourtant, les propriétaires mettent désormais en doute la capacité de leur agent à bien évaluer leur bien.
Il s’agit peut-être d’un engouement passager, mais depuis leur réouverture, les agences immobilières sont prises d’assaut par les particuliers qui souhaitent déménager au plus vite, si possible à la campagne. Mais cette soif de verdure se heurte à plusieurs complications, à commencer par la difficulté de financement. Les dossiers de prêt recalés par les banques sont en effet nombreux.
Plus le temps passe, et plus les automobilistes réclament davantage à leur voiture. Et justement, les constructeurs s’évertuent nuit et jour à combler les besoins des conducteurs et à anticiper leurs prochaines attentes. Ce qui est sûr, c’est que d’ici 10 ans, l’électrique et le numérique seront les composants essentiels des véhicules du futur.
Selon l’agence de crédit Equifax New Zealand, la demande de crédit à la consommation a chuté de 71 % pendant la phase d’alerte de niveau 4 de la crise du Covid-19. En parallèle, celle de prêts professionnels a diminué de 63 %. Si les dépôts de nouveaux dossiers ont repris, le nombre de personnes en difficulté explose.
La pandémie du Covid-19 et les mesures prises par les différents gouvernements pour freiner la propagation de la maladie ont sévèrement impacté l’activité d’Airbnb à travers le monde. Des suppressions de postes massives sont ainsi prévues, malgré un début de reprise dans certains pays, dont la France. Pour cet été, les requêtes des Français portent sur des maisons avec piscine.
En ces périodes troubles, les mauvaises nouvelles sont légion. Mais des faits encourageants viennent tout de même mettre du baume au cœur. Les secteurs d’activités peinent à redémarrer depuis le déconfinement, mais cela ne semble pas être le cas pour le marché immobilier dans le département de l’Hérault. Les observateurs perçoivent même une dynamique plus prononcée qu’à l’accoutumée.
La crise sanitaire que l’on traverse devrait engendrer une autre crise qui impactera tous les secteurs d’activité, et même l’immobilier. Cependant, lors de la sortie du confinement le 11 mai dernier, l’on a constaté que le marché de l’habitat a retrouvé une certaine dynamique, mais que cela ne devrait pas durer selon des professionnels du secteur.
Le coronavirus a fait basculer la balance du côté de l’Europe en matière de vente de voitures électriques. Du moins, si l’on tient compte des résultats enregistrés au premier trimestre de cette année. Ceux qui démontrent que dans ce domaine, le marché européen a, pour la première fois depuis des lustres, détrôné le détenteur du titre, la Chine.
Les Français ont été contraints d’épargner pendant le confinement. Selon les données officielles, le volume de l’épargne a atteint un niveau inédit dans l’Hexagone, pour s’établir à 55 milliards d’euros. Anticipant des lendemains difficiles, les ménages ont tout mis en œuvre pour économiser de l’argent. Ceux qui détiennent un crédit immobilier en cours ont par exemple eu recours à la délégation d’assurance pour gagner quelques milliers d’euros.
Les impacts de la crise sanitaire sur l’économie accentuent les inégalités sociales en France. La 9e édition du baromètre Cofidis/CSA sur le pouvoir d’achat des Français a révélé que 41 % d’entre eux constatent une dégradation significative de leur niveau de vie. Ce problème touche tout particulièrement les artisans, commerçants, chefs d’entreprises, ouvriers et les sans-emplois.
La Nationwide Building Society a indiqué avoir signalé aux trois principales agences de notation de crédit – Equifax, Experian et TransUnion – des incidents de paiement sur des crédits ayant fait l’objet de suspension de remboursement. L’établissement s’est toutefois aperçu rapidement de son erreur et remplacé les rapports erronés.
À l’issue de l’allocution présidentielle, le 26 mai dernier, Emmanuel Macron a avancé son plan de relance pour le secteur automobile. L’objectif premier est de rattraper le manque à gagner des acteurs de la filière, tout en encourageant les Français à faire un pas de plus vers la transition écologique.
Si de nombreuses entreprises s’inquiètent de la reprise après le déconfinement, les déménageurs, eux, se préparent à connaître un pic d’activité en été. Outre les déménagements suspendus à cause de l’entrée en vigueur du confinement, les changements de logement pourraient être occasionnés par le souhait des ménages de vivre dans des habitations plus spacieuses.
Le secteur du bâtiment doit redémarrer rapidement après deux mois d’arrêt, selon le ministre de l’Économie, Bruno le Maire. Il a déclaré lundi 18 mai que seuls 28 % de l’activité n’ont pas encore repris jusque-là, et 83 % des chantiers suspendus depuis le mois de mars sont de nouveau ouverts.
L’année dernière, avant l’intervention du Haut conseil de stabilité financière (HCSF), et avant que ne survienne la pandémie de Covid-19, les emprunteurs bénéficiaient de conditions particulièrement intéressantes sur le crédit immobilier, les amenant à négliger l’assurance de prêt. Mais désormais, crise sanitaire et probable hausse des taux obligent, ils gagneraient à recourir à la délégation d’assurance.
Durant les deux mois de confinement, les Français privés de sorties et d’achats ont réussi à mettre beaucoup d’argent de côté. Les flux nets sur les dépôts à vue ont atteint 27,7 milliards d’euros, tandis que les dépôts rémunérés, notamment le livret A, se sont élevés à 17,3 milliards. D’après le dernier rapport de la Banque de France, le surplus d’épargne financière a grimpé à 55 milliards d’euros à fin avril.
Les taux d’intérêt des crédits immobiliers augmentent depuis quelques semaines. En revanche, la baisse des prix espérée par les candidats à l’accès à la propriété n’a pas encore eu lieu. De plus, les frais de notaire ne vont finalement pas diminuer comme prévu au 1er mai 2020, mais au 1er janvier 2021 à cause des difficultés économiques que va engendrer la crise sanitaire.
Alors que les constructeurs automobiles du monde entier font face à un effondrement quasi total des ventes et à des mois d’incertitude, même après le redémarrage de leurs usines, la crise du Covid-19 pousse les particuliers qui ne possédaient pas de voiture à s’en offrir une. Ce phénomène offre une mince lueur d’espoir à l’industrie.
La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 n’est pas encore derrière nous, mais la crise économique qu’elle va engendrer risque d’être inévitable. Dans l’incertitude et à cause d’un marché immobilier morose, bon nombre d’investisseurs préfèrent rebrousser chemin. Or, le secteur ne pourra pas retrouver sa forme optimale sans l’apport des investisseurs en locatif.
Du fait de la crise économique, les locataires pourraient être confrontés à des difficultés financières structurelles, en particulier s’ils se retrouvent sans revenus. Les loyers impayés sont ainsi susceptibles de s’accumuler durant les prochains mois. D’autre part, nombre d’étudiants n’ont pas hésité à résilier leur contrat de bail. Les bailleurs du secteur privé risquent d’en pâtir.
Cela fait maintenant quelques semaines que les Français se déconfinent. Toutefois, leur priorité n’est pas forcément d’acheter une voiture, leur pouvoir d’achat ayant pu être impacté par la crise sanitaire. Pour éviter que les véhicules ne restent plus longtemps en stock, les acteurs de la chaîne commerciale s’activent pour relancer la demande.
Obtenir son permis de conduire est un parcours du combattant, en particulier pour les futurs jeunes conducteurs. L’arrivée des auto-écoles en ligne a toutefois bousculé les règles : la théorie et le Code de la route s’apprennent grâce à divers outils digitaux et la pratique se fait avec un moniteur indépendant à bord d’une voiture réelle.
Au début du déconfinement, les professionnels du secteur immobilier et les experts du crédit ont effectué leur premier constat, et les annonces sont plutôt positives. Des demandes d’emprunt ont en effet gardé un rythme dynamique. Par contre, le marché s’est assagi et ne connaît plus la surchauffe d’avant la crise du Covid-19.
La mise en place des mesures de confinement a mis à l’arrêt l’activité sur le marché de l’immobilier, notamment à cause de l’impossibilité de visiter les logements ciblés. Depuis le 11 mai, les agences immobilières sont à nouveau autorisées à ouvrir et à organiser des rendez-vous physiques, mais tous doivent respecter des règles sanitaires strictes.
Au beau milieu du mois de mars, le coronavirus a poussé les autorités françaises à décréter le confinement, provoquant l’arrêt brutal et quasi total des activités professionnelles. Sans grande surprise, les banques ont accusé un net recul du volume de crédits accordés ce mois-là, en observant des horaires d’ouverture réduits et mettant en pause tous les dossiers de demande de prêt.
Au Canada, les entreprises ont déjà eu du mal à s’acquitter de leurs créances avant la pandémie, et les voilà aujourd’hui lourdement pénalisées par la suspension des activités pendant le confinement. Selon certains experts de la FCEI (Fédération canadienne de l’entreprise indépendante), la situation pourrait empirer, d’autant plus que l’économie pourrait ralentir significativement du fait de la hausse de l’insolvabilité des ménages.
Bien que la loi ne l’impose pas, l’assurance de crédit immobilier est exigée par toutes les banques. Elle protège non seulement le prêteur, mais également l’emprunteur en cas d’aléas de la vie affectant sa capacité de remboursement. Il est également possible de recourir à son contrat de prévoyance, notamment pour les couples qui s’engagent à deux.
Selon des statistiques publiées par la CSA, des milliers de Français ont découvert un nouveau hobby pendant la période de confinement. En effet, plus de trois quarts d’entre eux ont déclaré leur amour à leur nid douillet et ont souhaité effectuer des travaux pour l’améliorer. À l’inverse, près d’un citoyen sur cinq a exprimé leur envie de changer d’air.
Dans le cadre de la transition énergétique destinée à lutter contre le réchauffement climatique, l’hydrogène figure parmi les solutions adoptées par les constructeurs automobiles pour réduire le taux de CO2 émis par les véhicules produits par leurs usines. N’empêche que dernièrement, ils sont de plus en plus nombreux à abandonner cette voie jugée trop coûteuse pour leur finance.
Les professionnels de santé sont en première ligne afin d’éviter la propagation du Coronavirus et assurer la sécurité de millions de personnes. Un élan de solidarité a été massivement relayé sur les réseaux sociaux grâce au hashtag #YouCareWeCare. Un dispositif suggérant aux propriétaires de mettre à la disposition de ces concernés – gratuitement – leurs propriétés pour les vacances.
Genève fait partie des cantons suisses disposant du parc automobile le plus important et le plus lourd du pays. D’ailleurs, environ 40 % des voitures circulant sur ses routes dépassent les 2 tonnes, contre 13 % en moyenne dans l’Hexagone. Certains élus locaux estiment ainsi que la fiscalité en la matière est désormais inadaptée au contexte actuel.
Le confinement a fait naître des besoins, mais également des rêves chez les Français. Mais nul n’est sans savoir qu’entre rêve et réalité, il y a tout un monde. Par exemple, la quête de maison avec un jardin, à la sortie de la ville, est un rêve récurrent pour beaucoup, mais est-ce que sa réalisation est du domaine du raisonnable ?
Les encours des nouveaux emprunts hypothécaires bruts ont chuté à 14,4 milliards de livres sterling en avril, soit 38 % de moins qu’en février. Quant au nombre de prêts immobiliers approuvés, ils sont tombés à 15 800 au cours de la période, environ 80 % en dessous de son niveau de février. C’est ce qu’indiquent les dernières statistiques de Money & Credit de la Banque d’Angleterre.
La Chambre a adopté en plénière la loi sur le report des prêts à la consommation en Belgique. Cette prescription prévoit d’offrir au titulaire d’un tel crédit la possibilité de demander un report des remboursements mensuels auprès de son banquier sur 3 mois tout au plus, renouvelable une fois. Mais contrairement à ce qui était approuvé en commission, l’opération est soumise à une nouvelle condition. La mensualité doit s’élever à 50 euros minimum.
En raison de la crise sanitaire, les grands groupes bancaires passent des provisions supplémentaires pour se prémunir d’une probable hausse des créances irrécouvrables. Bien que tous ne soient pas exposés de la même manière, les acteurs du marché s’accordent sur le fait que le risque est principalement lié au crédit à la consommation.
Les Français pourront partir en vacances cet été, mais ils ne devront pas sortir du territoire national. Cette déclaration du Premier ministre offre une lueur d’espoir aux acteurs du tourisme et des loisirs. Ayant exprimé son avis sur le sujet, le numéro un du groupe Consultim a déclaré que cette décision est une aubaine pour les résidences de tourisme. Selon ses dires, la plupart des vacanciers pourraient opter pour ce type d’hébergement.
Le secteur du bâtiment doit redémarrer rapidement après deux mois d’arrêt, selon le ministre de l’Économie, Bruno le Maire. Il a déclaré lundi 18 mai que seuls 28 % de l’activité n’ont pas encore repris jusque-là, et 83 % des chantiers suspendus depuis le mois de mars sont de nouveau ouverts.
Pour alléger la charge financière des ménages ayant des crédits en cours et impactés par la crise du Covid-19, les banques britanniques consentent des reports d’échéances. Les détenteurs de prêts hypothécaires ont désormais jusqu’à fin octobre pour demander une suspension des paiements, tandis que les saisies de biens sont bloquées.
Après le déconfinement total en France, de nombreux candidats au prêt à la consommation auront du mal à voir leur demande aboutir. D’après les observateurs et les experts du domaine, le taux de refus pourrait augmenter de près de 40 %. Actuellement, plus du quart des dossiers ont déjà fait l’objet d’un rejet.
Les mesures gouvernementales pour soutenir l’emploi ont été favorables aux marchés immobiliers européens. Les effets de la crise sanitaire sur les marchés n’ont pas été aussi sévères que prévu. Les prix du logement sont légèrement en baisse depuis le début de la crise. Les observateurs anticipent une reprise de la hausse vers la fin 2021.
Avant le début de la crise sanitaire liée à la propagation du coronavirus, le nombre de permis de construire délivrés en France a connu une forte hausse. Mais après le confinement, les professionnels du secteur tablent sur un repli considérable de la production de logement. Le PDG de Nexity s’attend cette année à une baisse de près de 100 000 chantiers.
La crise sanitaire engendrée par la pandémie de coronavirus a eu d’importantes répercussions sur le budget des Français. Les locataires sont particulièrement concernés par cette situation. Contre toute attente cependant, le confinement n’a pas entraîné une recrudescence des impayés de loyers. C’est ce que révèle l’Anil dans son baromètre publié le 19 mai dernier.
Le coronavirus s’est également acharné sur le marché automobile britannique. C’est du moins, ce qu’a récemment fait valoir le directeur général de l'Association des constructeurs et des vendeurs automobiles (SMMT) à travers la publication des résultats de ses enquêtes sur le sujet pour le Royaume-Uni qui a enregistré une chute considérable des ventes.
Pendant le confinement, les Français n’ont acheté que le minimum et ont même réalisé quelques économies à cause des services inaccessibles comme le transport ou la restauration et les loisirs. Même avec la reprise, ils entendent rester prudents, redoutant une crise économique durable alors que leur pouvoir d’achat se dégrade.
Au Maroc, le confinement imposé pour freiner la propagation du coronavirus a privé un tiers de la population d’une source de revenus. Les ménages pauvres ont été plus durement touchés que les autres catégories sociales, puisque 44 % d’entre eux se sont retrouvés sans ressources. C’est ce qui ressort d’une enquête menée par le Haut Commissariat au Plan, organisme marocain en charge des études.
L’entreprise américaine Airbnb a été considérablement impactée par la crise sanitaire. En effet, la pandémie de coronavirus a entraîné l’effondrement des locations touristiques. En Europe, plusieurs municipalités souhaitent profiter de cette tendance à la baisse pour restaurer la formule traditionnelle. Tel est notamment le cas de Paris qui prévoit d’acquérir des logements proposés sur la plateforme d’Airbnb.
La Chine est la première à avoir levé le confinement strict et à relancer progressivement ses activités. Ainsi, plus de 50 % des unités de production de voitures dans le pays tournent à plein régime depuis fin mars dernier. Toutefois, le rythme a dû être adapté à la demande et aux stocks découlant de la pandémie de Covid-19.
Il ne pouvait pas en être autrement. Avec le confinement et la fermeture de tous les points de vente, l’industrie de l’automobile en France ne pouvait présenter que des chiffres catastrophiques pour le mois d’avril. Mais dans ce marasme ambiant, quelques signes encourageants apparaissent pour la reprise du marché dans les mois à venir.
Après que la crise sanitaire a tout arrêté, les interrogations concernant l’avenir économique dans sa globalité ainsi que des secteurs respectifs se sont multipliées. Dans des domaines comme les arts et spectacles, la restauration ou encore les parcs d’attractions, la reprise risque d’attendre. Pour d’autres, comme l’immobilier et le marché automobile, les perspectives paraissent moins sombres.
Les chiffres « record » de l’année dernière concernant le crédit immobilier avaient fortement inquiété le Haut conseil de stabilité financière. Pour freiner l’endettement galopant des ménages, l’institution a émis, fin 2019, des recommandations visant à durcir les conditions d’octroi. Les effets n’ont pas tardé à se manifester. Malheureusement, ce fut au détriment des ménages les plus modestes.
Au départ, le gouvernement avait prévu une date butoir pour le 10 octobre, anticipant une fin de l’état d’urgence au 10 juillet. Mais avec le déconfinement, la résiliation de certains contrats, comme celui de l’assurance de prêt, est de nouveau possible. Il s’agit ici de contrats qui ne peuvent être résiliés qu’une fois par an et à une date précise.
Dans la continuité d’une année 2019 exceptionnelle, le marché de l’investissement locatif a connu un début d’année en fanfare. La crise du Covid-19 y a malheureusement mis un frein brutal, et le flou demeure quant à la reprise. Le site Locservice anticipe un transfert de la demande vers un certain type de bien pour une location longue durée, la location touristique étant à l’arrêt.
Les acteurs de l’industrie automobile pensent aux solutions permettant de soulager leur trésorerie à la sortie du confinement. Différentes pistes sont d’ailleurs explorées, sauf que le salut de ces derniers à l’air de reposer sur l’assouplissement des normes antipollution en misant essentiellement sur un moratoire sur les normes Corporate Average Fuel Economy (Cafe).
Pour la banque digitale Boursorama, les activités n’ont pas été touchées de la même façon par la crise sanitaire. Si certaines d’entre elles, comme le crédit immobilier ou l’activité monétique, ont subi un sérieux contrecoup, d’autres, à l’instar des comptes courants, de l’épargne ou encore des placements en bourse, ont mieux résisté.
La crise sanitaire liée au coronavirus a touché tout le monde, mais son impact a été ressenti différemment, en fonction du niveau de vie. Si la baisse de revenus est généralisée, les ménages de la classe moyenne se sont retrouvés, pour la plupart, à l’échelon en dessous. Quant aux plus démunis, ils sont encore plus meurtris.
Le confinement a été particulièrement éprouvant pour bon nombre de ménages. Mais la période post-confinement a aussi suscité énormément d’interrogations, les amenant à être plus prévoyants, à analyser l’état de leurs finances et à dégager des économies sur les postes de dépenses susceptibles d’être rognés. La délégation d’assurance est l’un des moyens trouvés par les emprunteurs.
Pendant que le taux immobilier a baissé de manière continue, le prix des appartements et des maisons n’ont eu de cesse d’évoluer à la hausse. Un nouveau concept, proche du mobile-home, trouve aujourd’hui écho auprès de nombreux aspirants à la propriété. Il s’agit de la Tiny House, une idée ingénieuse qui présente des avantages économiques et écologiques non négligeables.
Depuis le début du confinement, le marché immobilier est quasiment à l’arrêt, affectant le secteur du prêt immobilier. Le rapport de la Banque de France démontre une dégringolade de 19,5 % des volumes de financements destinés à l’achat d’un logement accordés en mars. Les prêteurs s’attendent d’ores et déjà une production encore plus faible en avril.
Bien que de nouveau ouvertes depuis le 11 mai, les agents immobiliers n’anticipent pas de reprise rapide de l’activité sur le marché immobilier. En premier lieu, le risque sanitaire dissuade les visites physiques. Mais surtout, l’incertitude quant à leur situation financière et le resserrement des conditions d’octroi de crédits à l’habitat freinent les projets de nombreux Français.
Avant, les porteurs de projet avaient tendance à accepter le contrat groupe proposé par leur banque. Mais en procédant de la sorte, ils renoncent à un droit qui leur permet pourtant d’économiser quelques milliers d’euros sur leur emprunt immobilier. Le confinement leur aura donné l’occasion d’étudier d’un peu plus près leur dossier et ainsi, de songer (enfin) à changer d’assureur.
Au cœur d’une pandémie, l’achat d’une voiture n’est pas forcément une priorité. Mais pour ceux qui sont prêts à se lancer peuvent faire de bonnes affaires. En effet, la chute des ventes causée par le confinement pousse les concessionnaires automobiles à proposer des promotions et des solutions de financement attractives.
Depuis la mi-mars, la plupart des pays européens ont mis le confinement en place pour éviter la propagation du Covid-19. Cette mesure impacte sévèrement le marché automobile sur le continent. Les chiffres du mois de mars et de l’ensemble du premier trimestre montrent des chutes respectives de 51,8 % et 26,3 % des ventes de voitures particulières neuves.
La pandémie du Covid-19 et le confinement ont mis des millions de Français au chômage partiel ou total. Le ralentissement de l’activité touche également les travailleurs indépendants. Pour tous, la situation est synonyme de perte de revenus. Les courtiers ont mis en place un certificat gratuit à l’intention des potentiels acquéreurs qui s’interrogent quant à leur pouvoir d’achat immobilier.
La politique du taux bas de la BCE et la rude concurrence entre les banques ont fait que le marché du crédit immobilier a littéralement explosé l’année dernière. La conjoncture du début d’année 2020 laissait présager le même scénario, sauf que vers la mi-mars, le coronavirus est passé par là et le marché a été brutalement stoppé dans son élan.
Après avoir contenu la pandémie de coronavirus sur son territoire, l’exécutif chinois veut aider les fabricants de véhicules propres à atteindre leurs objectifs de ventes. En même temps, la deuxième puissance économique mondiale entend relancer la filière automobile. C’est un marché clé pour de nombreuses marques de voitures, nationales comme internationales.
Deux mois après le début de la mise en quarantaine, les taux d’emprunt ne cessent d’évoluer à la hausse. Selon un expert immobilier, plus des trois quarts des banques ont commencé à examiner les nouveaux dossiers de prêt en veillant à bien tenir compte des recommandations du Haut conseil de stabilité financière.
La levée du confinement attendue avec impatience a finalement eu lieu. Pour l’heure, il est difficile d’appréhender l’impact de la crise sanitaire sur le secteur immobilier. MeilleursAgents, PAP et SeLoger, acteurs majeurs de l’immobilier en ligne, tablent sur différentes prévisions concernant la situation future du marché. Leurs porte-paroles ont livré leur point de vue à la presse.
Les grandes agglomérations chinoises s’animent de nouveau et la population reprend progressivement ses habitudes après une longue période de confinement. Certains observateurs craignent toutefois une nouvelle vague de contamination au Covid-19. Diverses initiatives émergent pour éviter ce phénomène. Un article de presse récent dévoile qu’une entreprise locale a conçu un véhicule capable de surveiller la température des passants.
Le coronavirus et le confinement qu’il a engendré n’ont pas réussi à tout bloquer. Pendant près de deux mois, l’économie française a été paralysée, les principaux acteurs ayant dû interrompre leurs activités afin de freiner la propagation de la pandémie. Mais pendant que les robinets du crédit ont été fermés, le marché de l’assurance emprunteur a continué à s’animer.
Les mesures de soutien aux ménages mises en place par le gouvernement fédéral américain cachent le réel impact de la crise sanitaire. De plus, la faculté de report de paiement sans impact sur la note de crédit prive les investisseurs d’informations sur la capacité de remboursement réelle des emprunteurs.
Paris Habitat, la RIVP et Elogie-Siemp s’engagent à maintenir la trêve hivernale jusqu’au mois d’octobre. Ils souhaitent également contribuer au soutien des familles vivant dans les logements sociaux qui souffrent de la crise sanitaire. Un geste de générosité que l’adjoint PCF au logement de la Capitale a confirmé lors d’une interview accordée au quotidien Le Parisien.
Le régulateur chinois des banques et des assurances vient de publier un projet de réglementations sur les activités de prêt en ligne des banques commerciales. Il souhaite interdire l’utilisation de ces financements pour des investissements peu sûrs et plafonner le montant des crédits à la consommation accordés par ces enseignes. L’objectif est de limiter les risques financiers.
Le bilan a été fait dans la région du Grand-Est, avec plus d’un tiers des ménages qui vivent en appartenant dont plusieurs d’entre eux dans un logement sous-dimensionné. Cette crise sanitaire a également eu de grosses répercussions sur les conditions des personnes âgées que ce soit celles vivant seules ou celles vivant en institution. Celles souffrant de handicap, sont aussi touchées par l’isolement imposé par les mesures de confinement.
Depuis le début de la pandémie de coronavirus, et avec les mesures de confinement imposées, les Américains ont réduit leurs dépenses. Les données de la Réserve Fédérale pour le mois de mars 2020 montrent une baisse de la production de prêt à la consommation, une première depuis août 2011.
Pendant la période de confinement, les banques, qui observaient des horaires réduits, ont préféré se concentrer sur les services essentiels, tels que le réapprovisionnement des DAB ou la prise en charge des opérations de paiement. La production de crédits immobiliers a donc été mise en « stand-by ». Désormais, la machine du crédit est relancée et la renégociation peut s’avérer très profitable.
Le marché immobilier lyonnais affiche un remarquable dynamisme depuis quelques années, et même la pandémie de Covid-19 n’a pas réussi à le freiner : la demande et les prix ne fléchissent pas. Cette vitalité est favorisée par la hausse constante du nombre des habitants de la métropole de Lyon, laquelle entraîne un déséquilibre entre l’offre et la demande résidentielle.
Avec une récession de -5,8 %, la France est durement impactée par la crise du Covid-19. Ce chiffre est en effet le pire recul du PIB depuis la fin de la Seconde Guerre. Dans un entretien au Figaro, Bertrand Dumazy a plaidé pour une relance ciblée afin de redémarrer l’économie française et accélérer la reprise des secteurs les plus touchés.
Dans plusieurs pays, le marché de l’automobile a reculé en mars dernier à cause des restrictions imposées aux populations pour enrayer la propagation du coronavirus. Selon les spécialistes, les chiffres du mois d’avril risquent également d’être mauvais. Moody’s table d’ailleurs sur une érosion de 14 % du marché mondial pour cette année.
Malgré le confinement, les agences bancaires, considérées comme des services essentiels à la vie de la nation, ont pu poursuivre leurs activités. Toutefois, afin de respecter les règles sanitaires, elles encouragent leurs clients à privilégier les opérations à distance et à interagir avec leur conseiller par chat, téléphone ou mail.
L’économie française est en berne après deux mois de suspension des activités économiques. Un recul de -17,9 % de la consommation des foyers a été enregistré au mois de mars 2020, et la situation n’a pas trop évolué à la sortie du confinement. Pour certains experts, il est primordial de relancer la consommation si l’État veut activer la reprise de l’économie. Pour ce faire, ils proposent de prendre exemple sur les mesures prises par les pays asiatiques et de privilégier les produits de fabrication locale et éco-responsables.
Les maisons avec jardin ont actuellement la cote auprès des futurs acheteurs immobiliers. Après avoir subi les contraintes liées au prolongement du confinement dans des appartements, plus de 60 % d’entre eux sont désormais en quête de biens avec des espaces extérieurs aménagés. La tendance du marché évolue ainsi selon les professionnels du secteur avec une forte hausse de la demande pour les maisons avec verdure.
Les statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib ont montré une croissance notable de la production de crédits au Maroc au cours du mois de mars 2020. Le volume des prêts accordés par les banques pendant cette période se chiffre à 918,48 milliards de dirhams, soit 8,5 milliards de plus que celui enregistré à la fin du mois de février.
Comme de nombreux secteurs de l’économie, le marché de l’immobilier a été considérablement impacté par la crise du coronavirus. Avec la sortie de confinement (qui a commencé le 11 mai dernier), les pouvoirs publics tentent de relancer l’économie en passant par cette branche clé. Il reste à savoir s’ils y parviendront.
Tous les fabricants de voitures subissent les effets de la crise sanitaire induite par la pandémie de coronavirus. Leurs ventes ont baissé au mois de mars dernier, comme le montrent les données publiées par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). Il n’empêche que certaines marques ont pu limiter leurs pertes. C’est le cas de quelques constructeurs asiatiques et premium.
Elles ont fait couler beaucoup d’encres, mais les recommandations du Haut conseil de stabilité financière concernant l’octroi de crédit sont bel et bien entrées en vigueur. Dans le contexte actuel, le crédit immobilier sera plus difficile à obtenir. La remontée des taux est inéluctable, alors que de nombreux ménages se retrouveront exclus du marché.
À mesure que les outils digitaux dédiés à l’analyse du comportement des consommateurs se multiplient, ces derniers se montrent de plus en plus exigeants. Aujourd’hui, les acteurs financiers (banques et assurances) font face à la volatilité des clients. Pour les fidéliser, opérer des changements devient impératif, non seulement en matière d’offres et de services, mais également en termes de relation.
La levée du confinement tant attendue est enfin arrivée. La mise en quarantaine a-t-elle bouleversé les modes de consommation des Français ? En plus de leur situation budgétaire, il semble que leur moral déterminera leur attitude. Les pertes de revenus engendrées par la crise sanitaire constituent également un facteur à ne pas négliger.
Les longues semaines de confinement ont été éprouvantes pour les ménages. Cette période pénible s’est toutefois accompagnée de quelques avantages, notamment financiers. Les Français ont appris à mieux économiser et à réorganiser leur budget en raison des nombreuses contraintes financières qui se sont imposées. Et plusieurs bonnes habitudes ont de fortes chances d’être perpétuées.
Confinement oblige, le marché de l’immobilier a observé un arrêt forcé partout en France à cause de la crise sanitaire. Depuis le 11 mai, les Français ont retrouvé un semblant de normalité avec le déconfinement. Les activités ont repris leur cours et, du côté de Dijon et de ses environs, les professionnels s’interrogent sur le devenir du marché de l’immobilier.
Une journaliste qui a mené une enquête révèle que ceux qui achètent sur plan ont l’avantage de disposer d’une maison qui leur ressemble. Est-ce la raison pour laquelle les observateurs se sont attendus à une année 2020 prometteuse ? La crise du coronavirus a toutefois bouleversé les pronostics. Il reste à savoir si le marché immobilier reprendra avec le déconfinement.
Les marchés du bois et des matériaux ont bien résisté à la crise sanitaire. À la différence des entreprises de la filière BTP, le secteur n’a enregistré aucune défaillance liée au caractère exceptionnel de la situation. La reprise se déroule également très bien. La Fédération du négoce de bois et matériaux évite pourtant de crier victoire.
Les prêts étudiants représentent une grande partie des dettes des particuliers aux États-Unis, et leur encours s’élève actuellement à 1 683 milliards de dollars. Cette dette colossale est l’équivalent de 10 % de la dette contractée par les ménages, et concerne près de 45,5 millions de personnes. Cet endettement excessif s’explique par la hausse constante des frais de scolarité dans les universités américaines, lesquels ont enregistré une augmentation de +22 % en 6 ans (source LearnBonds).
Une des voitures les plus vendues en Chine, la BYD Tang est un SUV doté d’une motorisation 100 % électrique. Le constructeur chinois veut séduire la clientèle européenne avec ce véhicule compact, dont l’autonomie atteint 520 km en mode NEDC. BYD va ainsi commencer sa conquête en Norvège et envisage de s’attaquer à d’autres pays plus tard.
Ageas peut désormais effectuer l’évaluation des dommages causés aux véhicules accidentés de ses clients en quelques minutes. Cette compagnie d’assurance britannique dispose en effet des outils nécessaires pour y parvenir en s’appuyant sur l’intelligence artificielle et en misant essentiellement sur deux technologies permettant d’étudier les photographies numériques fournies par les assurés.
Le marché de l’immobilier a connu une paralysie totale pendant le confinement. Pour de nombreux vendeurs, ce léger contretemps ne constitue pas une raison suffisante pour renoncer à leur projet. Leur seule véritable crainte est que les prix se mettent à baisser. Mais la motivation reste forte, surtout pour ceux qui vendent leur appartement pour acheter une maison plus spacieuse.
Le coronavirus a permis au Québec de régler son problème de pénurie de logements locatifs. C’est du moins, l’un des plus grands changements constatés dans cette ville depuis que cette pandémie y a fait son entrée en forçant l’entreprise américaine Airbnb à annuler toutes les réservations liées à son service de location.
Le véhicule d'occasion a toutes les chances de sortir grand vainqueur de la crise. C’est du moins, ce que s’accordent à dire les analystes en faisant valoir que le coronavirus a fait pencher la balance du côté du marché de seconde main en mettant à son avantage des atouts non négligeables.
Certes, le gouvernement a mis en place divers dispositifs fiscaux pour limiter l’impact économique de la crise sanitaire. La plupart ne visent cependant qu’à remettre à plus tard les obligations dont les entreprises doivent s’acquitter. Ces dernières cherchent pourtant à réduire leurs charges. Dans cette optique, la fiscalité est une brèche à exploiter.
Alors que la banque Allianz annonce dans sa projection une hausse des faillites estimée à 19 % sur le continent européen, l’État allemand a décidé de mettre en place une garantie d’un montant de 30 milliards d’euros. Ce fonds est destiné à couvrir les risques liés aux défaillances engendrées par le Covid-19.
En raison de l’interdiction des rassemblements pour endiguer la propagation du covid-19, les futurs mariés se sont retrouvés dans l’obligation de reporter ou d’annuler leurs cérémonies. C’est le cas pour la quasi-totalité des mariages prévu en mai et juin. Malgré l’annonce de la levée du confinement, de nombreux futurs mariés hésitent encore à fixer une nouvelle date.
Pour soutenir leurs clients impactés financièrement par la crise du Covid-19, les banques de nombreux pays multiplient les mesures d’allègement du remboursement des crédits en cours. D’autres proposent à leurs clients existants des prêts spéciaux aux conditions plus intéressantes que les offres classiques.
Pendant qu’ils étaient bloqués chez eux, les Français ont eu le temps de réfléchir à l’investissement qu’ils vont entreprendre pour assainir leur situation financière. Acquérir un bien pour le mettre en location demeure l’investissement le plus rassurant. Pour 27 % d’entre eux, ce serait encore mieux si le bien en question est proche de leur résidence principale.
En 2019, les taux de prêt immobilier très faibles et les aides publiques avaient permis à des milliers de Français de devenir pour la première fois propriétaires de leur logement. Mais avec le durcissement des conditions d’obtention de crédits et la crise sanitaire, environ 220 000 ménages risquent d’être exclus du marché d’ici 2021 selon l’Observatoire des crédits aux ménages.
Lors de l’acquisition d’un bien immobilier, l’acheteur qui a financé son projet à crédit doit souscrire une assurance de prêt. Celle-ci garantit le remboursement partiel ou total de la somme empruntée en cas de décès, d’invalidité, d’incapacité ou de perte d’emploi.
Lors de l’acquisition d’un bien immobilier, l’acheteur qui a financé son projet à crédit doit souscrire une assurance de prêt. Celle-ci garantit le remboursement partiel ou total de la somme empruntée en cas de décès, d’invalidité, d’incapacité ou de perte d’emploi.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.