Avant de souscrire un prêt immobilier, nombreux sont les particuliers qui font appel à un intermédiaire en opération bancaire. Faisant partie d’un réseau de franchise ou travaillant gratuitement, cet intermédiaire a pour mission d’orienter ses clients vers un organisme bancaire abordable et fiable. Les spécialistes dans ce secteur se multiplient qu’il s’agisse de conseiller, des professionnels ou des particuliers. Le facteur de réussite d’un réseau réside entre autres dans le suivi du dossier du client mais aussi dans l’utilisation d’outils de qualité. Si aujourd’hui la part de marché occupée par ces courtiers vaut 40 %, il est prévu que ce taux atteint les 50 %. Critères de réussite d’un réseau de franchise Ayant pour tâche de trouver les tarifs les moins élevés pour leurs clients, le courtier leur apporte des conseils pertinents. Ces spécialistes doivent affronter la rude concurrence formée par les courtiers gratuits et les réseaux de franchise, tout en s’efforçant de rester dans la course aussi longtemps que possible. A noter que les experts qui ne demandent frais d’honoraires à leurs clients sont rémunérés par les banques. Actuellement, cette profession qui, auparavant arborait une image négative, est devenue plus crédible pour le grand public... Selon la profession, les courtiers « sont meilleurs » aujourd’hui. Le client bénéficie d’un accompagnement personnalisé au début du « financement jusqu’à la signature chez le notaire ». Les outils, un suivi juridique et une formation sont les secrets de la réussite d'un réseau, en dehors du suivi de chaque dossier. Une réforme pour le développement de ce travail En 2015, les courtiers intervenant dans le prêt aux particuliers représentent 40 % des parts de marché. Ayant existée depuis une quarantaine d’années, cette profession particulière connaît un véritable succès ces dernières années. Les réseaux de franchise dans ce secteur sont désormais nombreux si bien qu’un changement de législation destiné à optimiser l’évolution de la profession de courtier a été opéré en 2013. Depuis la réforme du code monétaire, ce métier fait partie de la « catégorie 1 » des intermédiaires en opération bancaire. De plus, la certification par l’Orias, la référence dans ce secteur, est exigée pour l’exercice de l’activité de ce professionnel. Ce dernier doit aussi respecter les règles de bonne conduite face à l’emprunteur et suivre de manière générale la règlementation juridique en vigueur. Cette réforme léguant plus d’amplitude aux courtiers inclut une directive concernant le prêt immobilier voté par le parlement européen.